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Notes de lecture
24 septembre 2011

Swap encre noire sur page blanche

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J'avais renouvelé l'aventure du swap Mettez de la couleur dans votre PAL de Valérie avant les vacances d'été. Le thème pour cette nouvelle édition était donc le noir et blanc couplé avec les livres, l'écriture etc. Cette fois ma binôme était Sophie!

Voici donc le colis à l'ouverture, plusieurs paquets emballés dans du papier de soie noir, gris, ou à pois avec des petites étiquettes sur chacun d'eux et un petit message. Sophie est très habile de ses mains, je suis admirative moi qui ai deux mains gauches...

 

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Et plus j'ouvrais de paquets plus j'étais contente, parce que Sophie a clairement cerné mes goûts et j'vai vraiment été touchée par toutes ses attentions! J'adore!!! tout!

En détail ça donne:

Les livres:

  • Le diable danse à Bleeding Heart Square d'Andrew Taylor, j'ai repéré ce livre dès sa sortie et j'avais vraiment très envie de le découvrir. La couverture est superbe, et se prête effectivement très bien au swap!
  • Lune noire de John Steinbeck que j'avais repéré sur le blog de Will. J'aime beaucoup cet auteur et ce court roman a tout pour me plaire
  • Quand souffle le vent du nord de Daniel Glattauer, que je ne voulais pas lire jusqu'à ce qu'un billet me fasse changer d'avis :)

 

Déjà avec les trois livres j'étais comblée, mais il y avait encore les gourmandises à découvrir ^^:

  • Des nougats (très bons!)
  • Du chocolat blanc au spéculoos (très bon aussi!!!)
  • Du chocolat noir avec des ronds de chocolat blanc (pas encore goûté :p)
  • du café arômatisé à la poire, goûté ce matin pour le p'tit dej, il sent très bon!
  • du thé "Le rouge et le Noir" pas encore goûté mais ça ne saurait tarder :p

tout ça?? et oui et ce n'est pas encore fini ...

Voyez plutôt les surprises ci-dessous! :

  • Un marque page fait main (déjà adopté)
  • Une trousse faite main aussi (déjà adoptée, adorée, par moi et par mes 6e oui oui!)
  • deux cubes effervescents pour le bain
  • des mouchoirs en tissus tout beaux qu'on n'a pas envie d'utiliser pour se moucher!
  • un cahier de la même collection que les mouchoirs (www.santoro-london.com) très joli aussi!

 

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Et tout ça rien que pour moi! Je tiens vraiment à remercier Sophie parce que ce colis est magnifique tant par les cadeaux que par le soin qu'elle a mis dans la préparation, l'emballage et la réalisation! Merci Sophie donc ... Et aussi Merci à Val!

D'ailleurs je rempile pour une quatrième saison avec le swap Les vertes années, et ma binôme n'est autre que Val en personne :)

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14 novembre 2009

Laurence Jyl, Le coût de la panne

J’avais juré qu’on ne m’y prendrait plus et que je rédigerai désormais mes articles « à chaud » mais j’ai encore été prise par le temps et voilà que ce petit billet réside dans ma tête depuis dimanche dernier déjà !

 

le_co_t_de_la_panne4è de couverture : « Les Sertilanges coulent  des jours heureux en Provence. Le père travaille au bureau de poste municipal cependant que la mère s'occupe de leurs trois enfants, deux adolescents turbulents et une adorable chipie de dix ans, la narratrice de l'histoire, Zoé. Mais la promotion à Paris du chef de famille vient bientôt rompre le charme de cette vie paisible.
D'autant qu'une catastrophe s'abat sur le foyer des néo-Parisiens peu de temps après leur emménagement : l'antique téléviseur choisit de rendre l'âme à l'heure fatidique de la finale de "Regardez-les vivre", l'émission de télé-réalité préférée de toute la famille... La maman de Zoé trouve aussitôt la parade. Il suffit de se poster à la fenêtre pour suivre discrètement la retransmission sur l'écran des voisins. Armée de jumelles, la mère de famille en vient bientôt à épier jour et nuit les faits et gestes des habitants de l'immeuble d'en face, à les imiter et, au final, à vivre sa vie par procuration, délaissant peu à peu ses enfants et entraînant son mari sur une pente vertigineuse
.
»

 

Tout est dit ou presque ! La particularité de ce roman, et ce que j’ai apprécié le plus dans cette histoire, c’est le fait que la narration soit faite par la cadette de la famille âgée de dix ans. Celle-ci porte un œil très critique sur ceux qui l’entourent. Je ne suis pas habituée à ce genre de narration, n’étant pas du tout familière avec la littérature jeunesse, mais j’ai ici apprécié l’exercice de style, même si parfois j’ai trouvé que ce qui serait supposé être un vocabulaire d’une fillette de dix ans était peu approprié et trop recherché, mais qu’importe.

 

Cette narration permet de dépeindre la famille et les évènements de façon brutes, avec par-ci par là les critiques de Zoé, sans pour autant véritablement analyser les comportements de chacun. Cela donne donc une certaine légèreté au livre qui fait qu’il reste plaisant à lire. On sent pourtant, (ou bien peut-être est-ce moi qui ai ressenti ça comme ça) une envie de critiquer les effets pervers de la télé-réalité et le voyeurisme des gens, l’importance que la télévision peut prendre dans certaines familles, la société du paraître, notamment lors des repas « devant la fenêtre » organisée par les parents de plus en plus siphonnés. Peu importe que ce soit bon tant que c’est brillant et coloré…

 

Merci donc aux Editions Robert Laffont et à Blog-O-Book pour ces quelques heures de détente en compagnie de la famille Sertilanges.

