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Notes de lecture
27 février 2011

Un dimanche à...l'heure du thé ^^

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Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

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25 février 2011

Alexandre Dumas, Vingt ans après

IMGP1312Résumé du livre :

"Vingt ans ont passé, les quatre amis ont toujours la même amitié, même si leurs priorités sont, elles, différentes : Athos a un fils Raoul, Porthos pense à son titre de noblesse, Aramis a ses intrigues amoureuses et d'Artagnan sert le cardinal Mazarin, de plus en plus impopulaire. Néanmoins leur solidarité et leur envie sont toujours au rendez-vous pour vivre des aventures en France ou même en Angleterre"

C'est cinq ans après Les trois mousquetaires que je me suis plongée dans ce second volet écrit par Alexandre Dumas. Comme l'indique le titre, on retrouve les quatre vingt années plus tard. Chacun a poursuivi sa route, Athos et Porthos vivent chacun sur leurs terres, Aramis est devenu abbé et seul D'Artagnan est resté mousquetaire au service du roi. Vingt années se sont écoulées mais ces quatre mousquetaires ne semblent pas avoir vieilli, ils sont toujours aussi alertes, prêts à dégainer leurs épées pour défendre la veuve et l'orphelin. On les retrouve d'abord opposés, chacun défendant sa cause, d'un côté D'Artagnan et Porthos, de l'autre Athos et Aramis. D'artagnan m'a parfois agacée, et j'ai trouvé presque tout au long de l'histoire Aramis assez antipathique, mais j'ai été touchée par la simplicité de Porthos et la générosité d'Athos. Au final les quatre hommes se complètent et s'équilibrent. On est toujours prêt à embarqué dans leurs aventures plus abracabantesques les unes que les autres, et si donc les personnages ont vieilli, la plume de Dumas est restée intact. C'était un vrai régal de replonger dans cette écriture, qui n'est pas sans rappeler un certain Cervantes. Dumas se sert avec brio du contexte historique pour tenir le lecteur en haleine, et même s'il arrange l'Histoire pour servir son histoire, c'est toujours intéressant de se réapproprié l'histoire de France mêlée ici à celle de l'Angleterre, j'avoue que tout ça est bien loin pour moi maintenant!!

J'ai donc passé d'agréables moments en compagnie des quatre hommes, les personnages féminins y sont bien moins présents de dans les Trois mousquetaires, excepté Anne d'Autriche et aux quelques autres grandes dames de La fronde, la figure de Milady n'étant plus de la partie, les femmes perdent un peu de leur importance. D'ailleurs Anne d'Autriche est totalement sous la coupe du Cardinal Mazarin. Les méchants ne sont donc pas forcément ceux auxquelles on s'attendrait en premier lieu ...

Et puis il y a aussi donc l'apparition d'un nouveau personnage: Raoul qui sera central dans le Comte de Bragelonne, que je lirai volontiers!

En bref, une très bonne lecture mais je n'en attendais pas moins de toute façon :)

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23 février 2011

Michèle Lesbre, Le canapé rouge

Le_Canap__RougePrésentation de l'éditeur:

"Dans le transsibérien qui la conduit à Irkoutsk, tandis que défilent les paysages, Anne songe à l'amitié qui la lie à une vieille dame, Clémence Barrot, laissée à Paris.

 

Elle lisait à cette ancienne modiste la vie de femmes libres et courageuses telle Olympe de Gouges, auteur de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne... Et partageait avec elle des souvenirs tendres et douloureux: ceux des amours passées... Le dixième livre de Michèle Lesbre est un roman lumineux sur le désir, un texte limpide sur le bonheur de vivre."

 

Ce livre ne m'a pas laissé grande impression, il évoque certes l'attachement de deux personnes de générations tout à fait différentes, le voyage en train apparaît comme un voyage initiatique à travers lequel la narratrice va évoluer, il est le symbole d'un passage d'un état à un autre. Ce voyage renforce par l'absence l'attachement d'Anne pour sa vieille voisine. J'ai trouvé cet attachement assez émouvant mais en même temps je me suis demandé ce qu'Anne allait faire au fin fond de la Russie, ce 'nest pas bie clair, qu'attend-elle au final en espérant retrouver l'homme qu'elle a aimé? J'ai donc été vraiment déçue par ce voyage qui ne m'a pas donné à voir les paysages russes auxquels je m'attendais en fait. Je suis complètement passée à côté!

