Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Notes de lecture
le mois americain
4 septembre 2016

Sean Stewart, Jordan Weisman & Cathy Brigg, Cathy's book, Cathy's key, Cathy's ring

cathy's book

Quatrième de couverture:  

« Ça ne va pas fort dans la vie de Cathy depuis quelques temps : son père est décédé brutalement, la laissant, seule avec sa mère, et dans un profond désarroi. Ses résultats au lycée s’en ressentent, elle a complètement décroché, au grand dam de sa meilleure amie Emma, qui ne cesse de l’encourager, en vain. Et puis elle vient de se faire plaquer par son petit ami Victor, un Chinois d’une vingtaine d’années auréolé d’un certain mystère ; elle décide de raconter leur brève idylle dans son journal intime. Cette rupture ne serait pas la fin du monde, si elle n’avait retrouvé, au lendemain de sa dernière soirée avec Victor, une trace de piqûre au creux de son coude… Victor a-t-il quelque chose à voir avec ça ? »

cathys-key-194x300

Cathy's ring

L'été dernier j'avais acheté d'occasion les tome 2 et 3 de cette trilogie coécrite par deux auteurs américains et illustrée par Cathy Brigg sous forme de journal intime, la jeune Cathy 18 ans vit des aventures rebondissantes à cause de son ex petit ami. J'avais pourtant émis de gros doutes à ma lecture en VO du premier tome, trop irréaliste ... J'avais tout de même envie de tester la version française en broché avec laquelle sont fournis dessins, lettres et autres objets venant ajouter foi au témoignage de Cathy. Plus tentée donc par le concept que par l'histoire en elle-même ... Oui j'ai cédé au marketting... Finalement j'ai apprécié ma relecture du premier tome, partant du principe que c'est une lecture jeunesse fantastique, et non pas un journal intime. Les personnages sont sympathiques, ma préférence allant à Emma, la meilleure amie de Cathy, les dessins sont assez drôles, le ton de ces trois romans aussi de manière général, c'est assez vif, parfois piquant. Bon l'intrigue est ce qu'elle est, intéressante, sans être révolutionnaire, un peu tiré par les cheveux. J'ai une préférence pour le second tome Cathy's key que j'ai trouvé le plus abouti. Le suspense est mieux distillé et ça verse moins dans le sentimentaslisme que dans le dernier tome Cathy's ring, dans lequel la fin est un peu bateau.

Je me rends bien compte que ce n'est pas mon billet qui va vous donner envie de le lire mais je pense que ça peut plaire à des ados, surtout le format mais il ne faut pas les lire pour l'histoire.

trilogie

(challenge trilogie de l'été chez Phildes)

challenge petit bac

(Une seule lettre: S)

mois américain

 

(Le mois Américain chez Titine)

objectif pal

(24 & 25 /31)

 

Publicité
Publicité
1 septembre 2016

C'est la rentrée!!

Mais pour qu'elle soit plus douce c'est aussi le retour du Mois Américain chez Titine!

mois américain

Pour l'instant je me suis laissée tentée par la lecture commune du 9 septembre autour de Laura Kasischke, je vous parlerai de romans jeunesses, et peut-être aussi d'un auteur de la beat generation à la fin du mois (si l'auteur auquel je pense fait bien parti de la beat generation!!) Sinon je ne m'impose rien, ce sera selon mes envies, les livres d'auteurs américains ce n'est pas ce qui manque dans ma PAL!

28 septembre 2015

Louise Erdrich, La chorale des maîtres bouchers

la chorale des maîtres bouchers

Quatrième de couverture:

"1918. De retour du front, Fidelis Waldvogel, un jeune soldat allemand, tente sa chance en Amérique. Avec pour seul bagage une valise pleine de couteaux et de saucisses, il s’arrête à Argus, dans le Dakota du Nord où, bientôt rejoint par sa femme et son fils, il décide d’ouvrir une boucherie et de fonder une chorale, en souvenir de celle des maîtres bouchers où chantait son père. Des années 1920 aux années 1950, entre l’Europe et l’Amérique, ce roman à la fois épique et intime retrace le destin d’une famille confrontée au tumulte du monde."