9 juin 2010

Jordan Weisman & Sean Stewart & Cathy Brigg, Cathy's book

Cathy_s_bookSynopsis : « Ça ne va pas fort dans la vie de Cathy depuis quelques temps : son père est décédé brutalement, la laissant, seule avec sa mère, et dans un profond désarroi. Ses résultats au lycée s’en ressentent, elle a complètement décroché, au grand dam de sa meilleure amie Emma, qui ne cesse de l’encourager, en vain. Et puis elle vient de se faire plaquer par son petit ami Victor, un Chinois d’une vingtaine d’années auréolé d’un certain mystère ; elle décide de raconter leur brève idylle dans son journal intime. Cette rupture ne serait pas la fin du monde, si elle n’avait retrouvé, au lendemain de sa dernière soirée avec Victor, une trace de piqûre au creux de son coude… Victor a-t-il quelque chose à voir avec ça ? »

J’ai lu le journal de cette jeune fille en VO et ça faisait longtemps que j’avais lu un livre en VO (shame on me depuis l’année du capes je crois !!) ça fait du bien de se replonger dans la langue anglaise même si au final ça reste un anglais très oralisé avec lequel je suis restée familière quand même, et ça change de l’anglais des élèves ^^ !

Ce livre est très court, je l’ai donc lu rapidement, j’ai beaucoup apprécié le début de l’histoire. Les relations qui unissent Cathy et Emma, le souvenir du père de Cathy encore bien présent, son idylle avec Victor qui nous est contée et l’intrigue qui se met petit à petit en place. C’est rafraichissant !

Par contre petit bémol pour la suite des évènements, j’ai trouvé les rebondissements bien trop tirés par les cheveux et grandiloquents et le dénouement ne m’a pas vraiment plus. Sans en dévoiler trop j’espère, le côté science-fiction (et encore ce n’est pas vraiment de la science fiction) ne me donne pas particulièrement envie de lire la suite, dommage !

Merci quand même à Ankya qui m’avait envoyé le livre dans le cadre du Swap around your world. J’ai aimé me replonger dans la VO et je ne compte pas m’arrêter en route puisque je prévois de lire le second livre avant fin juin. C'est aussi mon premier livre lu dans le cadre du Challeng'ô swap organisé par Nadège.

2 avril 2010

Laura Esquivel, Chocolat amer

chocolat_amerQuatrième de couverture: "Dans le Mexique du début du siècle, en pleine tempête révolutionnaire, Tita, éperdument éprise de Pedro, brave les interdits pour vivre une impossible passion. À cette intrigue empruntée à la littérature sentimentale, Laura Esquivel mêle des recettes de cuisine. Car Tita possède d'étranges talents culinaires : ses cailles aux pétales de roses ont un effet aphrodisiaque, ses gâteaux un pouvoir destructeur. L'amour de la vie est exalté dans ces pages d'un style joyeux et tendre, dont le réalisme magique renvoie aux grandes oeuvres de la littérature latino-américaine. Chocolat amer, adapté en film sous le titre Les épices de la passion, s'est vendu à plus de quatre millions d'exemplaires dans le monde."

Tita, la benjamine de la famille n’a guère le choix de son destin, elle devra veiller sur sa mère jusqu’à sa mort et ne pourra donc pas épouser celui qu’elle aime… Voici donc une histoire d’amour impossible digne d’une Juliette ! Tous les ingrédients y sont, la mère tyran, la sœur préférée et l’amie dévouée… Ajoutez y une Tita née dans la cuisine et l’histoire en sera quelque peu différente.

 

En effet, Tita est née et a grandi dans la cuisine, elle développera dès son plus jeune âge un goût pour la cuisine, le mélange des épices et des goûts qui mettent l’eau à la bouche tout au long de l’histoire. Ce dont Tita ne semble pas avoir conscience c’est qu’elle met une certaine magie dans ses plats qui ont quelque fois des effets étranges sur ses convives…

 

Chaque chapitre est bâti autour d’un plat préparé pour une occasion particulière (mais quel rapport avec le mois cité en début de chapitre, je n’ai pas eu l’impression que l’histoire se déroulait précisément ce mois là ?) d’un anniversaire à l’épiphanie en passant par la cérémonie du mariage de l’aînée.

 

J’ai bien aimé l’histoire un peu féérique qui mêle cuisine et « potions » à merveille, les apparitions des fantômes ne m’ont pas dérangée pourtant ce n’est pas ce que je préfère, au contraire ça donnait tantôt une touche d’émotion à l’histoire, tantôt un brin d’angoisse. Par contre l’écriture m’a parfois dérangée, j’ai trouvé certains passages un peu lourd, notamment ceux  où il est question de désir et de passion, j’en ai même trouvé certains ridicules ! Et puis la fin de l’histoire m’a déçue un peu, j’ai trouvé ça trop facile, trop évident.

 

C’est donc une lecture en demi-teinte comme peut-être le prévoyait le titre, le chocolat, doux qui fond tout seul et qui nous emmène loin lorsqu’on le savoure les yeux fermés et amer dans el sens où Laura Esquivel m’a laissé un goût de déception une fois le livre refermé.

 

Je le conseille tout de même rien que pour les recettes, leurs descriptions et la magie qui en ressort. Et je remercie Edelwe qui me l'avait envoyé dans le cadre du swap mille feuille, j'ai donc lu les quatre livres que j'avais reçu ^^

Deux extraits :

« Nous possédons en nous-mêmes les éléments nécessaires pour produire du phosphore. Ma grand-mère avait à ce sujet une théorie très intéressante : elle disait que nous naissons tous avec une boîte d’allumettes en nous mais que nous ne pouvons pas els allumer seuls : nous avons besoin d’oxygène, comme dans l’expérience que nous venons de faire, et d’une chandelle. L’oxygène provient, par exemple, de l’haleine de la personne aimée ; la chandelle peut être n’importe quoi, un aliment, de la musique, une caresse, une parole ou un son. C’est le déclencheur. L’allumette s’enflamme, et l’espace d’un instant, nous sommes éblouis. Il se produit en nous une agréable chaleur qui disparaît peu à peu, au fil du temps, jusqu’à ce qu’une nouvelle explosion vienne la raviver. Chacun a ses propres détonateurs qu’il doit découvrir. La combustion qu’ils entraînent procure de l’énergie à l’âme :  en d’autres termes cette combustion est la nourriture de l’âme.