J'ai tout de même relevé deux passages qui m'ont plu:

" Je trouvais [...] chez Dostoïevski ce que je croyais lire sur certains visages, l'histoire éprouvante de ce pays, la sombre humeur, sa démence, sa cruelle sauvagerie, sa grandeur aussi, une tempête figée dans les yeux gris-bleus des russes."

" J'ignorais ainsi quelle rue elle avait rayé de sa carte intime, mais je la comprenais, je pourrais tout à fait renoncer à un pays si l'homme avec qui je l'avais visité venait à disparaître."

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20 février 2011

Un dimanche à...Paris

Cette semaine allons voir Notre Dame de Paris !

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15 février 2011

Nicola Keegan, Swimming

swimmingPrésentation de l'éditeur:

"Born in a landlocked town in the center of Kansas, Pip is tall, flat, smart, funny, and supernaturally buoyant. On land, she has her share of troubles: an agoraphobic mother, a lost father, and a school full of nuns who just want her to sit still. But in the water, Pip is unstoppable. Swimming her way from a small Midwestern team to the Barcelona Olympics, Pip’s journey is the story of a young girl with an unsinkable spirit, struggling to stay afloat in the only way she can."

Désolé pour le résumé en VO mais cette année j'ai décidé de me remettre à la lecture en version originale. Petit à petit parce que j'avoue (honteusement) que depuis le capes ça me sort un peu par les yeux. Quoi de mieux donc pour s'y replonger avec un roman contemporain (oui parce que tentative avortée en juin dernier avec Stevenson!) Je vais donc essayer de me tenir à au moins un livre en VO par trimestre! Et Valérie et Isleene y sont pour quelque chose puisqu'elles m'ont toutes les deux envoyé des titres en VO lors du swap anniversaire et du swap romancières anglophones. J'avais repéré Swimming sur le blog de Valérie d'ailleurs dont le billet est ici.

Au début j'ai eu du mal à entrer dans la lecture, à cause de la VO certes mais surtout à cause de la narration du point de vue d'un bébé. Ca m'a fait penser à La Métaphysique des Tubes de Nothomb que j'avais détesté (oui j'avoue je n'aime pas les livres d'Amélie Nothomb). Ensuite avec le récit des décés, la confusion des sentiments, l'impression que le narrateur n'habite vraiment plus sa vie, ça j'ai aimé. C'est très bien décris, sans forcément tomber dans le pathétique. L'impression de stagnation et du coup, la très belle métaphore avec l'eau et la natation décrivent bien ce sentiment que l'on ressent quand on perd quelqu'un: s'enfoncer dans l'eau, boire la tasse, se débattre et ne pas avoir l'impression d'avancer, et finalement s'y jeter à corps perdu pour refaire surface.
L'abnégation de Pip pour la natation apparaît comme un ancre qui la fait tenir dans sa vie, et j'ai trouvé ce passage tellement vrai (pas forcément pour la natation hein
" Choose something and hold on to it, young lady. If you continue wavering with lassitude, you risk stagnation, waking up one day, perhaps decades from now, filled with regrets, remorse... Who knows? All that misplaced energy."

J'ai par contre trouvé la fin confuse , les repères spatio-temporels sont mélangés, est-elle à Paris, au Kansas, en Californie? parle-t-elle du présent? de ses souvenirs d'enfance? de jeune femme? Tout ça m'a un peu déroutée et ça a sûrement été accentuée par la VO. Une décéption donc à ce niveau, mais au final ce fût plutôt une lecture positive et intéressante, merci donc à Valérie pour cette découverte!

Je pense que ce titre peut entrer dans le Chalenge 100 ans de Littérature américaine organisé par The burried Talent, ce sera donc mon premier livre ;)

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13 février 2011

Un dimanche à...Paris

Cette semaine je vous emmène encore à Paris, allez on prend le métro :)

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J'en profite également pour souhaiter aux enseignants / étudiants de la zone C de bonnes vacances (et courage aux autres ^^), pour ma part je serai partie pour dix jours faire un tour du Nord de la France pour revoir mes amis et ma famille!

