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Notes de lecture

11 août 2013

Un dimanche à Prague: Quelques façades

Comme je vous le disais la semaine dernière, il y a tellement de façades, de dorures, statues, peintures, couleurs etc. qu'on ne sait pas où regarder, voici un petit échantillon des façades immortalisées au cours de nos balades.

Des façades peintes

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Si vous regardez bien la fenêtre centrale vous verrez le reflet d'une statue du bâtiment situé en face

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La place Lesser

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de la couleur et des moulures

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L'horloge astronomique

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Le Rudolfinum

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Les dimanches en photos sont à l'initiative de Liyah et on les retrouve aussi chez : LilibaChoupynetteEloraMelisendeFleur,  AnjelicaMyrtilleSandrineHérissonKatellChoco,Art SouilleursSeriaLecteur,  EstellecalimMargotte...

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5 août 2013

Jean-Philippe Blondel, Passage du gué

PassagedugueQuatrième de couverture:

"Myriam et Thomas. Pour Fred, les revoir aujourd'hui, c'est une joie violente qui prend à la gorge, bouscule et donne une force inattendue.
Il y a vingt ans, Fred a choisi de traverser, à leurs côtés, une épreuve qui n'était pas sienne. Pour leur éviter la noyade, il s'est tenu là, attentif, disponible, sans rien attendre. Avec tendresse et fermeté, il a tenu leurs têtes hors de l'eau. Une fois la tempête éloignée, il s'est effacé. Myriam, Thomas et Fred. S'ils ont survécu, c'est que le pari le plus insensé peut être tenu. C'est que la vie peut tout donner après avoir tout retiré."

 

Encore une fois j'éai été emportée par un roman de Jean-Philippe Blondel... Fred rencontre par hasard deux personne qu'il a connu dans sa jeunesse, quand il avait une vingtaine d'années et qu'il préparait son capes. Il se replonge alors dans ses souvenirs, cette amitié née entre les personnages à cause d'une terrible épreuve...

Ce qui m'étonne toujours ce sont les points de similitude avec la vie de l'auteur même, qui semble toujours s'encrer dans quelques choses qu'il connaît... Et c'est sans doute parce qu'il le connaît bien qu'il peut le narrer avec autant de précision et nous faire passer tant d'émotions.

Fred c'est le jeune homme qu'on aimerait avoir connu. Il est touchant, rêveur mais avec les pieds sur terre quand même, et sa loyauté semble infaillible. Les liens qu'ils tissent d'abord avec Myrian, mais surtout ensuite avec Thomas m'ont émue. J'ai eu à plusieurs reprises les yeux un peu mouillés... Jean-Philippe Blondel nous donne à voir une époque où les relations ne semblaient pas plus simples mais plus vraies. 

L'alternance entre les points de vues permet de mieux comprendre les mécanismes de cette amitié, au début Thomas est antipathique mais au fil des pages c'est Myriam qui le devient... La souffrance bien sûr change le ressenti des personnages et chacun la surmonte à sa manière, Thomas lui nous montre sa vulnérabilité tandis que Myriam se retranche derrière un personnage un peu plus dur et intransigeant, Fred lui est là, comme un rocher sur lequel ils peuvent s'accrocher, il encaisse en silence...

J'ai déjà hâte de me plonger dans 06H41 et en même temps je repousse ma lecture pour pouvoir la savourer plus longtemps ...

 

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(22/97)

4 août 2013

Un dimanche à Prague: quelques vues de la ville

Début juillet un charmant jeune homme m'a fait la surprise d'un petit séjour à Prague... Un peu réticente pour des raisons tout à fait personnelle, il m'a suffit de mettre un pied dans les rues pragoises pour m'ôter tout doute, cette ville est splendide!!! Il y a tellement de choses à voir qu'on ne sait où regarder. J'essaierai donc au cours de 8 dimanche en photo de vous donner envie de découvrir la capitale tchèque par vous-même, en ne vous montrant qu'une petite partie des façades et atmosphères. Sachez qu'on y mange pour très peu cher et que si on parle anglais voire allemand on n'a pas de soucis pour se faire comprendre.

vue depuis les marches qui mènent au Palais royal

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Vues depuis la tour Pétrin

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Place de la vieille ville

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vue sur le Pont Charles et la Vltava

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vue de nuit

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Les dimanches en photos sont à l'initiative de Liyah et on les retrouve aussi chez : LilibaChoupynetteEloraMelisendeFleur,  AnjelicaMyrtilleSandrineHérissonKatellChoco,Art SouilleursSeriaLecteur,  EstellecalimMargotte...