« Si l’on ne découvre pas à temps ses détonateurs, la boîte d’allumettes s’humidifie et nous ne pourrons plus jamais enflammer la moindre allumette. L’âme alors fuit le corps, erre dans les ténèbres les plus profondes, cherchant vainement un aliment que seul ce corps abandonné, désarmé, transi de froid pourrait lui fournir ? » »

La recette du chocolat chaud que j’essaierai peut-être de faire pour le challenge à lire et à manger :

« La méthode est très simple : placez sur le feu une tablette de chocolat et de l’eau. La quantité d’eau doit être légèrement supérieure au contenu de la tasse qu’on devra remplir. Quand l’eau bout pour la première fois, écartez-là du feu et cassez la tablette en petits morceaux. Battez au moussoir jusqu’à ce que le chocolat soit bien incorporé à l’eau. Remettez sur le feu. Quand l’eau bout à nouveau, retirez de la flamme. Puis remettez-là encore jusqu’au troisième bouillon ? Retirez alors le tout et battez. Versez la moitié dans la tasse et battez le reste une dernière fois. Enfin remplissez la tasse en laissant mousser à la surface. Vous pouvez remplacer l’eau par du lait, mais dans ce cas ne faites bouillir qu’une fois, puis remettez sur le feu en battant pour que le chocolat n’épaississe trop. Le chocolat à l’eau plus digeste que le chocolat au lait. »

C'était une lecture commune avec Bladelor, Lilibook et Mariel.


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26 septembre 2010

Emma Campbell Webster, Jane Austen et moi

Jane_austen_et_moiQuatrième de couverture: "Votre nom: Elizabeth Bennet. Votre mission: faire un mariage de raison et d'amour, tout en évitant les scandales de famille. Vous n'avez pour vous que votre esprit vif, votre bon sens, votre beauté "passable", et vous devez vous frayer un chemin à travers une infinité de choix qui détermineront votre propre destin romantique (et financier). Ne vous êtes-vous jamais demandé ce qui serait arrivé si Elizabeth avait accepté la proposition de Mr. Darcy, d'Orgueil et Préjugés, dès leur première rencontre? Ou si elle s'était sauvée des bras de Mr. Darcy pour se jeter dans ceux du capitaine Wentworth, de Persuasion? Voici l'occasion de le découvrir. Jane Austen et moi est ancré dans Orgueil et Préjugés, mais les choix proposés tout au long du livre vous mèneront au cœur des autres romans de Jane Austen, et dans un territoire imaginaire.
Jane Austen et moi est un labyrinthe d'amours et de mensonges, de séductions et de scandales, de mésaventures et de mariages, un véritable défi et un ravissement pour tous les amoureux de Jane Austen. La mission d'Elizabeth réussira-t-elle? Son destin est entre vos mains."


Je n’ai pas grand-chose à dire sur cette lecture si ce n’est que c’est une vraie déception ! Je ne sais pas si c’est à cause du livre en lui-même ou à cause de l’édition mais il y a de nombreuses incohérences dans le changement des pages qui au final ne permet pas de « jouer » le personnage principal. On est amené à répondre à des questions, ou faire des choix entre diverses situations mais parfois le choix n’est pas possible puisque par exemple la solution A nous ramène à une page déjà lue, s’offre donc à nous que la solution B. De plus il semble que les « bonnes solutions », celles qui feront de nous une future épouse épanouie soient en fait simplement les choix que fait Elizabeth dans Orgueil et Préjugés. J’aime beaucoup ce livre d’Austen et je le connais assez bien pour qu’il me soit conté par une tierce personne qui m’enlève et m’ajoute des points tout au long de l’histoire. A cause donc de cette mauvaise pagination je me suis rendue compte en lisant les notes à la fin du livre que j’aurais pu également faire des incursions dans les autres romans de Jane Austen, ça m’a encore plus gâché le plaisir ! J’aurais aimé moi être un mélange d’Elizabeth, Elinor ou Fanny ! La quatrième de couverture était bien plus alléchante que le contenu du livre en lui-même, dommage !

Un petit plus avec les illustrations de Pénélope Bagieu que j’ai reconnues dès le premier coup d’œil sur la couverture.



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26 novembre 2010

Christophe André & Muzo, Je guéris mes complexes et mes déprimes

je_gu_ris_mes_complexes_et_mes_d_primesQuatrième de couverture :

« Si vos phrases préférées sont: "Si seulement j'avais osé ", "Ça y est, cette fois c'est sûr, j'ai un cancer" ou encore « Le dimanche soir, j'ai toujours le cafard », ce livre est fait pour vous.
Petits complexes, manque de confiance en soi, coups de blues et autres angoisses peuvent nous gâcher la vie. Les solutions proposées ici vous aideront à retrouver le moral. Ce manuel souriant de psychologie propose une approche pédagogique et dédramatisée de nos petites et grandes faiblesses. »

Je suis tombée sur ce livre sur le blog de Val (mais j’ai un doute maintenant parce que je ne retrouve pas le billet sur son blog !) et le titre m’a donné envie, guérir ses complexes et déprimes ? qui n’en rêveraient pas ? Val a visiblement perçu que la jeune prof en détresse que je suis avait besoin d’un coup de pousse et me l’a offert pour mon anniv’ (avec un rouge à lève, lui aussi il peut guérir les complexes et déprimes, si si !)

Bon entrons dans le vif du sujet, le livre est découpé en quatre chapitres, et comme je suis originale je vais vous livrer mes impressions chapitre par chapitre.

Chapitre 1 : Je doute de moi. Manque de confiance et mésestime de soi.