Bilan catastrophique pour ce mois américain, alors que c'est un peu ma littérature de prédilection, je n'ai lu qu'un seul titre!! oui un seul, la faute à qui? La faute à cet emploi du temps surchargé, à mes six niveaux différents, dont trois entièrement nouveaux ... Je n'ai plus le temps de lire!!! Et le soir je tombe comme une mouche au bout de trois pages ... Vous n'avez pas fini de l'entendre, mais ça me peine vous n'imaginez même pas!

Bref revenons à nos moutons, ou à nos bouchers, enfin notre boucher je devrai dire, parce que dans la chorale, un boucher il n'y en a qu'un (bon ok parfois un second) mais la plupart du temps c'est juste Fidélis et ses potes du coin. D'ailleurs la chorale n'est qu'un prétexte, elle n'occupe pas vraiment une place centrale dans l'histoire mais ce n'est pas gênant... L'histoire c'est celle de Fidélis et sa famille, mais aussi celle de Delphine, jeune femme d'Argus "épouse" d'un saltimbanque à moitié indien, et fille d'un alcoolique notoire, sa mère, Minnie est présente en filigrane mais a quitté la famille quand Delphine étaient encore enfant, jusqu'aux dernières pages en tout cas.

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans le roman, rapport à mon petit laïus ci-dessus mais pas que ... j'ai trouvé que l'arrivée de Fidélis en Amérique, son installation à Argus, les débuts de sa vie commune avec sa femme Eva étaient assez monotones, sans vraiment de saveur, contrairement à ses saucisses (oui je suis en verbe ce soir!). Parallèlement, l'histoire de Delphine partie sur les routes avec une troupe de saltimbanques pour fuir son père m'ont laissé assez froide, je n'aime pas l'univers du cirque. Là où ça commence à devenir intéressant c'est justement quand ces deux vies se croisent, quand Delphine entre dans la vie des Waldvogel et vice-versa.

C'est un roman touchant, qui rend bien l'atmosphère d'une petite bourgade made in USA dans les années 30, d'ailleurs le contexte historique aura son importance dans l'avenir des enfants Waldvogel. J'ai cru à un moment que Louise Erdrich tomberait dans le destin vraiment tragique quant aux frères et à l'entrée des Etats-Unis dans la seconde guerre mondiale mais elle s'en est abstenu et c'est tant mieux, cela donne plus de force au roman, car plus de vraisemblance. C'est un roman sur l'amitié, sur le dévouement, sur les liens familliaux, le tout sans grandes envolées, avec beaucoup de pudeur et de justesse. Ce n'est pas un coup de coeur mais ce fût néanmoins une très bonne lecture, un peu gâchée par le fait qu'elle ait traînée en longueur mais je vous la recommande.

mois américain

 

chez Titine

challenge petit bac

 

(Musique: CHORALE)

objectif pal

(26/32)

 

15 juin 2015

Lecture thématique: un auteur anglais d'origine étrangère: Salman Rushdie, Furie

furie

Quatrième de couverture: 

"La furie s'est emparée du monde, de New York, du professeur Malik Solanka. Ce dernier a fui l'Angleterre, laissant derrière lui une femme et un enfant, et s'est établi à Manhattan pour «se déprendre et se refaire». Mais recommencer de zéro est tout un art quand on est poursuivi par des spectres, des furies, des souvenirs. Délaissant l'histoire des idées qu'il enseignait dans le Vieux Monde pour la fabrication d'étranges poupées pensantes aussitôt médiatisées, Solanka découvre que d'autres poupées, de sang et de chair celles-ci, subissent la colère d'un mystérieux assassin, le Tueur au panama. Gravitant autour du Professeur, des femmes aussi ingénieuses que belles vont tenter de sauver Solanka de cette furie qui le dévore de l'intérieur : la mystérieuse Mila et ses jeux érotiques à la limite du pervers, et la somptueuse Neela, la plus belle femme du monde, qui se sacrifiera au bout de la planète pour que Solanka puisse retourner chez lui, dans l'espoir de revoir son fils... "