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11 février 2011

Objectif Pal de Février: Erik Orsenna, Deux étés

deux__t_sPrésentation de l'éditeur:
"Une île au large de la Bretagne. Des étés charmeurs qui s'éternisent devant la vaste étendue bleue saupoudrée de rochers roses. Et puis un jour, dans ce paradis, l'arrivée d'un jeune homme, Gilles, qui a accepté une mission impossible : traduire en français Ada ou l'Ardeur, le chef-d'œuvre intraduisible de Vladimir Nabokov. Impatience de l'éditeur, pressions d'un écrivain génial et insupportable... Ce sont finalement les voisins, les amis de passage, qui, sous l'impulsion d'une dame attendrie, vont entreprendre de venir en aide au malheureux traducteur. S'ensuivront deux étés d'aventure au coeur des mots.
Deux étés où la musique d'un texte va naître de la douceur de vivre, de l'harmonie environnante. De cet épisode étonnant et réel, Erik Orsenna, vingt et quelques années plus tard, a tiré un récit tout de poésie et d'humour, un apprentissage de l'enchantement".

J'avais envie de lire ce livre depuis que je l'avais envoyé lors d'un swap, et c'est donc également lors d'un swap que je l'ai reçu. La boucle est bouclée ^^.
J'ai tout de suite été emballée par l'ouverture du livre :

« Heureux les enfants élevés dans l’amour d’une île. Ils y apprennent au plus vite certaines pratiques utiles pour la suite de l’existence : l’imagination, la solitude, la liberté, voire une certaine insolence vis-à-vis de la terre ferme ; et guetter l’horizon, naviguer à voile, apprendre à partir...

 

Notre île.

 

De septembre à fin juin, dans la grisaille scolaire de Paris, nous ne rêvions que d’elle . Nous l’avions collée partout, dans nos chambres, derrière le rabat de nos pupitres, sans doute aussi à l’envers de nos paupières. Vers elle convergeaient nos projets d’amour ou d’aventure. En elle nous avions domicilié les héros de nos lectures, Robinson, bien sûr, mais aussi les Trois Mousquetaires, la Sanseverina, sans doute étonnée de se retrouver là, sur ces deux morceaux de granit exigus rongés par les courants.

 

L’île nous consolait de tout en même temps qu’elle nous faisait honte de nos faiblesses. Qui aurait pu nous éduquer mieux ?

 

Et l’île était notre seul patrimoine commun avec les adultes. Eux aussi avaient sa carte encadrée dans les bureaux d’assureurs, de médecins ou d’industriels du jouet. Eux aussi lui confiaient tous leurs songes un peu vastes, leurs besoins de rivages.

 

C’est dire la joie générale quand sonnait l’heure de partir pour elle. Je me souviens : la voiture s’appelait Frégate, une grosse Renault blanche. Dès la porte de Saint-Cloud, nous prenions la mer.

Nous aurions sautillé d’été en été comme de pierre en pierre d’un gué. Le reste de nos vies peut s’oublier sans regret. »

Je me suis pas mal interrogée sur le livre, est-ce une histoire vraie? de Quelle île s'agit-il? Mais au final le style de l'auteur ne m'a pas particulièrement plu. J'ai aimé les descriptions de l'île (mais trop peu nombreuses à mon goût, j'avais envie de voyager plus). J'ai aussi aimé les descriptions des gens qui sont classés en trois catégories hiérarchisées: les autochtones, puis les estivants et enfin les touristes.
L'histoire est louable en elle-même mais elle me paraît bien invraisemblable. Certaines digressions m'ont vraiment déplu, celles sur George Luis Borges notamment, mais que vient-il faire là?
Le personnage du livre de Nabokov habite vraiment l'histoire, les habitants de l'île font rvriment vivre Ada avec eux. J'ai donc vérifier pour m'éclairer un peu et oui le personnage principal qui traduit Ada est prénommé Gilles et c'est effectivement un Gilles qui a traduit ce livre, donc histoire vraie ou pas? Si quelqu'un pouvait m'éclairer je lui serai reconnaissante :)


En bref, la mayonnaise n'a pas vraiment pris, c'est dommage!

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8 février 2011

Anna Gavalda, L'échappée belle

Anna_Gavalda_lechappee_belle1Présentation de l'éditeur

 

  "Simon, Garance et Lola, trois frères et soeurs devenus grands (vieux ?), s'enfuient d'un mariage de famille qui s'annonce particulièrement éprouvant pour aller rejoindre Vincent, le petit dernier, devenu guide saisonnier d'un château pendu au fin fond de la campagne tourangelle. Oubliant pour quelques heures marmaille, conjoint, divorce, soucis et mondanités, ils vont s'offrir une dernière vraie belle journée d'enfance volée à leur vie d'adultes. Légère, tendre, drôle, L'Echappée belle, cinquième livre d'Anna Gavalda aux éditions Le Dilettante, est un hommage aux fratries heureuses, aux belles-soeurs pénibles, à Dario Moreno, aux petits vins de Loire et à la boulangerie Pidoune."

