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Notes de lecture
28 juillet 2013

Un dimanche en photo: Exposition: Photo n°6 (la dernière)

Et enfin ma petite fierté, une photo portrait mise en abîme réalisée elle aussi lors d'une séance dédiée au portrait au club. J'avais essayé d'avoir une mise au point nette sur l'appareil et sur le modèle mais finalement le rendu est plus joli (selon moi) comme ça. Maintenant que vous avez vu les six, laquelle préférez-vous?

DSC_0597

 

Les dimanches en photos sont à l'initiative de Liyah et on les retrouve aussi chez : LilibaChoupynetteEloraMelisendeFleur,  AnjelicaMyrtilleSandrineHérissonKatellChoco,Art SouilleursSeriaLecteur,  EstellecalimMargotte...

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26 juillet 2013

Vacances!

C'est parti pour une semaine de vacances en Bretagne, histoire de se reposer un peu au bord de l'eau. A très vite :)

 

IMGP1583

25 juillet 2013

Lecture commune: Audur Ava Olafsdottir, L'embellie

embellieRésumé :

"C'est la belle histoire d'une femme libre et d'un enfant prêté, le temps d'une équipée hivernale autour de l'Islande.
En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes.
Avec un humour fantasque et une drôlerie décapante, l’Embellie ne cesse de nous enchanter par cette relation cocasse, de plus en plus attentive, émouvante entre la voyageuse et son minuscule passager. Ainsi que par sa façon incroyablement libre et allègre de prendre les fugaces, burlesques et parfois dramatiques péripéties de la vie, et de la vie amoureuse, sur fond de blessure originelle. Et l’on se glisse dans l’Embellie avec le même bonheur immense que dans Rosa candida, en une sorte d’exultation complice qui ne nous quitte plus."
 
Ce roman ne me tentait pas plus que ça et comme souvent c'est la perspective d'une lecture commune qui me l'a fait sortir de ma PAL, et comme assez souvent aussi ce fût une belle surprise... J'ai beaucoup aimé cette lecture et ce pour plusieurs raisons. 
D'abord parce que c'est un roman à la première personne et que bien souvent ça m'embarque plus facilement, je suis plus touchée et je m'identifie plus facilement au narrateur, ce qui m'amène à la deuxième raison pour laquelle j'ai beaucoup apprécié ce roman: la narratrice. Elle m'a parfois agacée, mais globalement elle m'a touchée, son franc-parler, sa volonté de ne pas être une femme traditionnelle qui ne sont finalement que des façades, elle revendique ne pas vouloir d'enfants, en est fière, mais se laisse finalement prendre au jeu des responsabilités qui incombent à une mère quand son amie lui confie son fils. La relation qui s'installe entre la narratrice et ce petit garçon a fait vibré ma corde sensible. J'aime beaucoup les romans où il est question d'enfants qui évoluent, les fameux Bbildungsroman, mais ici la narratrice évolue autant que l'enfant à son contact et c'est ce que j'ai trouvé beau dans cette histoire.
Enfin, ce que j'ai aussi beaucoup apprécié c'est l'Islande, personnage à part entière du récit. J'aimerais beaucoup visiter ce pays, parce qu'il entretient son mystère en étant très peu présent dans les médias et que les paysages y sont à couper le souffle je pense. Audur Ava Olfasdottir entretient ce mystère, elle fait de son pays un paysage un peu désolé où il y pleut beaucoup, mais paradoxalement, elle le rend en même temps  accueillant et chaleureux. 
J'ai apprécié les recette en fin de livre, il est souvent question de nourriture au fil des pages, donc c'est une bonne idée mais j'aurais préféré que le livre ne se termine pas de cette manière, j'aurais voulu une suite à cette histoire qui n'aura duré que le temps d'un été ...
 
J'ai fait cette lecture avec Valérie et Aifelle donc allons voir ce qu'elles en ont pensé. C'est aussi avec cette lecture que je clos mon challenge du 1% de la rentrée littéraire 2012 en ne l'ayant pas terminé avec seulement 5 livres lus. Je ne sais pas encore si je participerai au challenge pour la rentrée 2013, mon objectif étant toujours de baisser ma PAL existante et je ne me suis pas encore penchée sur les livres qui pourraient m'intéresser, à voir donc ...
 