Mon avis va être très bref, je n'ai absolument rien aimé dans ce roman, j'ai peiné tout au long de ma lecture, ne comprenant pas des pans entiers, lisant machinalement et me forçant! Pourquoi l'avoir lu jusqu'au bout? Un haut potentiel au masochisme c'est certain et insoupçonné jusqu'alors! Bon la vraie raison c'est que je n'avais que ça à lire dans le train alors j'ai persisté, et après avoir lu 200 pages je ne pouvais décemment pas arrêter il fallait que j'en vienne à bout, toujours bien sûr avec le mince espoir d'accrocher à quelque chose, un bout d'histoire, un personnage, mais non rien, que dalle, à aucun moment!! Je suis bien incapable de vous résumer l'histoire, j'ai espéré un sembalnt de palpitation quand il était question des meurtres de jeunes femmes, mais ça n'a pour moi pas décollé, ni au récit de science-fiction enchassé dans els élucubrations du professeur Solanka (si vous me connaissez vous savez que la science-fiction et moi ça fait 15) bref un ratage total!! Je ne suis pas prête de remettre le couvert avec Salman Rushdie, pourtant j'avais adoré Haroun and the sea of stories!

objectif pal

 

(19/32)

challenge petit bac

 

(titre en un seul mot)

mois anglais

 

Le mois anglais chez LouCryssilda et Titine 

Lecture thématique autour d'un auteur anglais d'origine étrangère

15 septembre 2014

John Green, Nos étoiles contraires

nos étoiles contraires

Quatrième de couverture:

"Hazel est malade. Gravement. Augustus est en rémission. Elle a 16 ans, lui 17. Dès leur rencontre, en groupe de soutien, il est charmé par son originalité, elle est séduite tout court. Ils ont le même humour, le même regard sans concession et leur complicité est immédiate. C’est le début d’une magnifique histoire d’amour et d’amitié."

J'ai été touchée par cette lecture. Comment ne pas l'être? Ce n'est pourtant pas un coup de coeur, certains passages m'ont déplus, particulièrement ceux de la rencontre avec l'écrivain. Cela n'en reste pas moins, à mon avis, un très bon roman jeunesse. Les personnages sont attachants. Ce sont des adolescents que la maladie a fait grandir trop vite. Ils portent donc un regard plus adulte sur le monde qui les entoure et sur la mort inéluctable qui les attend. Cela donne parfois un ton légèrement acide à leur humour, et je crois que c'est ce que j'ai le plus apprécié dans ce roman. Pour autant, ils gardent également des préoccupations d'adolescens: avoir un(e) petit(e) ami(e), dégommer des gens dans des jeux vidéos, etc. La relation entre Hazel et ses parents est vraiment émouvante et aborde avec tendresse l'après perte d'un enfant, Hazel s'interroge sur l'avenir de ses parents en tant que couple, sa mère sur le fait qu'elle ne sera sans doute plus une maman après la mort de son unique fille. Ce roman apporte des pistes de réflexion sur la réaction de l'entourage face à la maladie, et à la mort, sur le traitement des enfants malades, et les liens qui peuvent se tisser dans les épreuves q'uils traversent.

 

J'ai aimé ce passage à propos du roman préféré d'Hazel qui traite aussi du cancer: "C'est aussi ce que j'aime dans ce livre. Il décrit la mort sans mentir. On meurt au milieu de la vie, au milieu d'une phrase."

le mois américain

Publicité
Publicité
8 septembre 2014

Rona Jaffe, Rien n'est trop beau

rien n'est trop beau

Quatrième de couverture:

"Lorsqu'il fut publié en 1958, Rien n’est trop beau provoqua l'engouement de millions de lectrices américaines. Elles s'identifièrent à ces jeunes secrétaires venues d'horizons différents, employées dans une grande maison d'édition new-yorkaise, dont les rêves et les doutes reflétaient ceux de toute une génération de femmes. Si la ville semble leur offrir d'infinies possibilités professionnelles et amoureuses, chacune – l’ambitieuse, la naïve, la divorcée…- doit se battre avec ses armes pour se faire une place dans un monde d'hommes."

