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Notes de lecture
30 juin 2011

Craig Ferguson, Dernière sortie avant l'autoroute

 

FergussonQuatrième de couverture :

« Qu’y a-t-il donc de commun entre George et Fraser ? L’un est avocat pénaliste à la vie tranquille, l’autre télévangéliste à l’appétit insatiable pour les femmes. Ces deux là étaient peut-être amis à l’adolescence, mais ils se sont rapidement perdus de vue. Seulement voilà, George a un cancer et Fraser doit faire face à un scandale sexuel. C’est le moment idéal pour un examen de conscience et pour couper les ponts avec leur ancienne vie. Histoire de croiser une nouvelle fois leurs destins ? »

J’avais repéré ce livre lors de la rentrée littéraire 2009 donc quand l’occasion s’est présentée j’ai sauté dessus, merci donc à Newsbook et aux Editions  Pocket pour cette découverte.

La première chose qu’on puisse dire c’est que ce livre est plutôt  original tant dans la forme que dans le fond. La majorité des personnages sont tous plus loufoques les uns que les autres ! Je reconnais avoir parfois été déroutée par certaines histoires et/ou certains personnages. Le personnage de Fraser m’a paru très antipathique, il m’a laissé l’impression de quelqu’un de très cupide qui ne pense qu’à l’argent et au sexe.  Les deux frères orphelins n’ont eux aussi pas beaucoup de scrupules et ne pensent qu’à se faire de l’argent par le biais de la religion. C’est le côté pseudo-documentaire sur la télévangélisation qui est intéressant via ces deux personnages, et le prêtre perdu au fin fond de nulle part qui vit totalement en marge de notre société actuelle. C’est un phénomène relativement courant aux Etats-Unis, l’exemple le plus connu étant bien sûr celui des amish. L’auteur semble beaucoup s’amuser des dérives de la religion, de la manière dont des personnes charismatiques se servent de leur charisme pour engrainer des gens perdus, en recherche de repères. L’expédition dans le bus nous le montre, plus ils avancent dans leur périple plus ils rencontrent de gens et les « convertissent ».

J’ai cependant trouvé qu’il y avait des longueurs, je me suis un peu ennuyée c’était un peu trop décalé pour moi je crois.

J’ai cependant apprécié un autre aspect du livre : l’histoire de George, sa rencontre avec  Claudette. J’ai beaucoup apprécié ces deux personnages. Beaucoup de tendresse se dégage de ses passages sur ces deux personnes totalement inconnues que le destin réuni sur un coup de tête. Un livre aurait pu être consacré à leur histoire, je l’aurais lu avec plaisir en tout cas.

Je ne vous cache pas que cette lecture est une déception, j’ai trouvé que la quatrième de couverture nous annonçait quelque chose qui  n’arrive pas vraiment dans le livre, si les deux personnages se rencontrent une nouvelle fois des années après, je n’ai pas vraiment trouvé cette rencontre satisfaisante et au final les deux anciens amis évoluent en parallèle mais chacun de leur côté, moi je m’attendais à des retrouvailles, à une intrigue ficelée autour de leur amitié, quelque chose dans ce goût là. C’est dommage !

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28 juin 2011

Nick Hornby, Slam

 

slamQuatrième de couverture :

« Vous savez ce que c'est, un slam ? En langage de skateboarder ça veut dire qu'on se casse la gueule. Et moi, le skate et les filles, c'est tout ce qui m'intéresse.

Je m'appelle Sam, j'ai 15 ans, je vis avec ma mère qui en a 31. Vous avez pigé : elle m'a eu quand elle avait 16 ans, du coup elle me dit toujours de faire attention avec ma copine. Parce que c'est comme avec le skate : un accident est vite arrivé... »

 

C’est donc avec Slam que je découvre la plume de Nick Hornby qui m’était totalement inconnu avant de découvrir la blogosphère.

Au début je me suis dis au secours il va me saouler cet ado avec ses histoires de skate ! Mais finalement après quelques pages le skate  prend une place moins importante dans la vie du narrateur et donc dans la narration. Certes il parle toujours avec le poster de son idole du skate Toni Hawk quand il a besoin de conseils  mais c’est très drôle, un peu bizarre quand il en rêve et fait des incursions dans son futur mais drôle quand même.

D’ailleurs c’est l’adjectif que je retiendrai pour qualifier ce livre, c’est drôle du début à la fin, j’ai beaucoup ri ! Pour autant il ne traite pas le sujet principal avec légèreté, et n’emploie pas non plus un ton moralisateur qui n’aurait pas été agréable à lire de toute façon je pense.

