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Notes de lecture
21 janvier 2013

Geneviève Brisac, Angleterre

Quatrième de couverture

Angleterre"Trois semaines en Angleterre pour apprendre l’anglais, la clé du monde moderne : un programme enthousiasmant pour l’été ! Je ne veux pas y aller. Je déteste le monde moderne. Je cherche les clés du monde ancien. J’y vais quand même, parce qu’on ne me demande pas mon avis. Là-bas m’attend la famille Baker. J’ai peur des lunettes de la mère, des gros seins de la fille, des mains du père, du temps qui ne passe plus. Je suis en exil. Je dessine les Baker dans mon journal. Puis j’y colle des souvenirs : des poils de chat torturé, un haricot blanc cuit. J’écris à ma sœur des lettres qui restent sans réponse. Les autres filles disent de moi : Elle est pas formée. Elle est trop jeune. Elle fait la tronche. C’est une sorcière. Elles gloussent en regardant les garçons. Elles emploient des mots que je ne comprends pas. Que je comprends trop. Je veux les comprendre."

 

J'entame avec ce billet une petite semaine aux couleurs du Union Jack puisque suivra un billet sur le Carnet de voyage à Londres et le dimanche en photo prochain sera consacré à Brick Lane. Pour l'heure parlons de ce court roman destiné à la jeunesse. Geneviève Brisac fait le récit d'une jeune adolescente française paretie en séjour linguistique outre-manche. Elle est accueillie pour deux semaines dans une famille britannique et suit la journée des cours d'anglais avec d'autres petits Frenchies. Quelques visites culturelles sont également inclues dans leur programme...

Outre les clichés sur les britanniques, leur mode de vie et leurs maisons, ce livre est avant tout une histoire d'adolescents. Et comme on le sait les adolescents sont souvent cruels entre eux ... Ceux-ci ne sont donc pas différents, et Adélaïde, notre héroïne qui sort un peu du moule d'ado actuelle dénote dans cette joyeuse troupe et s'en prend donc plein la tronche. Bien sûr il y a des préjugés qui vont sauter, des amitiés qui vont naître mais ce n'est pas assez creusé à mon goût. Que ce soit le côté séjour linguistique que le côté relationnel entre les adolescents.

J'ai trouvé la fin trop abrupte, elle n'apporte pas vraiment de conclusion au roman. J'ai néanmoins apprécié le personnage d'Adélaïde, qui aurait gagné je pense à être plus développé, tout comme l'histoire. Dommage...

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16 janvier 2013

Jean-Philippe Blondel, Blog

blogQuatrième de couverture :
"Révolté par cette trahison, par ce " viol virtuel ", le narrateur décide de ne plus adresser la parole à son père. Pour se racheter, ce dernier lui fait un don... une plongée dans le passé qui ne sera pas sans conséquence. Un roman de la filiation et de l'écriture intime".


Une fois encore j'ai accroché à la simplicité de l'écriture de Jean-Philippe Blondel. Les émotions sont fortes, le sentiment de trahison partagé et l'amour entre le père et le fils aussi. Cette plongée dans les souvenirs m'a rendue un peu mélancolique et puis bien sûr j'ai beaucoup apprécié cet adolescent mur pour son âge, qui a des choses à dire et beaucoup d'humour.

 Ce fût donc un très bon moment de lecture, dommage que ce soit si court!

Billet très court, je m'en excuse ... Voilà déjà un mois que j'ai lu ce roman ... Le temps file à toute vitesse ...

 

7 janvier 2013

Jean-Philippe Blondel, Brise-glace

brise_glacePrésentation de l'éditeur:

"Aurélien est nouveau dans son lycée. Il a déménagé. Ce n'est pas la première fois qu'il déménage. Pas facile de se faire des amis dans ces conditions. Mais justement, des amis, Aurélien semble ne pas en vouloir. Il est du genre solitaire ; parfois il voudrait juste pouvoir se fondre dans le décor pour qu'on lui fiche la paix. Pourtant, un garçon de sa classe, Thibaud, semble s'intéresser particulièrement à lui ; il parvient même à convaincre Aurélien de participer à une soirée slam. Dans la pulsation des mots, dans la chaleur de cette amitié naissante, Aurélien arrive enfin à faire craquer la glace qui l'enserre et commence à se libérer du poids du secret, celui du deuil."