Voilà un livre qui a été remis au goût du jour avec la série Mad Men et ça tombe bien puisque Will m'a offert les deux, j'avais d'ailleurs repéré ce roman sur son blog. Voici son billet. Rona Jaffe dresse le portrait de femmes dans les années cinquante-soixante. Tour à tour nous suivrons l'une d'entre elle. Elles se connaissent toutes, travaillent dans la même entreprise, à des postes différents, et chacune ambitionne quelque chose, gravir les échelons pour devenir lectrice, se marier, devenir actrice ... Je n'ai pu m'epêcher bien sûr d'avoir en tête les personnages de Mad Men, que ce soit les femmes, secrétaires, ou les hommes qui occupent un poste important dans l'entreprise, et sortent avec ces secrétaires, pour boire un verre ou plus. 

J'ai de loin préféré le personnage de Caroline qui m'a semblé plus mis en avant que les autres, Elle apparaît comme une jeune femme indépendante, qui s'est affranchie de ses parents et qui n'a pas pour unique ambition de trouver un mari... Oui parce qu'à l'image des romans de Jane Austen, le mariage est toujours dans les années cinquante LE sujet d'actualité chez les jeunes filles. Notons que la libération sexuelle de la femme en France n'interviendra que bien des années plus tard. Les femmes cherchent un mari gentil, une jolie maison et un certain confort matériel. La plus représentative de ces femmes étant Mary Agnès. Il n'est d'ailleurs question à son sujet que des préparatifs de mariage et du mariage en question. 

L'histoire qui m'a le moins intéressée est celle de Gregg. Gregg est venue à New York dans l'espoir de devenir actrice, je ne me suis pas sentie proche de son personnage, mais elle m'a laissée quelque peu indifférente, un peu à l'image de son destin dans le roman ... 

Le personnage d'April m'a quant à lui agacée, mais comment peut-on être aussi naïve??? J'avais parfois envie de la secouer, et ça m'étonne que Caroline ne l'ait pas fait elle-même!!!

J'ai cependant apprécié suivre ces jeunes femmes, leur évolution au travail et dans leur vie personnelle. J'aurais cependant apprécié une toute autre fin, mais n'oublions pas que ce roman date de 1958. C'est une époque que j'aime toujours autant, mais purée, qu'est ce qu'ils buvaient/fumaient/mangeaient au resto à l'époque!!!

Aifelle l'a lu récemment aussi.

le mois américain

 

 Le mois américain chez Titine

Challenge-classique-3

((classique de septembre)

challenge pavé de l'été

(3)

objectif pal

 

(30/78)

3 septembre 2014

Mois américain and co ...

C'est la rentrée, je crois que ça n'a échappé à personne ... et la rentrée sur els blogs c'est surtout des livres à gogo publié en quelques semaines! Et bien cette année sous le signe du vidage de PAL je ne vais pas aprticiper au challenge du 1 % de Hérisson, je ne le finis jamais ... Mais le challenge de Stéphie tombe un point nommé! Les anciens sont de sortie, c'est assez explicite, il faut ressortir les livres des rentrées littéraires précédentes (depuis 2010) et qu'on n'a pas encore eu le temps de lire!

challenge à contre courant

 

 

Septembre c'est aussi Le mois américain chez Titine, comme son nom l'indique il s'agit de lire des auteurs américain pendant le mois de septembre. Ce challenge fait écho au Festival American qui se déroulera à Vincennes le weekend prochain. Il y a des chances que je puisse y aller cette année youhou!!