28 juillet 2013

Un dimanche en photo: Exposition: Photo n°6 (la dernière)

Et enfin ma petite fierté, une photo portrait mise en abîme réalisée elle aussi lors d'une séance dédiée au portrait au club. J'avais essayé d'avoir une mise au point nette sur l'appareil et sur le modèle mais finalement le rendu est plus joli (selon moi) comme ça. Maintenant que vous avez vu les six, laquelle préférez-vous?

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26 juillet 2013

Vacances!

C'est parti pour une semaine de vacances en Bretagne, histoire de se reposer un peu au bord de l'eau. A très vite :)

 

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25 juillet 2013

Lecture commune: Audur Ava Olafsdottir, L'embellie

embellieRésumé :

"C'est la belle histoire d'une femme libre et d'un enfant prêté, le temps d'une équipée hivernale autour de l'Islande.
En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes.
Avec un humour fantasque et une drôlerie décapante, l’Embellie ne cesse de nous enchanter par cette relation cocasse, de plus en plus attentive, émouvante entre la voyageuse et son minuscule passager. Ainsi que par sa façon incroyablement libre et allègre de prendre les fugaces, burlesques et parfois dramatiques péripéties de la vie, et de la vie amoureuse, sur fond de blessure originelle. Et l’on se glisse dans l’Embellie avec le même bonheur immense que dans Rosa candida, en une sorte d’exultation complice qui ne nous quitte plus."
 
Ce roman ne me tentait pas plus que ça et comme souvent c'est la perspective d'une lecture commune qui me l'a fait sortir de ma PAL, et comme assez souvent aussi ce fût une belle surprise... J'ai beaucoup aimé cette lecture et ce pour plusieurs raisons. 
D'abord parce que c'est un roman à la première personne et que bien souvent ça m'embarque plus facilement, je suis plus touchée et je m'identifie plus facilement au narrateur, ce qui m'amène à la deuxième raison pour laquelle j'ai beaucoup apprécié ce roman: la narratrice. Elle m'a parfois agacée, mais globalement elle m'a touchée, son franc-parler, sa volonté de ne pas être une femme traditionnelle qui ne sont finalement que des façades, elle revendique ne pas vouloir d'enfants, en est fière, mais se laisse finalement prendre au jeu des responsabilités qui incombent à une mère quand son amie lui confie son fils. La relation qui s'installe entre la narratrice et ce petit garçon a fait vibré ma corde sensible. J'aime beaucoup les romans où il est question d'enfants qui évoluent, les fameux Bbildungsroman, mais ici la narratrice évolue autant que l'enfant à son contact et c'est ce que j'ai trouvé beau dans cette histoire.
Enfin, ce que j'ai aussi beaucoup apprécié c'est l'Islande, personnage à part entière du récit. J'aimerais beaucoup visiter ce pays, parce qu'il entretient son mystère en étant très peu présent dans les médias et que les paysages y sont à couper le souffle je pense. Audur Ava Olfasdottir entretient ce mystère, elle fait de son pays un paysage un peu désolé où il y pleut beaucoup, mais paradoxalement, elle le rend en même temps  accueillant et chaleureux. 
J'ai apprécié les recette en fin de livre, il est souvent question de nourriture au fil des pages, donc c'est une bonne idée mais j'aurais préféré que le livre ne se termine pas de cette manière, j'aurais voulu une suite à cette histoire qui n'aura duré que le temps d'un été ...
 
J'ai fait cette lecture avec Valérie et Aifelle donc allons voir ce qu'elles en ont pensé. C'est aussi avec cette lecture que je clos mon challenge du 1% de la rentrée littéraire 2012 en ne l'ayant pas terminé avec seulement 5 livres lus. Je ne sais pas encore si je participerai au challenge pour la rentrée 2013, mon objectif étant toujours de baisser ma PAL existante et je ne me suis pas encore penchée sur les livres qui pourraient m'intéresser, à voir donc ...
 
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(5/7)
 
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(1/1)
 
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(2)
 
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(21/97)
23 juillet 2013

Le mois américain

Noctenbule propose de passer le mois d'octobre en compagnie d'auteurs américains, je me joindrai donc à elle ainsi que d'autres blogueurs pour vous faire découvrir tout au long du mois d'octobre des auteurs américains, mais pas que, on pourra également parler de séries, de recettes, de voyages etc... La seule obligation étant que ce soit estampillé US :) 

Plusieurs lectures communes sont prévues, vous les trouverez sur la page consacrée au challenge ici ou sur la page facebook.

 

challengemoisamericain

22 juillet 2013

Anne Percin, Comment (bien) gérer sa love story

comment_bien_g_rer_sa_love_storyQuatrième de couverture:

"On retrouve Maxime, le héros de Comment (bien) rater ses vacances, qui rentre en Terminale après un été bien mouvementé. L'année commence bien: il a maintenant une vraie copine, Natacha alias Pikachu, une étudiante à la Sorbonne rencontrée sur Internet... Mais quand on a 17ans, gérer l'amour, l'amitié et la guitare, c'est loin d'être évident.