Ce Chapitre était fait pour moi, j’ai donc fait attentivement le petit test et ai eu sans grande surprise un score quasi maximum, of course ! Les cas sont ensuite bien décris, toujours avec une pointe d’humour que ce soit via l’écriture ou les illustrations de Muzo. (bin oui c’est un manuel souriant de psychologie quand même). Christophe André nous donne des pistes de solutions. La procrastination (le mal dont je souffre, et que ceux qui diront que c’est pour éviter de dire qu’on est paresseux se morde la langue à cet instant) y est bien définie mais au final on ne nous livre pas de solution miracle ou nouvelle. L’écriture est fluide, les dessins sont drôles et décalés. Si les deux acolytes ne nous aident pas spécialement au moins ils dédramatisent la chose. C’est peut-être ça au final l’astuce : dédramatiser !

Chapitre 2 : J’ai peur de la maladie. Soucis pour sa santé et hypocondrie.

Je ne me suis pas sentie spécialement concernée par le sujet. J’avais d’ailleurs coché tous les faux au petit test contrairement au premier chapitre mais la lecture était plaisante donc je n’ai pas sauté le chapitre. Les mécanismes de l’hypocondrie sont explicités mais pas solutionnés.

Chapitre 3 : Je ne me plais pas. Image de soi, complexe et dysmorphobie.

J’ai trouvé que les causes des complexes étaient parfois un peu simplistes et pas forcément digne d’un grand homme de la psychologie. Aucun conseil finalement n’est donné pour mieux s’accepter, si ce n’est encore une fois de nous faire dédramatiser avec un humour principalement axé sur le sexe pour ce chapitre j’ai trouvé.

Chapitre 4 : J’ai pas le moral. Déprimes et dépressions.

J’ai trouvé que ce chapitre était le plus détaillé et documenté. On nous fait part des divers degrés de déprimes et des différentes humeurs de la dépression. J’ai été surprise par le fait que les électrochocs soient toujours recommandés et vu comme l’un des meilleurs moyen de guérir la déprime en 2010 ! Je comprends aussi maintenant ce que sont les maladies bipolaire et maniaco-dépressives. On emploie souvent ces deux mots à tort en fait.

En bref ce livre ne va pas révolutionner ma vie, ni dans l’immédiat guérir mes complexes et déprimes, par contre il est bourré d’humour, ça a été comme un shoot de vitamines à la lecture finalement. J’ai don passé un bon moment.

L’avis de Calypso et celui de Canel.

20 mars 2011

Un dimanche ... au parc des Félins : L'île des lémuriens

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Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

27 mars 2011

Un dimanche ... au salon du livre.

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Bon en fait je n'y suis pas allée le dimanche mais le samedi 19. Je suis arrivée en fin de matinée pour un premier repérage (euh ou plutôt pour une première série d'achats). J'ai commencé par un stand avec des livres et autres méthodes pédagogiques pour apprendre les langues (conscience professionnelle quand tu nous tiens) et j'ai acheté quelques posters à mettre dans ma classe (quand j'en aurais une fixe...un jour...) J'ai ensuite craqué pour La vie est brève et le désir sans fin de Patrick Lapeyre, Le coeur régulier d'Olivier Adam, Beatles de Lars Saabye Christensen et Ronde de nuit de Sarah Waters.

A 13h rendez-vous au stand de Buchet Chastel pour retrouver George accompagnée de Lili Galipette, Will et un de ses amis et *Fleur* elle aussi accompagnée d'une amie. Will ce petit fripon m'a offert un livre de Thierry Jonquet: Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte. Nous avons déjeuné ensemble, le temps de discuter un peu et de montrer nos craquages respectifs et nous voilà déjà repartis.

L'après-midi fût tout aussi riche en dépenses lectures prochaines pour moi. Je suis allée faire dédicacer mon livre par Patrick Lapeyre, puir j'ai rejoins le stand de Plon pour faire l'acquisition de Lennon de David Foenkinos et obtenir une petite dédicasse. Et j'ai continué dans ma lancée genre fan en délire avec L'Olympe des Infortunes de Yasmina Khadra, Le Caveau de Famille de Katarina Mazetti, je suis repassé devant le stand des éditions de l'Olivier pour faire dédicasser le coeur régulier mais il y avait un trop longue file donc j'ai rebroussé chemin, pour aterrir sur le stand de France Loisirs, j'ai acheté Le Baby Sitter de Jean-Philippe Blondel que j'avais repéré sur le blog de Will la semaine précédente, bien m'en a pris, j'ai reçu une carte cadeau de 20euros!

Ce fût donc une journée bien sympa, qui a fait exploser ma PAL et chauffer ma carte bleue, l'année prochaine je la laisse chez moi :)

20 février 2011

Un dimanche à...Paris

Cette semaine allons voir Notre Dame de Paris !

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6 mars 2011

Un dimanche ... au parc des Félins : Les tigres blancs

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12 juin 2011

Un dimanche à... Newcastle (la ville aux ponts)

Souvenirs de vacances entre amies, une chose est sûre, à Newcastle fin octobre il fait un froid de canard!

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1 avril 2011

Alain Rémond, Et puis un jour j'ai entendu Bob Dylan

dylanQuatrième de couverture: "Avec Dylan, je suis sauvagement subjectif. Je suis de son côté. Je lui passe tout (presque tout). Je lui pardonne tout (presque tout). Je n'ai aucune distance. Alors qu'il faudrait, je le sais bien. C'est comme une maladie. Grave, si ça se trouve. Une névrose obsessionnelle. Il faudrait que je me soigne. Mais je n'en ai pas la moindre envie. Si c'est une maladie, je la chéris"

 

Il y a quelques semaines Blog-O-Book en partenariat avec les Editions JBZ & Cie proposait un livre sur Bob Dylan j’ai donc sauté dessus. (Je ne vous ressors pas le couplet habituel sur mon amour pour les sixities !)