le mois américain

15 octobre 2013

Lecture commune: Philip Roth, Goodbye, Colombus

Goodbye_3Quatrième de couverture:

"En six nouvelles, l'auteur de Portnoy et son complexe démonte la société américaine et ses rapports avec le monde juif " Goodbye, Colombus " raconte la brève aventure d'un jeune intellectuel avec une étudiante.
" Conversation des Juifs " montre un rabbin victime d'une espièglerie d'enfant.
" Le Défenseur de la foi " se déroule dans l'armée.
" L'habit ne fait pas le moine " décrit l'amitié insolite entre un étudiant de bonne famille et deux jeunes dévoyés.
Dans " Eli le fanatique ", les habitants d'une petite ville veulent empêcher les rescapés de l'hitlérisme de monter une école."

C'est toujours un peu compliqué de parler d'un recueil dans sa globalité, pour ce recueil-ci j'ai choisi de faire un point nouvelle par nouvelle.

Goodbye Clombus: Une histoire d'amour qui semble se rédouler dans les années soixante ou soixante-dix ce n'est pas précisé mais els mentalités semblent correspondre à cette époque. J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire et je n'ai pas tellement apprécié le portait de Brenda qui correspond au cliché de la petite bourgeoise égoïste.

 

La conversion des juifs: nouvelle un peu étrange. Un petit garçon veut que le rabin reconnaisse qu'il est possible que Dieu puisse être le père de Jésus sans avoir eu de relation sexuelles avec Marie.

 

Défenseur de la foi: dans l'armée, un hoomme joue sur les cordes sensibles de la religion pour obtenir des faveurs de son supérieur juif lui aussi.

Epstein: brève nouvelle sur une famille juive avec un époux adultère avec une fin pour le moins étrange.;

L'habit ne fait pas le moine: dans un lycée de Newark on suit l'orientation d'un élève qui semble en réinsertion après avoir été exclu de ses établissements précédents

Eli le fanatique: installaiton d'un pensionnat pour enseigner la Torah à 18 enfants issus de l'immigration juste après la guerre. La communauté y oppose un refus en prétextant qu'il faut vivre avec son temps jusqu'à un retournement de situation pour le moins étrange où le fanatique n'est peut-être pas celui qui le paraît et ou fanatisme n'est pas forcément à prendre dans le sens religieux du terme.

 

Le moins que je puisse dire c'est que j'ai trouvé ce recueil complètement étrange, je me suis souvent demandé "what's the point?" et avec le recul ma préférence va tout de même à Goodbye Colombus pour laquelle j'ai au moins compris les tenants et les aboutissants. Les autres nouvelles m'ont plutôt laissée de marbre. Ce n'était pas une bonne idée de m'attaquer à Philip Roth par un recueil de nouvelles mais ce n'est pas grave, je ne resterai pas sur cet échec, enfin j'espère!

challengemoisamericain

(4)

objectif_pal

(29/97)

10 octobre 2013

Lecture commune: Joyce Carol Oates, Vallée de la mort

vallee_de_la_mort_10Quatrième de couverture:

"Rona, Charlotte et Courtney sont des femmes actives et indépendantes. Pourtant, la violence n'est jamais loin. Et quand elle s'abat, les voici qui vacillent et chancèlent sous l'emprise de la domination masculine. Des riches universités de la côte Est aux motels de Las Vegas, la cruauté des hommes n'a d'égal que leur désir."

Pparfois je me dis que je suis complètement à côté de la plaque ... J'ai lu toute la première partie du livre de Joyce Carol Oates en pensant que c'était un roman, avec différents chapitres ou le destin plus ou moins tragique d'une femme ou d'une famille était "mis à l'honneur" et qu'à un moment donné, sans doute dans la seconde partie, on retrouverait ces femmes et leur famille ou bien que les destins de certaines se croiseraient un peu à la manière de 1979 de Jean-Philippe Blondel, le côté glauque et tragique en plus bien sûr. Mais non je me suis résigné en attaquant cette deuxième partie qu'il s'agissait en fait d'un recueil de nouvelles avec pour point commun un destin tragique qui dans de nombreux cas conduit à la mort de l'un des personnages. Et là que vois-je en regardant ma quatrième de couverture???? Je vous le donne en mille: "Nouvelles", donc oui je suis vraiment complètement à côté de la plaque parfois...