1___2012
(5/7)
 
challenge_des_livres_et_des__les
(1/1)
 
chalenge_destination_pal
(2)
 
objectif_pal
(21/97)
23 juillet 2013

Le mois américain

Noctenbule propose de passer le mois d'octobre en compagnie d'auteurs américains, je me joindrai donc à elle ainsi que d'autres blogueurs pour vous faire découvrir tout au long du mois d'octobre des auteurs américains, mais pas que, on pourra également parler de séries, de recettes, de voyages etc... La seule obligation étant que ce soit estampillé US :) 

Plusieurs lectures communes sont prévues, vous les trouverez sur la page consacrée au challenge ici ou sur la page facebook.

 

challengemoisamericain

22 juillet 2013

Anne Percin, Comment (bien) gérer sa love story

comment_bien_g_rer_sa_love_storyQuatrième de couverture:

"On retrouve Maxime, le héros de Comment (bien) rater ses vacances, qui rentre en Terminale après un été bien mouvementé. L'année commence bien: il a maintenant une vraie copine, Natacha alias Pikachu, une étudiante à la Sorbonne rencontrée sur Internet... Mais quand on a 17ans, gérer l'amour, l'amitié et la guitare, c'est loin d'être évident.

Sous la plume d'Anne Percin, c'est en tout cas toujours hilarant!"

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Maxime, cet adolescent bourré d'humour et cultivé qui a marqué mon début d'été 2012, lecture donc synonyme du début des vacances pour moi, même si Maxime lui a repris le chemin du lycée pour préparer un bac ES. Et hormis les sciences sociales et la politique, Maxime a deux centres d'intérêt: Natacha, sa petite amie rencontrée dans le premier tome et la musique. D'un côté Maxime doit gérer le fait de sortir avec une demoiselle plus âgée que lui et qui ne partage pas vraiment ses goûts, de l'autre il essaie de faire évoluer sa passion pour la guitare.

On retrouve l'humour d'Anne Percin dans les répliques et pensées de notre ado mais aussi toutes les références musicales qui étaient déjà un régal dans Comment (bien) rater ses vacances. De plus, un nouveau personnage a fait son entrée dans la vie de Maxime: Gédéon, un enfant à qui il donne des cours particuliers après l'école. La relation qui s'installe entre les deux garçons m'a touchée parce que Gédéon est touchée par le syndrome d'Asperger, une forme d'autisme et j'ai moi même depuis deux ans un élève au syndrome d'Asperger et qui m'étonne à chaque cours. Je me suis un peu attachée à lui.

J'ai donc passé un agréable moment de lecture avec ce roman jeunesse que je recommande aux jeunes comme aux moins jeunes... Il ne me reste plus qu'à trouver Comment devenir une rock Star (ou pas) pour l'été prochain :p

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21 juillet 2013

Un dimanche en photo: Exposition: photo n°5

Cette photo a été prise lors d'une séance au club pendant laquelle on a un peu travaillé les photos macro, pour obtenir ce résultat j'ai mis l'appareil en mode rafale avec une qualité d'iso élevée et j'ai ensuite selectionné la plus jolie. 

 

DSC_0949

 

Les dimanches en photos sont à l'initiative de Liyah et on les retrouve aussi chez : LilibaChoupynetteEloraMelisendeFleur,  AnjelicaMyrtilleSandrineHérissonKatellChoco,Art SouilleursSeriaLecteur,  EstellecalimMargotte...

19 juillet 2013

Atiq Rahimi, Syngué sabour - Pierre de patience

Syngu__sabourQuatrième de couverture:

"syngué sabour, n.f. (du perse syngue «pierre», et sabour «patiente»). Pierre de patience. Dans la mythologie perse, il s'agit d'une pierre magique que l'on pose devant soi pour déverser sur elle ses malheurs, ses souffrances, ses douleurs, ses misères... On lui confie tout ce que l'on n'ose pas révéler aux autres... Et la pierre écoute, absorbe comme une éponge tous les mots, tous les secrets jusqu'à ce qu'un beau jour elle éclate... Et ce jour-là on est délivré."