Ce livre est d’un genre assez particulier alliant à la fois une mini biographie sur Dylan et une autobiographie de l’auteur par le prisme de Dylan. A 65 ans, Alain Rémond s’interroge sur son attraction pour l’interprète américain qu’il écoute depuis plus de vingt ans.  Il retrace donc à la fois son parcours à lui et celui de son « idole », dans un ordre qui n’est pas forcément chronologique puisque quand il a découvert Dylan il avait déjà réalisé plusieurs albums.  Il apprécie d’abord ses musiques avec la guitare électrique qui à l’époque étaient décriées par ses fans de la première heure. Le passage de la guitare sèche à la guitare électrique était pour eu une sorte de trahison.  Pour ces fans, Dylan est mort avec les années soixante.

L’auteur nous mène donc sur les pas des prédécesseurs de Dylan, Woody Guthry notamment qui a eu une grande influence sur le chanteur, d’Allen Ginsberg et de Jack Kerouac. Il essaie de nous faire ressentir un peu les chansons, en nous évoquant de nombreux titres, en écrivant d’ailleurs des extraits de certaines chansons. Celles-ci sont traduites, j’aurais aimé avoir également la version originale. Et j’aurais encore plus aimé pouvoir les écouter à ce moment, comme si le livre pouvait être livré avec un cd ^^ .

J’ai été étonnée par le fait que Dylan n’est pas écrit sur le conflit avec le Vietnam parce que j’étais persuadée du contraire !! Il a d’ailleurs dis à ce sujet :

«  Au fond toutes ces chansons de dénonciation, de « contestation », sont la face négative de son désir intense de voir les hommes libres, heureux dans leur peau sans vouloir emprunter celle des autres ni être obligé de l’emprunter. La guerre, l’injustice sociale, le racisme, la publicité, l’intoxication idéologique, la pression sociale, la fausse culture, tout cela nous vole à nous-mêmes, nous conduit au nivellement, à l’abrutissement, à la mort de notre personnalité propre. Il faut du courage, de la détermination, pour conquérir le droit d’être soi-même, simplement, véritablement. »

Je suis d’accord avec la fin du paragraphe mais je ne vois pas en quoi dénoncer quelque chose, protester ou simplement montrer son désaccord par le biais d’une chanson vous enlève votre propre personnalité.

De nombreux parallèles sont faits avec le poète Arthur Rimbaud dont Dylan s’est beaucoup inspiré, Rémond nous cite donc également Rimbaud, ou nous cite Rimbaud cité par Dylan. Le livre est vraiment bien documenté, il nous fait vraiment ressentir la passion de l’auteur, à la fois pour la musique mais également pour l’homme qu’a été et qu’est devenu Dylan au fil des années. S’il critique parfois son parcours, il y reste tout de même fidèle et nous montre toute l’admiration qu’il a pour lui malgré ses mauvais côtés, notamment la manière dont il a traité Joan Baez.  J’ai trouvé ça parfois touchant.

Il y a une ou deux allusions à Suze Rotolo, la compagne de Dylan qui a elle aussi écrit un livre sur l’artiste, livre que j’ai lu et beaucoup apprécié. ( Le temps des possibles) mais je ne me souviens pas par contre qu’elle ait fait une quelconque référence à Rimbaud. Au final cette idée était assez controversée.

Je pense que je ne connais au final que la période sixties de Dylan. Rémond évoque tout un pend  de son histoire que je ne connais pas, le revirement de Dylan à la fin des années soixante-dix, il se convertit au christianisme et prêche à travers ses chansons. Puis vient l’album Oh Mercy dans els années quatre-vingts, cette album est considéré comme l’album de la renaissance après la rencontre de Dylan avec le chanteur de U2 Bono.

Et comme à chaque fois que je lis quelque chose sur la période je me dis que j’aurais aimé y être dans els sixties, partager le sentiment de Rémond et connaître toutes ces choses.

En bref donc, ce fût une lecture très agréable, qui m’a donné envie d’écouter  les albums plus récents que je ne connais pas du tout, de réécouter les anciens albums et de voir les différents films qui ont été réalisés sur Dylan. Merci donc à BoB et aux éditions JBZ & Cie !

Je vous laisse méditer sur ce second extrait :

« Plus Dylan vieillit, plus nombreux sont les jeunes qui l’écoutent, le découvrent, se reconnaissent en lui, viennent le voir en concert. Sous son chapeau, derrière son piano, il est à jamais ce jeune homme qui ne cesse de chanter la naissance du monde. Avec lui ils refont toute l’histoire, celle d’avant leur naissance. Pour mieux comprendre ce qui est en train de  naître, d’apparaître, là, sous leurs yeux. »

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13 mars 2011

Un dimanche ... au parc des Félins : Les lions blancs

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6 juillet 2011

Lecture commune: Kate Atkinson, A quand les bonnes nouvelles?

 

A_quand_les_bonnes_nouvelles_Quatrième de couverture :

« Dans un coin paisible du Devon, une petite fille de six ans, Joanna Mason, est témoin d'un épouvantable massacre, dont elle est la seule rescapée. Trente ans plus tard, l'homme qui a été condamné pour ce crime sort de prison. A Edimbourg, Reggie, seize ans, travaille comme nounou chez un médecin, le docteur Hunter. Mais quand celle-ci disparaît, Reggie est la seule personne qui semble s'en apercevoir... Enfin, l'inspecteur en chef Louise Monroe retrouve son vieil ami, Jackson Brodie, le détective privé de La Souris Bleue, empêtré dans un mariage malheureux, qui part à la recherche de son fils... Avec humour et maestria, Kate Atkinson brouille les pistes, entremêlant les intrigues et tenant le lecteur en haleine jusqu'aux dernières pages. » 

J’ai beaucoup apprécié cette lecture, certes Kate Atkinson est en terrain conquis avec moi mais il y a bien longtemps que j’avais ouvert un livre de l’auteur, à tort !

Je vais commencé par mon seul bémol, (bon en fait j’en ai deux), d’abord le nombre de morts dans ce roman est assez impressionnant, sans parler de la famille assassinée de Joanna, pratiquement tous les personnages ont au moins subi un décès dans leur entourage, et Reggie les cumule pas mal aussi ! Mon second bémol c’est pour la résolution de l’intrigue qui n’est pas tout à fait claire et un peu tirée par les cheveux !