 

Les personnages sont touchants, comme Will, j’ai beaucoup apprécié la relation entre Sam et sa mère, mais j’ai aussi aimé els personnages secondaires Rubbish et Rabbit. A l’inverse, la famille Burns m’a profondément horripilée. J’ai trouvé ces trois personnages très antipathiques. Ils sont bourrés de suffisance et de préjugés. Ca m’a d’autant plus agacée que j’ai moi-même des parents très jeunes, pour autant je ne suis pas devenue une mère adolescente tout comme eux. De plus, il semblerait qu’eux aussi se trainent de lourdes casseroles et feraient donc mieux de balayer devant leur porte. Je n’aime pas du tout ces gens qui, parce qu’ils ont un niveau de vie supérieur au votre se permettent de vous juger. De plus, Alicia est une ado superficielle, centrée sur elle-même et pas très réfléchie contrairement à Sam qui est drôle, intéressant et cultivé.

 

Hornby nous fait part de l’angoisse de devenir parent jeune. Comme je l’ai dis j’ai apprécié la relation entre Sam et sa mère mais un aspect m’a fait un peu tiquée : le reproche de la mère à son fils, ou à elle-même de lui avoir gâché la vie qu’elle aurait pu avoir si elle ne l’avait pas eu si tôt. Je trouve ça aberrent qu’on puisse reprocher sa naissance à un enfant, c’est pas comme ci la contraception ou l’avortement n’existaient pas, si on l’envisage de cette manière alors vaut-il peut-être mieux envisager la seconde solution ou l’adoption !

 

J’ai beaucoup apprécié le style et le ton employé par l’auteur, c’est frais, ça se lit facilement, ce n’est pas non plus du un style télégraphié comme pourrait l’être celui d’un adolescent. Il a su trouver els mots justes pour aborder un sujet plutôt délicat. Bravo !

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26 juin 2011

Un dimanche ... au salon du livre de Coulommiers

Hier se tenait le premier salon du livre de Coulommiers, je suis allée y faire un tour sous un soleil de plomb! Une trentaine d'auteurs étaient présents et le salon était parrainé par l'actrice Mélanie Laurent (que j'aime beaucoup!). J'ai acheté deux livres: J'aimerais revoir Callaghan de Dominique Fabre et Ca commence par la fin de Michaël Cohen. J'ai pu faire dédicacer le second par l'auteur qui avait l'air assez sympathique, j'en ai profité pour lui voler une photo avec Mélanie Laurent ^^ C'est en écrivant mon billet que je me rends compte que j'ai vu l'adaptation de ça commence par la fin au cinéma l'anéne dernière, THE cruche en puissance!!

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25 juin 2011

Swap Une vague bleue

Deuxième couleur dans la palette des swap Mettez de la couleur dans votre PAL de Val, cette fois ci ma binômette était Aproposdelivres dont j'ai découvert le blog par la même occasion :)

La découverte du colis dans ma BAL fût fort réjouissante au vu de la journée affreuse que j'avais passé! (je déteste les fin d'années scolaires!! ) ça m'a mis du baume au coeur ^^

(bon comme à chaque fois que je reçois un paquet dans un swap, je complexe sur mes deux mains gauches, et j'nevisage fortement une greffe, donc si quelqu'un a une main droite en trop, qu'il me contacte par commentaire :) )

Découvrons plutôt le colis confectionné par Aproposdelivres!

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La carte et les MP: une jolie carte pirate, je la trouve très originale, et quatre marque-pages dont deux faits mains! J'admire! Vous pouvez voir aussi que les paquets étaient accompagnés d'un petit mot aux couleurs du swap!

Les suprises: un mug turquoise (une de mes couleurs préférées!) comme je disais à ma binôme il restera chez moi pour pas qu'on me le casse au boulot! Un stylo gel "soufflé" qui rejoindra ma trousse à la rentrée.

Les gourmandises: des galettes bretonnes (miam) et deux tablettes de chocolat (déjà bien entamées) l'un au lait avec amandes caramel et fleur de sel (un régal) et l'autre chocolat blanc noix de coco (tout aussi bon)

Les livres: Le rocher de Montmartre de Joanne Harris que je voulais depuis un moment parce que j'ai adoré Chocolat!, Last exit to Brest de Claude Bathany (de la Bretagne encore, oui!!), et Les invités de l'île de Vonne Van der Meer dont j'aime beaucoup la couverture. Je pense que les trois m'accompagneront en vacances!

Encore merci à ma swappée swappeuse, j'aime beaucoup ce colis qui me donne un avant goût de vacances! Merci aussi à Val pour l'organisation et pour ces idées de swap!! D'ailleurs, c'est maintenant parti pour le swap Encre noire sur page blanche dont les couleurs sont noir et blanc et le thème l'écriture!