 

Si j'ai effectivement commencé l'année avec un livre de Jean-Philippe Blondel ce n'est pas celui-là que j'ai lu avant les vacances de Noël. Comment donc bien terminer une année et en commencer une autre de la même façon ... Je ne me lasse pas de cet auteur ...

Les phrases de ce roman jeunesse sont à l'image de son intrigue: très courtes, incisives. Il y a cependant beaucoup de poésie dans les mots choisis et pourtant un style très épuré. Jean-Philippe Blondel va droit au but et c'est ce que j'ai apprécié lors de cette lecture.

C'est une histoire d'amitié et de drame, des adolescents très matures, prêts à devenir adultes.
 Je me suis attachée aux deux personnages.... Quelques extraits en parleront mieux que moi...

" Elle n'est pas méchante la prof de lettres, elle est coincée dans son rôle comme moi dans le mien. C'est tellement hypocrite, parfois, l'éducation."

"Je suis le papier peint de la pièce, invisible, rasant les murs. Il est le canapé qui tône au milieu du salon."

"Les sms ont révolutionné la drague. Il n'y a plus de silences, à l'autre bout du fil. Il n'y a plus la voix qui s'éraille un peu et le souffle de l'écouteur. Il n'y a plus que des bruits d'insectes qui vibrent dans l'air. Et des conversations où manquent des voyelles."

" J'ai toujours rêvé de me fondre dans le décor.

Hier soir, j'ai fondu.

Et c'est le décor qui est entré en moi.

Je ne suis plus un iceberg.

Je suis un glaçon dans un verre.

Je me dilue.

Et c'est en écrivant que je me reconstitue."

23 août 2012

Pete Johnson, Comment éduquer ses parents

comment_eduquer_ses_parentsQuatrième de couverture:

"Je m'appelle Louis. Je ne suis pas ce qu'on appelle un enfant difficile, mais je ne suis pas non plus du genre à me tuer au travail ou à rester des heures devant un exercice de maths. Enfin, vous voyez ce que je veux dire... Moi, j'aime bien rigoler! Tout allait bien dans ma vie, jusqu'au jour où mes parents ont décidé de faire de moi un enfant modèle. Alors là, j'ai carrément dû prendre les choses en main !"

 

J'ai trouvé ce roman jeunesse divertissant mais sans plus. Je l'avais prêté à ma soeur qui a apprécié parce qu'elle a reconnu certains travers en tant que parent. Je ne suis pas vraiment d'accord à ce propos, les parents sont trop à côté de la plaque pour me paraître vrais mais bon en même temps je ne suis pas parent moi même donc bon! Ca m'a fait sourire parfois parce que Louis a pas mal de répartie pour son âge mais globalement je ne l'ai pas trouvé si drôle que ça. Sans doute parce que je vois ça d'un oeil estampillé Education nationale plutôt qu'avec le regard d'un enfant qui n'aime pas l'école. Heureusement donc qu'il n'était pas long! J'ai néanmoins apprécié l'ami de Louis, Maddy qui semble plus mature pour son âge et ne trouve pas sa place dans sa famille. Ses parents ne la comprenne pas et elle s'est enfermée dans un univers qui lui est propre mais qui la rend encore moins accessible. Ce personnage et sa relaiton aux adultes auraient gagnés à être creusé par l'auteur.