 

Voilà un très court roman qui ne peut pas laisser indifférent. Je ne peux pas dire si je l'ai aimé ou si je ne l'ai pas aimé, j'ai simplement trouvé la lecture un peu anxiogène, avec l'envie d'en finir à chaque page, de savoir jusque quand allait durer l'histoire de cette femme qui prend soin de son époux plongé dans le coma. Nous sommes ici en temps de guerre en Afghanistan, les gens vivent cloîtrés chez eux, des hommes armés arpentent la ville désertée. Le jeune femme a envoyé ses enfants chez sa tante pour qu'ils soient en sécurité, elle reste avec son mari, et chaque jour lui raconte son enfance, lui révèle ses idées, ses pensées... Un jeune "soldat" lui rend visite et casse un peu la monotonie de ses journées. 

La narration est assez répétitive, comme les journées de la jeune femme, on se perd dans ses pensées, qui sont mêlées au discours qu'elle tient à son mari. Elle lui fait certaines révélations qui en Afghanistan sont susceptibles de coùter la vie à une femme... 

J'ai été angoissée tout au long de ma lecture donc, c'est le coeur battant que je tournais chaque page et la fin est tombée comme un couperet... Dur dur donc... 

 

Je ne crois pas que j'aurais lu de moi-même ce roman mais j'avais dans une de mes classes cette année le neveu d'Atiq Rahimi, mon collègue de français a donc organisé une entrevue avec l'auteur et fait lire ce titre à la classe, je me demande comment les élèves ont compris cette lecture, il me tarde de pouvoir un discuter avec lui à la rentrée.

 

18 juillet 2013

Joyeux Bloganniversaire!!!

Parce que chaque été mon petit blog prend un an supplémentaire... Voilà donc déjà quatre ans que je suis sur la blogo, beaucoup moins présente cette année mais avec toujours autant de lectures, de belles découvertes et d'amitié bloguesque, et tout ça grâce à vous! Merci !

 

IMGP2481

15 juillet 2013

Carlos Ruiz Zafon, Les lumières de septembre

les_lumi_res_de_septembreQuatrième de couverture:

"1937, à Cravenmoore, une demeure normande pleine de mystère et de marionnettes étonnantes. Le propriétaire, Lazarus Jann, est un inventeur de jouets. Simone Sauvelle y entre pour occuper un emploi de secrétaire particulière, avec ses deux enfants. Alors que l'harmonie, la joie et même l'amour veulent régner à Cravenmoore, une force incroyable s'y oppose... 

Un suspense spectaculaire, tissé autour du thème de prédilection du maître du roman espagnol : la maison envoûtée."

 

Les lumières de septembre fonctionne sur le même schémas que Le Palais de Minuit et Le Prince de Minuit: des enfants sont menacés par une présence maléfique liée au passé qui surgit sous la forme d'une ombre noire et se matérialise sous différentes formes, ici elle habite les automates crées par Lazarus Jann. Cette ombre noire vient se venger du passé et se "nourrir" pour continuer à exister. A chaque fois, l'un des personnages ou un de ses ancêtres a fait un pacte avec cette ombre... Ce pacte lui aura valu de perdre sa propre ombre et de devoir sacrifier quelque chose au cours de sa vie... Pour Lazarus Jann, le sacrifice fût la personne qui lui était la plus chère... son épouse Alma.

Chaque fois, des enfants liés par une amitié forte sont confrontés à l'ombre et cherchent à lui échapper et à la combattre pour sauver les siens... Dans ce roman, aussi noir que les précédents, l'ombre enlèvera la vie de l'un d'entre eux ... 

Comme à chaque fois, ce n'est pas le côté surnaturel qui me plaît mais les personnages et les liens qui les unissent. Ici le décor m'a moins plu que dans les précédents romans, excepté le manoir et la mer, je n'ai aps du tout adhéré aux automates et pantins parce que c'est un univers qui ne me plaît pas du tout, c'est d'ailleurs ce qui m'avait déplu dans Marina. Je me suis tout de même attachée à Irène et son nouvel ami. De plus, l'écriture de Zafon m'emporte toujours un peu, un peu à la manière d'un conte, et chargée de mystère, elle me captive jusqu'à ce que l'intrigue soit résolue, et pourtant je ne suis pas fan du fantastique, mais ça se lit bien... 

J'ai lu ce roman dans le cadre du challenge un mot des titres de Calypso, pour cette session le mot était lumière.

14 juillet 2013

Un dimanche en photo: Exposition photo n°4

C'est cette photo qu'une dame venue voir l'expo a proprosé de m'acheter. Je l'ai prise chez une collègue et amie en Seine et Marne. Pour l'expo je l'avais un peu foncée, là je vous mets le fichier sans retouche.

 

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