 

22 juin 2011

Olivier Adam, Passer l'hiver

 

Passer_l_hiverQuatrième de couverture :

« C’est l’heure où tout bascule, où les failles se creusent. Les enfants dorment, innocents, et le couple fatigue ; on oublie dans l’alcool et la mélancolie le froid du monde. Prof, chauffeur de taxi, infirmière, ex-taulard, vivent ces moments suspendus. Ces nuits de solitude opaque, et s’imposent l’effort de tenir, invaincus, jusqu’au lendemain : passer l’hiver en somme. »

C’est assez rare mais oui j’ai aimé ce recueil de nouvelles ! Bon oui je crois que le fait que ce soit d’Olivier Adam affecte un peu mon jugement.  Passer l’hiver nous fait part de ces moments dans la vie où l’on prend conscience que la vie nous échappe, qu’elle ne va pas dans la direction à laquelle on aspirait, à laquelle on s’attendait.

Olivier Adam, comme d’habitude, appuie là où ça fait mal et utilise les mots justes pour décrire els douleurs qui habitent les gens comme vous et moi. Pas de héros, pas de héroïnes, juste vous et moi : un couple qui semble ne plus s’aimer, un père qui profite du temps passé avec ses filles qu’il a peur de perdre, la pudeur qui s’installe entre des personnes qui ne savent plus communiquer, la perte d’un enfant, le chagrin qui s’immisce dans le couple, la solitude, le deuil d’un proche, le manque de communication entre parents et enfants, frères et sœurs, la réinsertion dans la société, la famille monoparentale, la difficulté de concilier travail et famille, la pression du travail, la fuite dans l’alcool ou avec les kilomètres, la passion furtive, la maladie … C’est tout ce qu’on retrouve dans les nouvelles d’Olivier Adam.  Ca n’est pas joyeux du tout, mais c’est bien écrit, les mots utilisés sont justes avec ce qu’il faut de pudeur pour ne pas tomber dans le pathos. On a l’impression que l’auteur est passé par chacune de ces situations pour qu’il puisse en parler de cette manière.

Plus je lis cet auteur plus je suis déçue de ‘lavoir manqué au salon du livre…

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19 juin 2011

Un dimanche...dans le Peak District

Le Peak District est un parc national situé au centre de la Grande Bretagne qui s'étend sur plusieurs centaines de kilomètres.

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Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

16 juin 2011

John Fante, La route de Los Angeles

 

La_route_de_Los_AngelesQuatrième de couverture :

"La Route de Los Angeles, premier roman de John Fante, a été écrit en 1933 mais publié après sa mort, en 1986. Il y raconte la bourlingue américaine classique : recherche de petits boulots, vie de bagarres et de vols, personnages gueulards rencontrés sur les quais ; ajoutez une forme d'humour sauvage, cinglant et de plein air. John Fante, avant les beatniks, a raconté l'aventure des laissés-pour-compte, des ivrognes. La Route de Los Angeles, c'est déjà le bréviaire d'une Amérique vulgaire et mal élevée."

Ce premier roman de Johan Fante n’a donc pas été publié après son écriture en 1933 mais seulement dans les années 80 car il était jugé trop osé pour l’époque.  Son récit annonce cependant l’arrivée des beatniks quelques années plus tard.

Il semblerait que John Fante se soit inspiré de sa propre vie, le narrateur Arturo Bandini ne sait donc que lui-même. Bandini mène une vie assez misérable, il passe de petits boulots en petits boulots et vit avec sa mère et sa sœur plus ou moins au crochet de son oncle.

Il semble cultivé, peut-être même un peu trop d’après lui pour sa classe sociale. Il m’a paru très imbu de lui-même, il méprise tout le monde sauf lui. Il est selon moi un peu taré sur les bords et complètement à l’ouest…

L’histoire est assez drôle mais je n’ai pas tellement apprécié le style,  de grands mots pour pas grand-chose, à l’image de son narrateur qui se prend pour un écrivain mais qui griffonne un calepin au fond des toilettes sans jamais se relire !

C'est certes très symbolique de la litt"rature américaine après la crise de 29, des désillusions, de la pauvreté etc mais ce style de roman ce n’est vraiment plus ma tasse de thé !  (je crois que j'en ai marre des galndeurs-magouilleurs) Je m’en vais de ce pas épurer ma LAL. Bin oui quand ça ne passe plus, ça ne passe plus !

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(7/7) Je termine donc mon challenge!