30 avril 2012

Lecture commune: Barbara Constantine, Tom petit Tom tout petit homme Tom

tom_petit_tomQuatrième de couverture:

"Tom a onze ans. Il vit dans un vieux mobil-home déglingué avec Joss, sa mère (plutôt jeune : elle l’a eu à treize ans et demi). Comme Joss aime beaucoup sortir tard le soir, tomber amoureuse et partir en week-end avec ses copains, Tom se retrouve souvent tout seul. Et il doit se débrouiller. Pour manger, il va dans les potagers de ses voisins, pique leurs carottes, leurs pommes de terre… Mais comme il a très peur de se faire prendre et d’être envoyé à la Ddass (c’est Joss qui lui a dit que ça pouvait arriver et qu’elle ne pourrait rien faire pour le récupérer), il fait très attention, efface soigneusement les traces de son passage, replante derrière lui, brouille les pistes. Un soir, en cherchant un nouveau jardin où faire ses courses, il tombe sur Madeleine (quatre-vingt-treize ans), couchée par terre au milieu de ses choux, en train de pleurer, toute seule, sans pouvoir se relever. Elle serait certainement morte, la pauvre vieille, si le petit Tom (petit homme) n’était pas passé par là…"

Ce roman assez court se lit rapidement, trop rapidement au final! Le personnage de Tom est très attachant, il est très mature pour son âge mais n'en reste pas moins un enfant, avec la bonté d'un enfant. J'ai été ému par cet aspect là, la générosité qui se dégage des personnages, tous plus au moins démunis et seuls mais qui trouvent malgré tout la force de donner et de se soutenir.

D'un point de vue adulte ce conte moderne est assez peu réaliste, notamment en ce qui concerne la manière de vivre de Tom et sa mère mais c'est quand même une histoire à laquelle on a envie de croire et qui met du baume au coeur...

J'ai passé un agréable moment donc mais ce n'est pas non plus un coup de coeur, voyons voir ce que Jeneen et Manu qui nous a rejoint en cours de route, en ont pensé!

objectif_pal

(13/27)

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13 février 2012

J K Rowling, Harry Potter and the Goblet of fire (tome 4)

GobletoffirecoverQuatrième de couverture:

"It is the summer holidays and soon Harry Potter will be starting his fourth year at Hogwarts School of Witchcraft and Wizardry. Harry is counting the days: there are new spells to be learnt, more Quidditch to be played, and Hogwarts castle to continue exploring. But Harry needs to be careful there are unexpected dangers lurking ..."

 

Je me faisais une joie de retrouver Harry Potter et ses amis, mais finalement j'ai un peu peiné dans ma lecture et j'ai mis presque trois semaines pour arriver au bout de cette aventure! Je pense donc qu'il serait bon pour moi de laisser s'écouler quelques temps avant d'acheter le cinquième tome. D'un autre côté ça ne m'étonne pas vraiment, ce n'est pas le genre d'histoire que j'affectionne habituellement, et c'est plus l'écriture de J K Rowling et les relations entre les personnages qui m'intéressent dans Harry Potter. J'ai donc trouvé que cela s'essoufflait un peu dans ce tome.

Les rebondissements deviennent un peu trop tarabiscotés pour moi mais je comprends tout à fait qu'on puisse être tenu en haleine par cet imaginaire particulièrement riche!

Dans ce tome J K Rowling pose quelques pistes pour l'évolution de ses personnages. Les trois amis sont doucement entrés dans l'adolescence et sont donc gagnés par des préoccupations d'adolescents, notamment avec le bal et le choix d'un partenaire de danse. Le fait qu'Hermione se tourne vers un 3e garçon qui n'est ni Harry, ni Ron laisse entrevoir les sentiments des uns et des autres à l'égard d'Hermione. Un triangle amoureux dans les prochains tomes?

Ce serait quand même trop prévisible je crois si ça devait être le cas donc un peu décevant sans doute.

J'apprécie de plus en plus le personnage d'Hagrid, bourru mais sensible. Son histoire dans ce tome est plus creusée, de même que celle de Longbottom. Les personnages secondaires prennent un peu plus de place, mais pour les autres l'on reste dans les stéréotypes, les trois brutes, le professeur de divinitation complètement à côté de ses pompes, les midinettes éprises d'Harry. Seule Hermion évolue dans ce tome, et on l'a voit différemment de ce qu'elle nous a montré jusqu'à présent.

Bien sûr Dumbledore reste mon héros mais c'est quand même un peu facile qu'il soit toujours là pour sortir Harry de ses mauvais pas.