Sous la plume d'Anne Percin, c'est en tout cas toujours hilarant!"

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Maxime, cet adolescent bourré d'humour et cultivé qui a marqué mon début d'été 2012, lecture donc synonyme du début des vacances pour moi, même si Maxime lui a repris le chemin du lycée pour préparer un bac ES. Et hormis les sciences sociales et la politique, Maxime a deux centres d'intérêt: Natacha, sa petite amie rencontrée dans le premier tome et la musique. D'un côté Maxime doit gérer le fait de sortir avec une demoiselle plus âgée que lui et qui ne partage pas vraiment ses goûts, de l'autre il essaie de faire évoluer sa passion pour la guitare.

On retrouve l'humour d'Anne Percin dans les répliques et pensées de notre ado mais aussi toutes les références musicales qui étaient déjà un régal dans Comment (bien) rater ses vacances. De plus, un nouveau personnage a fait son entrée dans la vie de Maxime: Gédéon, un enfant à qui il donne des cours particuliers après l'école. La relation qui s'installe entre les deux garçons m'a touchée parce que Gédéon est touchée par le syndrome d'Asperger, une forme d'autisme et j'ai moi même depuis deux ans un élève au syndrome d'Asperger et qui m'étonne à chaque cours. Je me suis un peu attachée à lui.

J'ai donc passé un agréable moment de lecture avec ce roman jeunesse que je recommande aux jeunes comme aux moins jeunes... Il ne me reste plus qu'à trouver Comment devenir une rock Star (ou pas) pour l'été prochain :p

21 juillet 2013

Un dimanche en photo: Exposition: photo n°5

Cette photo a été prise lors d'une séance au club pendant laquelle on a un peu travaillé les photos macro, pour obtenir ce résultat j'ai mis l'appareil en mode rafale avec une qualité d'iso élevée et j'ai ensuite selectionné la plus jolie. 

 

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Les dimanches en photos sont à l'initiative de Liyah et on les retrouve aussi chez : LilibaChoupynetteEloraMelisendeFleur,  AnjelicaMyrtilleSandrineHérissonKatellChoco,Art SouilleursSeriaLecteur,  EstellecalimMargotte...

19 juillet 2013

Atiq Rahimi, Syngué sabour - Pierre de patience

Syngu__sabourQuatrième de couverture:

"syngué sabour, n.f. (du perse syngue «pierre», et sabour «patiente»). Pierre de patience. Dans la mythologie perse, il s'agit d'une pierre magique que l'on pose devant soi pour déverser sur elle ses malheurs, ses souffrances, ses douleurs, ses misères... On lui confie tout ce que l'on n'ose pas révéler aux autres... Et la pierre écoute, absorbe comme une éponge tous les mots, tous les secrets jusqu'à ce qu'un beau jour elle éclate... Et ce jour-là on est délivré."

 

Voilà un très court roman qui ne peut pas laisser indifférent. Je ne peux pas dire si je l'ai aimé ou si je ne l'ai pas aimé, j'ai simplement trouvé la lecture un peu anxiogène, avec l'envie d'en finir à chaque page, de savoir jusque quand allait durer l'histoire de cette femme qui prend soin de son époux plongé dans le coma. Nous sommes ici en temps de guerre en Afghanistan, les gens vivent cloîtrés chez eux, des hommes armés arpentent la ville désertée. Le jeune femme a envoyé ses enfants chez sa tante pour qu'ils soient en sécurité, elle reste avec son mari, et chaque jour lui raconte son enfance, lui révèle ses idées, ses pensées... Un jeune "soldat" lui rend visite et casse un peu la monotonie de ses journées. 

La narration est assez répétitive, comme les journées de la jeune femme, on se perd dans ses pensées, qui sont mêlées au discours qu'elle tient à son mari. Elle lui fait certaines révélations qui en Afghanistan sont susceptibles de coùter la vie à une femme... 

J'ai été angoissée tout au long de ma lecture donc, c'est le coeur battant que je tournais chaque page et la fin est tombée comme un couperet... Dur dur donc... 

 

Je ne crois pas que j'aurais lu de moi-même ce roman mais j'avais dans une de mes classes cette année le neveu d'Atiq Rahimi, mon collègue de français a donc organisé une entrevue avec l'auteur et fait lire ce titre à la classe, je me demande comment les élèves ont compris cette lecture, il me tarde de pouvoir un discuter avec lui à la rentrée.

 

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