Mais bon je lui pardonne moi à Kate parce que tant son écriture, que ses personnages sont des petits bijoux, je me suis beaucoup attachée à Reggie et au docteur Hunter. J’ai été très intriguée par Jackson Brodie (que j’ai un peu imaginé sous les traits de Sean Penn) et puis j’ai déjà hâte de retrouver Louise Monroe pour savoir si elle va continuer à s’empêtrer dans un mariage qui l’ennuie. Bon je vais commencer par lire La souris bleue, pour découvrir ce qui s’est passé avant, mais j’espère que Kate Atkinson nous écrira une suite bientôt !

Le personnage de Reggie, même si peu réaliste (bin oui quoi une gamine de 16 ans orpheline n’est pas laissée livrée à elle-même dans son appartement) est très touchant, elle est déterminée, ne perd pas courage, bien au contraire.  Elle est très attachée au docteur Hunter et à son bébé et se bat pour les retrouver.  Le mari par contre lui est détestable, il en faut bien un !

Le docteur  Hunter a su se reconstruire, c’est devenue une femme épanouie et respectable malgré le traumatisme qu’elle a vécu. J’ai un peu partagé l’admiration de Reggie pour ce personnage.

Kate Atkinson fait de nombreuses références aux classiques de la littérature britannique, celle-ci m’a particulièrement plu : «  Ils avaient été aussi chastes que les protagonistes d’un roman de Jane Austen. Tout en raison et sans sentiments, pas la moindre persuasion. »

Je conseille donc vivement cette lecture qui saura vous tenir en haleine cet été. C’était une lecture commune avec Valérie et Enna, allons voir ce qu’elles en ont pensé.

13 septembre 2011

J K Rowling, Harry Potter and the Philosopher's stone - Tome 1

Harry_potter_tome_1Quatrième de couverture:

"Harry Potter thinks he is an ordinary boy - until he is rescued by a beetle eyed giant of a man, enrols at Hogwarts School of Witchcraft and Wizardry, learns to play Quidditch and does battle in a deadly duel. All because Harry Potter is a wizard!"

Il était tout de même grand temps pour moi que je découvre les aventures du jeune Harry Potter, et ce vraiment à reculons, limite sous la torture, simplement parce que j'avais honte de ne les avoir jamais lu et que j'ai dégoté les deux premiers tomes en VO pour 1 euro en brocante ... Oui oui oui je confesse tout cela!

Et contre toute attente donc (cf mes épenchements ci-dessus) j'ai beaucoup aimé!! Mais diante pourquoi n'ai-je pas lu ça plus tôt?? J'ai même regretté du coup de ne aps avoir emmené le second tome avec moi en vacances et ai dû patienter la fin août pour connaître la suite des aventures du jeune sorcier! (oui à l'heure où j'écris ce billet, bien bien en retard j'ai déjà lu le second tome et viens de recevoir le troisième.)

J'ai beaucoup apprécié l'histoire, et bien sûr les personnages mais c'est surtout l'écriture de Mrs Rowling qui m'a plu. C'est drôle, simple, facile à comprendre je pense même si on n'a pas un super niveau d'anglais. Les jeux de mots sont des petits bonbons à savourer et les liens d'amitié qui unissent rapidement Harry, Ron et Hermione mettent du baume au coeur. On est loin de nos cours de récré et on a envie nous aussi d'être de leurs amis! Bien sûr j'aime le personnage d'Harry Potter mais j'ai aussi beaucoup accroché à celui de Ron. Je ne peux pas non plus ne pas citer Hagrid, un peu bourru mais loyal, et le professeur Dumbledore qui semble veiller sur Harry. Alors bien sûr je ne peux pas non plus détester un certain Draco Malfoy et ses deux débilos d'amis ou encore la famille de Muglers dont Harry est victime. Oui victime, parce qu'entre nous quand même enfermer un gosse sous un escalier même si on en rêve parfois, c'est vilain, très vilain!

Alors si comme moi vous hésitez depuis des années et que vous arrivez à vous débrouiller en VO, n'hésitez plus et lisez-le! (même pas en Vo hein)

14 septembre 2011

Challenge un mot des titres

J'ai décidé de participer à cette troisième session du Challenge un mot des titres proposé par Calypso. Le principe est simple, il s'agit de lire un livre dont le titre comporte le mot choisi pour la session, après le mot Soleil, place à la Nuit et ça tombe bien puisque j'ai deux titres dans ma PAL qui contiennent ce mot. Rendez-vous donc le 15 Octobre pour découvrir les lectures de tous les participants.

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edit: on me signale dans l'oreillette que je n'ai non pas deux mais TROIS livres dans ma pal wouhou, c'est d'ailleurs très probablement le 3e que je lirai!)

25 septembre 2011

Un dimanche... à Fougères

Maxi Méa Culpa, je n'ai pas oublié le rendez-vous hebdomadaire de lundi je n'ai juste pas eu le temps de faire mon billet, donc demain nous partirons à Fougères comme annoncé aujourd'hui et au Mont Saint Michel pour la semaine dernière :)

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Les dimanches en photos sont  aussi chez : Liyah,   MyaRosa,   LounimaHilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

2 octobre 2011

Un dimanche à ... Saint Malo

Aujourd'hui je vous emmène donc à Saint Malo. Ces deux photos ont été prises de Dinard et nous montre la ville intra-muros vue de la mer et entourée par ses remparts.

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Demain nous passerons donc ensemble la journée à Saint Malo, et puisqu'un certain écrivant que j'apprécie beaucoup y a élu résidence, cette semaine sera également consacrée à trois de ses livres, excepté mardi puisque rendez-vous est pris avec le premier Mardi c'est permis de Stéphie.

Alors alors, c'est qui cet écrivain?