Je pense que le cinquième tome sera décisif de la poursuite ou non de ma lecture d'Harry Potter, j'attends donc un peu J K Rowling au tournant ... Affaire à suivre donc... :)

8 décembre 2011

J.K Rowling, Harry Potter and the Prisoner of Azkaban. Tome 3

HP_tome_3Quatrième de couverture :

"Harry Potter is a wizard! Along with Ron and Hermione, his best friends, Harry is in his third year at Hogwarts School of Witchcraft and Wizardry. Who knows what will happen this year? Read on to find out and immerse yourself in the magical world of Hogwarts…"

 J’avais hâte de terminer mes lectures communs pour me replonger dans les aventures d’Harry. On suit le schéma habituel, Harry est de retour chez les Dursleys pour les vacances d’été. Cette année il fête ses 13 ans mais cela se passe toujours aussi mal pour lui. Son oncle et sa tante sont toujours aussi méchants, son cousin aussi mesquin et stupide.

Comme pour les deux premiers tomes j’attendais qu’Harry reprenne le train pour un peu plus d’action à Hogwarth avec ses amies Hermione et Ron !

Je trouve qu’il y a un peu moins d’action dans ce troisième tome, les trois quarts du livre sont basés sur la disparition et la recherche de Sirius Black sans que rien de vraiment croustillant ne survienne entre temps.

Toute l’action et donc le dénouement se trouve dans le dernier quart du livre, j’étais donc impatiente d’y arriver et bon encore une fois niveau inattendu et retournement de situation je n’ai pas été déçue. Avec la magie plus encore que dans la vraie vie il faut se méfier des apparences et ne rien tenir pour acquis. Les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent ni les gens ce qu’ils semblent être.

Le mot de la fin de mon très court billet : comme Calypso, si je devais être une héroïne fantastique ce serait sans conteste Hermione Grangé.

6 décembre 2011

Luc Blanvillain, Crimes et jeans slim

 

crimes_et_jeans_slimQuatrième de couverture :

"Adé n’est pas une petite chose fragile. On peut même dire qu’elle a trouvé la parade pour survivre au milieu des filles de son âge : devenir la pire de toutes, la plus fashion, la plus méchante. La numéro Un de la redoutable « Pouffe Society ».
Mais voilà qu’un serial-killer sévit dans sa ville et semble avoir un compte à régler avec les filles les plus hype.
Avec l’aide de Rod, son petit frère passionné par les éléphants, et de Thibault Picard, mignon mais désespérément intello, elle va tenter d’échapper à la terrible menace."


 

Difficile de se dire que ce livre s’adresse à un public adolescent tant par l’écriture et le vocabulaire employé que par le sujet. La question que je me suis posée c’est, est-ce que les méga-pouffes dont nous parle Luc Blanvillain arrivent à se reconnaître en lisant ce livre ? Et puis on m’a soufflé dans l’oreillette que si les méga-pouffes ne lisent pas dans le monde de Luc Blanvillain, elles ne lisent pas non plus dans la vraie vie donc finalement elles passent à coté de ces portraits criants de vérité.

J’ai beaucoup apprécié cette lecture que j’ai trouvée très drôle et cynique à souhait. Voilà le genre d’humour que j’affectionne.

L’intrigue est bien ficelée, on est amené à soupçonner tour à tour les mêmes personnes qu’Adé et son ami Thibault. Le dénouement est quelque peu granguignolesque mais ce n’est pas grave dans la mesure où l’histoire l’est elle aussi un peu.

Je dois avouer une chose, moi aussi je ne serai pas mécontente de voir moins de méga-pouffes peupler mes classes (bon ok pas de manière aussi radicale !) car l’apprentissage de méga-pouffe commence dès la 5!!

J’ai également apprécié les références littéraires et historiques. J’ai même eu envie de lire la nouvelle de Poe dont il est question alors que j’ai quand même lâchement abandonné ce recueil.