14 juin 2011

Thierry Jonquet, Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte

 

Ils_sont_votre__pouvanteQuatrième de couverture :

« Septembre 2005, Anna Doblinsky rejoint son premier poste en colllège à Certigny, dans le 9-3. Zone industrielle, HLM, trafics et bagarres entre bandes rivales, influence grandissante des salafistes, voilà pour le décor. Seul Lakdar Abdane, jeune beur très doué, sort du lot. Pourtant une erreur médicale va bouleverser sa destinée...» 

Tout d’abord je dois dire que j’ai été très étonnée par cette lecture parce que je ne m’attendais pas du tout à ce genre de livre. Personnellement je ne qualifierais pas ce roman de roman noir, certes ce qui est décrit est très noir mais ça ne correspond pas tellement à la vision que je me faisais du roman noir (qui m’est sans doute toute personnelle j’en ai bien conscience !)

Au début du livre, l’auteur nous présente tour à tour les personnages de l’histoire, à commencer par Adrien, un adolescent perturbé aux idées morbides et en décrochage scolaire et Anna, professeur de français fraîchement nommée à Certigny dans le 93 directement après son année de stage à l’iufm.

La ville de Certigny, personnage à part entière de l’histoire nous est ensuite présentée, cette ville est divisée en cinq zones chacune « dirigée » par un chef de gang, du trafic de cannabis à la prostitution en passant par la radicalisation, chacune a son petit business.

Les histoires et appartenance aux gangs vont régenter l’histoire qui nous est raconté par Thierry Jonquet. Un Thierry Jonquet fort documenté en ce qui concerne l’enseignement en zep pour les jeunes professeurs visiblement !

On est happé par l’enchainement des évènements, l’ancrage dans les faits d’actualité ne fait que rendre l’histoire plus vraisemblable ! J’ai parfois été mal à l’aise parce que ce livre fait état du racisme, du désolement dans les cités, de la construction des pensées extrémistes (quelles qu’elles soient). C’est un livre donc parfois dérangeant, une grosse claque dans la figure.

Ce qui transparaît et qui m’a bien évidemment le plus marqué est cet état frustrant que l’on ressent parfois face à l’impuissance du système éducatif tel qu’il est aujourd’hui. L’école qui est démunie face aux jeunes qui ne voient pas qu’étudier peut-être un moyen de s’échapper de la vie qu’ils mènent.

Mon point négatif dans l’histoire, c’est l’histoire d’Adrien, qui, j’ai trouvé, n’apporte pas grand-chose au livre, de la violence gratuite un peu inutile. Je me suis même demandé si ce n’était pas pour contrebalancer un peu avec les autres violences,  pour montrer que le petit bourgeois blanc peut aussi tuer.

En bref, un livre à lire assurément mais surtout pas qu’on a un coup de cafard !

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12 juin 2011

Un dimanche à... Newcastle (la ville aux ponts)

Souvenirs de vacances entre amies, une chose est sûre, à Newcastle fin octobre il fait un froid de canard!

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Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

11 juin 2011

Le facteur sonne toujours deux fois (bis)

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J'avais gagné un concours chez Val courant Mai, c'est la première fois que je gagne un concours du coup j'étais super contente, et puis Val ne fait jamais les choses à moitié vous voyez! Son colis reprend tous les thèmes de la série de swap qu'elle a lancé "Mettez de la couleur dans votre PAL", le swap rouge déjà passé et le swap bleu à venir très prochainement.

Dans mon colis il y avait donc trois romans en VO (c'est son côté prof d'anglais, avoue-t-elle, mais ça va ça correspond bienà mon côté prof d'anglais aussi!) : The hand that first hold mine de Maggie O'Farrell, Dark places de Tana French, et The slap de Christos Tsiolkas. Cinq marque pages, une jolie carte fleurie, deux stylos (rose et violet) pour être une prof hyper Hype à la rentrée, des oeufs à la coque milka (donc au chocolat, une tuerie moi je dis!) et un petit savon The body shop orange accompagné d'un baume pour les lèvres à la mangue.

Mille mercis  Val pour ce très chouette colis plein de surprises et de petites étoiles ^^

 

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Bon le facteur a sonné un autre jour de la semaine mais je n'étais pas là, ce matin direction la poste pour récupérer mon paquet vert ^^ et badaboum Will a encore frappé!!

Une carte toute mimi accompagné de Miel et Vin de Myriam Chirousse, qui est sur ma LAL depuis sa sortie grand format, j'attendais sa sortie poche avec impatience et Wisconsin de Mary R. Ellis, qui a tout pour me plaire lui aussi!

Merci beaucoup Will !

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