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22 septembre 2011

Nick Hornby, Haute Fidélité

haute_fideliteQuatrième de couverture:

"Il y a de quoi faire dans cette histoire destinée aux individus coincés et mal coincés entre la trentaine et tout ce qui suit. Rob, bientôt 36 ans, est mal en point : "Qu'ai-je fait de ma vie ?" se demande ce sempiternel adolescent qui craint de vieillir (même bien), au lendemain d'une rupture, en contemplant les bacs de son magasin de disques pop paumé dans une ruelle de Londres. [...] Pour notre plus grand plaisir, Rob, qui se demande in fine s'il ne serait pas un nul, décide d'entamer la falaise. Il récapitule ses amours, depuis le premier, à douze ans, qui dura trois fois deux heures jusqu'au dernier, une nuit correcte avec une chanteuse américaine, et dresse un inventaire hilarant de ses états d'âme. [...] Tous ceux qui considèrent comme vertige nécessaire le fait de savoir à un moment donné faire durer une relation monogame, se délecteront à la lecture de ce roman post-mélancolique qui célèbre les vertus du rire.»"

Rob nous fait le récit intérieur de ses amours passés. Après sa rupture avec Laura, il nous raconte les cinq ruptures qui l'ont le plus marqué dans sa vie et qui d'après lui font que ses relations amoureuse à l'âge adulte ne marchent pas.

Viens ensuite le récit de sa rupture avec Laura (qu'il ne classe pas dans son top 5)...

Rob tiens un magasin de disque donc forcément les références à la musique y sont très nombreuses, connues voire totalement inconnue (enfin en ce qui me concerne). C'est un passionné de vieux vinyles, ça donne parfois envie d'aller se plonger dans les bacs d'un disquaire d'occasion, comme on en trouve partout à Londres.

A travers ses différents récits, le narrateur s'interroge et nous interroge sur la question de l'engagement, sur ce qui fait qu'un couple tient ou non, sur la personnalité des gens. Doit-on se définir à travers l'autre ou continuer en parallèle de sa vie de couple, sa propre vie. Les deux points de vue de Rob et de Laura sont foncièrement différents, en ce sens au final est-ce que leur couple peut tenir?

Je 'nia aps retrouvé le même engouement que pour Slam mais j'ai quand même apprécié cette lecture, pas tant par l'histoire qui est somme toute assez banale, mais parce que j'aime beaucoup l'humour de Nick Hornby. Il arrive à la fois à se moquer de ses personnages et à les prendre au sérieux.

8 juillet 2011

Katherine Pancol, Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi

 

 

les_ecureuils_de_central_park_sont_tristes_le_lundiQuatrième de couverture :

« Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
 »

Si j’ai globalement apprécié la lecture de ce dernier titre de Katherine Pancol je n’ai pas été aussi emballée que les deux premiers volets de cette série. Certes on retrouve la plume plutôt amusante de l’auteur et tous les personnages que j’ai apprécié (ou pas) dans les tomes précédents. Joséphine est toujours aussi niaise mais  bon on l’aime comme ça, Zoé grandit, Hortense est toujours aussi détestable, Junior (no comment moi je trouve que c’est une blague ce gamin), Shirley et Gary qui ne sont pas assez présents à mon goût, et le cure-dent qui commence à me les briser avec ses idées de vengeance ! La fin laisse à penser qu’il y aura un quatrième tome mais ça sent un peu le réchauffé. J’ai trouvé qu’il y avait parfois des longueurs, comme si Madame Pancol avait voulu broder autour des personnages, sans véritable consistance le tout rendu un peu plus attrayant par de trop nombreuses scènes de sexe que j’ai souvent trouvé ridicules !

Le positif c’est que quand même j’apprécie l’humour qui se dégage de ces pages et que certains personnages sont quand même très attachants (le beau Gary notamment). J’ai aussi apprécié que Philippe et son fils soient plus présents, même si l’accueil des nouvelles personnes dans leur maison me paraît un peu surréaliste.

C’est donc une déception, je sais on m’avait prévenu ^^, j’aurais préféré finalement quelque chose de plus condensé et qui tienne plus en haleine.

5 octobre 2011

Olivier Adam, Ni vu ni connu

ni_vu_ni_connuQuatrième de couverture:

"Caché dans la chambre des parents de Thomas, Antoine attend qu'on le trouve. Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Thomas et tous les invités jouent à cache-cache. Sauf que personne n'est venu et que les autres sont partis jouer aux fléchettes dans le jardin, sans Antoine. Personne ne l'a trouvé parce que personne ne l'a cherché. Ça se passe toujours comme ça pour Antoine. On ne se souvient jamais qu'il est là, qu'il joue, qu'il existe. Au fond, personne ne l'aime ou le déteste vraiment. C'est comme s'il était invisible. Ce jour-là, Antoine décide de se faire oublier pour de bon. Il ne rejoint pas le groupe dans le jardin, il veut rester caché. Puisqu'il a un don pour passer inaperçu, il va s'en servir. Ni vu ni connu, il va espionner les autres. Et découvrir leurs secrets."

J'ai emprunté ce roman au rayon jeunesse quand j'ai emmené ma nièce à la médiathèque pendant les vacances, et aussitôt à la maison, aussitôt lu. Dur dur cependant d'écrire mon billet, j'ai l'impression que tout est dit dans la quatrième de couverture. J'ai certes apprécié cette lecture, on y retrouve les thèmes de prédilection de l'auteur, la solitude principalement. La solitude de ce petit garçon auquel personne ne prête attention. Il est mal dans sa peau, ne trouve pas sa place parmi les enfants, mis de côté également par les adultes.

Cette histoire soulève également des questions sur le paraître. Comment l'on perçoit les gens, comment eux veulent être perçus et comme ils sont vraiment.  A travers cette histoire, j'ai eu l'impresison donc qu'Olivier Adam essayait de transmettre à ses jeunes lecteurs qu'il ne faut en somme pas se fier aux apparences, chacun ses petits secrets et chacun ses faiblesses, personne n'est infaillible.

Val avait donc vu juste, cette semaine sera consacré à Olivier Adam qui réside effectivemet à St-Malo ;)

9 octobre 2011

Un dimanche à ... Dinard

Cette semaine je vous enmène à Dinard. Cette ville est réputée pour sa côté et son climat plutôt clément pour la Bretagne.