Merci donc à Valérie et à Luc Blanvillain pour ce cadeau d’anniversaire, qui m’a permis, le temps d’un weekend de me plonger dans le monde de mes élèves, pour le meilleur, et pour le pire J



5 octobre 2011

Olivier Adam, Ni vu ni connu

ni_vu_ni_connuQuatrième de couverture:

"Caché dans la chambre des parents de Thomas, Antoine attend qu'on le trouve. Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Thomas et tous les invités jouent à cache-cache. Sauf que personne n'est venu et que les autres sont partis jouer aux fléchettes dans le jardin, sans Antoine. Personne ne l'a trouvé parce que personne ne l'a cherché. Ça se passe toujours comme ça pour Antoine. On ne se souvient jamais qu'il est là, qu'il joue, qu'il existe. Au fond, personne ne l'aime ou le déteste vraiment. C'est comme s'il était invisible. Ce jour-là, Antoine décide de se faire oublier pour de bon. Il ne rejoint pas le groupe dans le jardin, il veut rester caché. Puisqu'il a un don pour passer inaperçu, il va s'en servir. Ni vu ni connu, il va espionner les autres. Et découvrir leurs secrets."

J'ai emprunté ce roman au rayon jeunesse quand j'ai emmené ma nièce à la médiathèque pendant les vacances, et aussitôt à la maison, aussitôt lu. Dur dur cependant d'écrire mon billet, j'ai l'impression que tout est dit dans la quatrième de couverture. J'ai certes apprécié cette lecture, on y retrouve les thèmes de prédilection de l'auteur, la solitude principalement. La solitude de ce petit garçon auquel personne ne prête attention. Il est mal dans sa peau, ne trouve pas sa place parmi les enfants, mis de côté également par les adultes.

Cette histoire soulève également des questions sur le paraître. Comment l'on perçoit les gens, comment eux veulent être perçus et comme ils sont vraiment.  A travers cette histoire, j'ai eu l'impresison donc qu'Olivier Adam essayait de transmettre à ses jeunes lecteurs qu'il ne faut en somme pas se fier aux apparences, chacun ses petits secrets et chacun ses faiblesses, personne n'est infaillible.

Val avait donc vu juste, cette semaine sera consacré à Olivier Adam qui réside effectivemet à St-Malo ;)

27 septembre 2011

J.K Rowling, Harry Potter and the Chamber of secrets. Tome 2

Quatrième de couverture:

Harry_potter_tome_2"Harry Potter is a wizard. He is in his second year at Hogwarts School of Witchcraft and Wizardry. As Harry and Ron embark on their journey to Hogwarts in a flying Ford Anglia, little do they know that this year will be just as eventful as the last as ghosts from Hogwarts past return to haunt the school corridors.
'Harry Potter and the Chamber of Secrets is as good as its predecessor... Hogwarts is a creation of genius' The Times Literary Supplement
'Joanne Rowling's second book is just as funny, frightening and unexpected as her first' The Daily Mail
Winner of the 1998 Smarties Gold Award."

 

J'ai beaucoup apprécié me replonger dans les aventures d'Harry Potter. Retrouver les trois amis fût un réel plaisir. De rebondissements en rebondissements, on ne peut que s'attacher à ces personnages, et je n'ai pas honte d'avoue que Dumbledore est devenu mon mentor (!)

Le professeur Lockhart m'a pronfondément agacée et je ne peux que le détester, je n'aime pas les gens imbus d'eux même qui passent leur temps à se mirer le nombril. De même Draco Malfoy et son père Lucius sont détestables, image même de la méchanceté, de la supériorité et de la suffisance, du mépris des autres.

J'ai bien sûr retrouvé l'humour de J.K Rowling que j'avais apprécié dans le premier tome. Elle use toujours beaucoup d'ironie et ils ressortent particulièrement je toruve dans la bouche de Ron qui n'hésite pas à rembarrer Hermione. D'ailleurs si j'avais à choisir un meilleur ami je voudrais que ce soit Ron. (ha bon je n'ai plus 12 ans?) Il est loyal, vif et fin d'esprit.

Pour ce qui est des évènements, j'ai bien entendu détester les passages où il est question d'araignées géantes, j'avais limite envie de sauter des pages. Et une chose est sûr si je regarde les adaptations, pas sûr que je regarde celle de ce second tome!

J'ai reçu le troisième tome il y a quelques semaines, je m'y plonge dès que j'aurai terminé mes lectures communes et partenariats!

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