L'écriture d'Anna Gavalda est toujours pour moi une sorte de poésie, pas de rimes mais c'est aussi beau et émouvant. Elle écrit simplement la vie et les petits riens qui la compose. Elle écrit l'amour, la difficulté d'aimer, la difficulté de prendre des décisions et de les assumer. L'échappée Belle (tout comme La consolante à mon avis) sont des livres qui se lisent plus avec le coeur qu'avec la tête. (oui j'ai fais dans l'envolée lyrique, mais ça m'a tellement émue, paru vrai, tellement en phase avec la vraie vie). Il y a des romans qui sont beaux parce que l'histoire est belle, bien écrite, le style est recherché etc. Celui-ci est beau parce qu'il est authentique. On pourrait piocher dans n'importe quelle tranche de vie et trouver quelque chose d'un peu semblable... En bref vous l'aurez compris, j'ai eu un gros coup de coeur pour ce livre et ses personnages!

Un extrait résume bien mon sentiment:

"Nous avons parlé des mêmes choses qu'à dix ans, qu'à quinze ou qu'à vingt ans, c'est-à-dire des livres que nous avions lus, des films que nous avions vus, des musiques que nous avions entendues et des sites que nous avions découverts. De Gallica, de tous ces nouveaux trésors en ligne, des musiciens qui nous épataient, de ces billets de train, de concert ou d'excuse que nous rêvions de nous offrir, des expos que nous allions forcément rater, de nos amis, des amis de nos amis et des histoires d'amour que nous avions - ou pas - vécues. Souvent pas d'ailleurs, et c'est là que nous étions les meilleurs. Pour les raconter, j'entends. Allongés dans l'herbe, assaillis, bécotés par toutes sortes de petites bestioles, nous nous moquions de nous-mêmes en attrapant des fous rires et des coups de soleil.
Et puis nous avons parlé de nos parents. Comme toujours. De maman et de Pop. De leur nouvelle vie. De leurs amours à eux et de note avenir à nous.Bref, de ces quelques bricoles et de ces quelques gens qui remplissaient nos vies.Ce n'était pas grand-chose ni grand monde et pourtant... c'était infini."


6 février 2011

Un dimanche à...Paris

Pour mon retour parmi vous pour Le dimanche en photo de Liyah je vous emmène dans une librairie parisienne: Shakespeare & Co.

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1 février 2011

Patricia Briggs, Mercy Thompson, Tome 5, Le Grimoire d'Argent

le_grimoire_d_argentQuatrième de couverture:

 

    "Mercy ne cracherait pas sur quelques jours de vacances. Après avoir passé les derniers mois à tenter d'échapper aux griffes de     la Reine des Vampires, elle découvre que le grimoire des faes est tombé dans de très mauvaises mains :les secrets qu'il renferme sont sur le point d'être révélés.

Ce qui n'est pas du goût de tout le monde.  

 

    Non contente de devoir régler cette crise majeure, Mercy a des problèmes personnels : sa maison a brûlé, son ami Samuel file un très     mauvais coton et on lui reproche les dissensions apparues au sein de la meute.  

 

    Elle va devoir faire preuve de la plus grande diplomatie... pas facile quand on est sous pression !"

Et oui je passe comme ça sans transition aucune d'Emile à Patricia ... J'étais d'ailleurs contente de retrouver Mercy et ses amis pour de nouvelles aventures. Mercy fait maintenant partie intégrante de la meute d'Adam mais ça n'est visiblement pas du goût de tout le monde!
Malgré tout, sa relation avec Adam étant officialisée est plus forte et leur confère un certain pouvoir d'empathie.
Dans ce tome, les liens entre les différents membres de la meute sont finalement plus mis en avant que l'histoire en elle-même, qui elle est toujours aussi tirée par les cheveux! C'est fatigant la vie de coyote mécanicienne au milieu des loups garous, faes et autres vampires. Ah non, pas de vampires pour ce tome même pas une petite visite de Stefan!

Oui mais bon on dirait pas comme ça mais je l'aime bien moi Mercy, et puis Adam c'est quand même un mélange entre j'sais pas moi George Clooney et Javier Bardem! Et puis Samuel aussi est touchant cette fois. Oui oui un loup garou sous la plume de Patricia Briggs ça peut être touchant!

La suite au prochain épisode... (pas avant la fin de l'année je crois!)

 

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