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Les dimanches en photos sont  aussi chez : Liyah,   MyaRosa,   LounimaHilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

20 octobre 2012

Eric Fottorino, L'homme qui m'aimait tout bas

lhomme_qui_m_aimait_tout_basQuatrième de couverture:

"Mon père s'est tué d'une balle dans la bouche le 11 mars 2008. Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970. Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tunisie natale. En exerçant son métier de kinésithérapeute, il travaillait " à l'ancienne ", ne s'exprimait qu'avec les mains, au besoin par le regard. Il était courageux, volontaire, mais secret : il préféra toujours le silence aux paroles, y compris à l'instant ultime où s'affirma sa liberté, sans explication. " Ce sont les mots qu'ils n'ont pas dits qui font les morts si lourds dans leur cercueil ", écrivit un jour Montherlant. Mais il me laissa quand même mes mots à moi, son fils vivant, et ces quelques pages pour lui dire combien je reste encore avec lui."

 

Il ne faut pas lire ce livre comme un roman, c'est ce qui a un peu péché au début de ma lecture... Mais finalement avec le recul et le temps de "décantation" post-lecture je me rends compte que je l'ai beaucoup aimé. Nous suivons le fil de la pensée de l'auteur qui revient sur ce qu'a été son enfance avec son père, sa vie d'adulte, et les incompréhensions que sa mort a laissé.

L'écriture d'Eric Fottorino est très touchante forcément mais ne tombe à aucun moment dans le larmoyant que pourrait entrainer un tel sujet. Il se souvient simplement, comme on pourrait tous le faire lors de la perte d'un proche. Certains évènements marquants reviennent à la surface, au gré de nos pensées, sans qu'on maîtrise leur chronologie. Il revient bien sûr sur son adoption et sur l'amour que cet homme adulte qui est devenu son père, et lui, enfant se sont portés dès les premiers instants. C'est donc un livre très intime entre un fils et son père ... Le lecteur est le témoin de ces sentiments, j'ai souvent eu l'impression de m'immiscer dans cette bulle d'intimité, prête à exploser de par mon voyeurisme...

Un livre fort en somme mais à ne pas lire n'importe quand tant il met à nu certaines fragilités ...

16 janvier 2013

Jean-Philippe Blondel, Blog

blogQuatrième de couverture :
"Révolté par cette trahison, par ce " viol virtuel ", le narrateur décide de ne plus adresser la parole à son père. Pour se racheter, ce dernier lui fait un don... une plongée dans le passé qui ne sera pas sans conséquence. Un roman de la filiation et de l'écriture intime".


Une fois encore j'ai accroché à la simplicité de l'écriture de Jean-Philippe Blondel. Les émotions sont fortes, le sentiment de trahison partagé et l'amour entre le père et le fils aussi. Cette plongée dans les souvenirs m'a rendue un peu mélancolique et puis bien sûr j'ai beaucoup apprécié cet adolescent mur pour son âge, qui a des choses à dire et beaucoup d'humour.

 Ce fût donc un très bon moment de lecture, dommage que ce soit si court!

Billet très court, je m'en excuse ... Voilà déjà un mois que j'ai lu ce roman ... Le temps file à toute vitesse ...

 

29 janvier 2013

Jean-Philippe Blondel,Un minuscule inventaire

Minuscule_inventaireQuatrième de couverture:

"Une paire de boucles d'oreilles, un hamac, un cendrier... le bric-à-brac habituel des vide-greniers.  Pour ceux qui achètent, c'est l'occasion d'une trouvaille ou d'un cadeau.  Pour ceux qui vendent, comme Antoine, c'est parfois un déchirement inattendu. 
 
À 42 ans, alors que sa femme vient de le quitter, il profite d'une brocante pour faire un grand ménage dans sa maison et dans sa vie.  Mais voir disparaître un à un ces objets apparemment anodins, c'est aussi dérouler le fil de son existence, avec ses découvertes, ses joies et ses malheurs.  Pour Antoine, le moment est alors venu de faire enfin la paix avec ses souvenirs et de se donner les moyens d'un nouveau départ..."

 

Alors que les billets sur le dernier roman de Blondel fleurissent ces temps-ci (oui oui on sent une petite pointe de jalousie :p ) je vous livre mon très court avis sur l'un des premiers romans de l'auteur. Et bien sûr je suis conquise ... Il n'y a plus vraiment d'effet de surprise quand vous lisez mes avis sur les romans de Jean-Philippe Blondel, et pourtant la surprise est toujours au rendez-vous lors de mes lectures. Je m'attache aux personnages, ils m'émeuvent et s'animent sous mes yeux. Trêve d'envolée lyrique, chaque objet vendu par le narratuer lors de ce vide-grenier le ramène à un souvenir, l'achat de boucles d'oreilles, la lecture d'un roman, la rencontre avec celle qui est aujourd'hui son ex-femme. Il nous fait part de ses sentiments, et des émotions liés aux objets, et on vit avec lui les tranches de sa vie, celles qui ont fait de lui l'homme d'aujourd'hui.

Le petit plus du roman étant aussi le "devenir" de ces objets, en effet on suit également pour quelques pages les personnes qui font l'acquisition des objets d'Antoine. Certaines histoires se recoupent avec la sienne. Je pense notamment à la couverture jaune ... Des liens se tissent à l'insu des personnages, comme dans Accès direct à la plage.

Pour conclure je dirai que Jean-Philippe Blondel manie avec brio les tranches de vie et fait passer beaucoup d'émotion en peu de mots. Un coup de coeur donc ...

 

Un extrait qui m'a marquée... " Je me suis senti mieux. Voilà. Il me fait me sentir mieux. Et même bien, souvent - je ne sais pas ce que j'ai pu lui apporter en échange. C'est l'un des mystères de mon existence - je sais ce que les autres me donnent mais j'ignore ce que je peux leur offrir."

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