Revenons donc à nos moutons... Comme vous le savez sans doute déjà, les nouvelles et moi, c'est pas toujours ça! et comme vous le savez sûrement aussi Joyce Carol Oates et moi c'est pas toujours ça non plus! Et bien contre toute attente je peux dire que j'ai globalement apprécié ce recueil. En effet, Joyce Carol Oates n'a pas abandonné son style mordbide et grinçant mais finalement la longueur des différents textes permettent de ne pas trop s'appesantir et somber dans le glauque du glauque. Bon oui les histoires s'accumulent et sont toutes plus cyniques les unes que les autres mais la plupart m'ont plues, je les ai lue avec la curiosité morbide d'un lecteur du pseudo journal "Le nouveau détective'". Tantôt à la troisième personne, tantôt à la première, l'auteur jongle avec les points de vue et les narrateurs comme si c'était facile et donné à tout le monde. Ce que je regrette généralement avec les nouvelles c'est que la fin tombe souvent comme un cheveu sur la soupe. Ce n'est pas le cas ici; même rapidement les personnages sont décris de façon détaillée, on arrive à "connecter" avec leurs sentiments, l'intrigue des nouvelles est bien menée et la résolution coule de source. 

Je reocnnais tout de même que certaines nouvelles m'ont moins accrochée, et que j'ai même eu enviez de zapper certaines, mon gros bémol va à la dernière nouvelle que j'ai trouvé vraiment dégueu!! Et comme c'était la dernière, c'est celle qui me reste le plus à l'esprit!!

 

objectif_pal

(26/97)

 

challengemoisamericain

(1)

challenge_romanci_res_am_ricaines

(1)

7 octobre 2013

Recette de Louisiane, le jambalaya

L'an dernier Will m'a offert ce livre de recettes typiques de la cuisine américaine, je n'avais pas encore tenté, c'est maintenant chose faite avec le jambalaya aux crevettes. C'est un plat typique de la cuisine cajun, bien relevé, qui fait en effet un peu penser à la paëlla.

 

IMGP3199

 

Si vous cliquez sur l'image vous aurez la liste des ingrédients, je vous recopie les différents étapes de la préparation:

  • Faites cuire le riz dans une casserole d'eau bouillante.
  • dans une cocotte faites chauffer l'huile d'olivre avec la farine. Mélangez pour obtenir un roux que vous ferez brunir à feu doux pendant 15 mn en remuant fréquemment.
  • Faites revenir les rondelles de chaurice (chorizo pour moi) dans la cocotte, puis ajoutez poivribn oignon, céléri (pas utilisé dans ma recette), tomates, ail et dés de jambon. Versez le bouillon de boeuf (un kub or avec de l'eau pour moi ^^ ) et laissez cuire à feu doux jusqu'à ce que les légumes soient tendres.
  • Incorporez les crevettes et laissez cuire jusqu'à ce qu'elles deviennent roses.
  • Ajoutez le riz cuit dans la cocotte, puis assaisonnez de sel, piment de cayenne et tabasco.

 

IMGP3200

 

yes_we_cook_5071_450_450Dans le livre vous trouverez une cinquantaine de recettes classées par régions: New York et "l'urban food", la côte est, la "soul food" des états du sud, la cuisine cajun de la Louisiane, la cuisine tex-mex, la Floride et la Californie, le Montana et le Nevada, ainsi qu'une section spéciale fête (Halloween, Thanksgiving et Noël), Je me lancerai peut-être dans un carrot cake en fin de semaine.

 

challengemoisamericain

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 > >>
Publicité
Archives
Publicité