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Notes de lecture
31 octobre 2011

Petite escapade bretonne: De Bénodet à Concarneau

Cette semaine je vous laisse admirer la côté de Benodet et la ville fortifiée de Concarneau. Bonne évasion ;)

 

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30 octobre 2011

Un dimanche à ... Benodet

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Ce dimanche nous nous arrêtons à Bénodet, la ville est jolie certes mais je n'y ai pas trouvé d'attraction liée au patrimoine, c'est plus une ville balnéaire comme on en trouverait dans le sud de la France. Par contre la côté est toujours très belle, donc demain nous la longerons un peu avant de rejoindre Concarneau!

 

 

Les dimanches en photos sont  aussi chez : Liyah,   MyaRosa,   LounimaHilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

27 octobre 2011

Le père Noël existe, il suffit d'y croire!

Vous avez pu voir que régulièrement j'étais gâté par Will qui est un peu devenu mon père Noël officiel!! Donc oui dans quelques jours je soufflerai mes 26 bougies et pour m'aider à digérer cette lente glissade vers la trentaine Will a bien pensé à moi : (connaissant ma patience légendaire je ne pouvais bien évidemment pas attendre ces quelques jours pour ouvrir mes nombreux paquets!!!)

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5 livres !! :

Kathryn Stockett, The help

Daphnée du Maurier, Les oiseaux

Madame de Lafayette, La princesse de Clèves

Maryse Condé, les belles ténébreuses

Stéphanie Barron, Jane Austen et le révérend

2 cds: La bo du film Good Morning England (que je suis d'ailleurs en train d'écouter en ce moment même!!!) et un artiste que je ne connaissais pas : Martin Rappeneau

3 coffrets dvd!!! : une comédie musicale: Le chant du Missouri avec Judy Garland, la saison 1 de la série Mad Men que je dois regarder depuis des lustres!! et la saison 1 d'une série que je ne connais pas (mais ça ne saurait tarder) Friday Night Lights

2 marques pages ^^ dont un à l'effigie d'Audrey Hepburn dans Breakfast at Tiffany's ;)

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des tonnes de bonnes choses à manger: cookies chocolat/noix de macadamia, financiers chocolat/orange, chocolat noir fourré à la mousse, chocolat au lait aux éclats de nougat, aux raisins et noisettes, à la crême brulée et un coffret de thé :)

Enoooooooooooorme merci!!!

Oui parce qu'en plus voyez-vous Will le mois dernier m'avait aussi envoyé ça :

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Alors hein il existe toujours pas le père Noël??

26 octobre 2011

Jonathan Franzen, Freedom

freedomQuatrième de couverture :

"Patty Berglund est-elle la femme idéale ? Pour Walter, son mari, la réponse ne fait aucun doute : c'est oui. Épouse aimante, mère parfaite, Patty a tout bon. Mais qu'en pense-t-elle ? En renonçant à Richard, ce «bad boy» dont elle était amoureuse - et qui se trouve être le meilleur ami de Walter -, Patty a peut-être commis l'erreur de sa vie. Freedom raconte l'histoire de ce trio et capture le climat émotionnel, moral et politique des États-Unis entre 1970 et 2010 avec une incroyable virtuosité.


Anatomie d'un mariage et d'une famille - les Berglund -, ce livre analyse les illusions, les déceptions et les compromis d'une génération de baby-boomers qui avaient rêvé un jour de changer le monde. Mais c'est aussi un acte d'accusation implacable à l'égard d'une nation qui a cessé depuis longtemps d'incarner ses propres valeurs. Qu'avons-nous fait de notre liberté ? se demandent les personnages de Jonathan Franzen. Et quel monde laisserons-nous à nos enfants, qui nous ressemblent si peu ? Pendant ce temps, les États-Unis livrent en Afghanistan et en Irak leurs propres guerres napoléoniennes, tentant d'imposer cette même liberté par la force."

 

Par où commencer ? je ne saurais dire si j’ai aimé ou non. J’ai un avis assez mitigé, certains passages m’ont beaucoup plu, notamment la première partie ou Patty nous parle de son enfance et de ses années à l’université, de sa rencontre avec Richard Katz et Walter, de sn amitié avec la foldingue Eliza … Cette partie là m’a effectivement beaucoup plu. Je ne peux pas en dire autant de la partie centrale, j’ai également lu avec attention le parcours de Joey mais els nombreuses digressions de l’auteur, parfois le style alambiqué de l’auteur, les bons en arrières, les idéologies, voire même je pense des problèmes de traductions et/ou impressions m’ont beaucoup gênées ! Mais alors le pompon ce fût toutes ces histoires de paruline azurée, de surpopulation, de fanatisme écologique si je puis dire de Walter et de son assistante Lalitha … Je crois bien qu’à ce moment là, Jonathan Franzen m’a complètement perdue ! J’ai vraiment peiné à le lire, je n’avais qu’une hâte arriver au bout de ma lecture !!

Je n’ai donc pas aimé me direz-vous … Mais non au final je n’arrive pas tout à fait à être aussi tranchée. J’ai apprécié les personnages, d’abord celui de Patty puis celui de Walter, pour au final le détester ensuite ! J’ai regretté également que le personnage de Richard Katz ne soit pas plus fouillé parce qu’il m’a beaucoup plus, et les passages le concernant était une bouffée d’oxygène dans l’oppression ambiante généré par Walter et ses idées.  J’ai eu de la peine pour cette pauvre Connie, qui se fait quand même manipuler du début à la fin par Joey qui semble se racheter dans les dernières pages mais bon… ça n’est pas suffisant !

J’aime bien les livres au background historico-politique, mais là je n’ai pas tellement accroché, j’ai trouvé que ça partait un peu dans tous les sens, on ne sait plus au final qui républicain qui est démocrate, quelles sont les idéologies des uns et des autres. J’ai trouvé la famille de Patty assez pathétique, voire Patty elle-même parfois, notamment dans son choix d’épouser Walter et de fonder une famille de cette manière.

Il y a beaucoup de valeurs dans ce livre que je ne partage absolument pas, que je ne comprends d’ailleurs pas, surtout en ce qui concerne l’amour, le mariage.

Du coup je suis vite passée à autre chose, j’avais besoin de quelque chose de plus léger, de plus gai. J’ai littéralement été écrasée par tout ça … Pfiou !

Je remercie Priceminister pour cette découverte dans le cadre des matches de la rentrée littéraire, et vais aller lire les avis d’autres blogueurs ! L'avis d'autres internautes sur la fiche du livre.

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(2/7)

24 octobre 2011

Petite escapade bretonne: la côte sud Finistère: de Sainte Marine à la pointe de la Torche

 Cette semaine nous quittons donc l'Ille et Vilaine pour le sud Finistère. Première étape: Pont l'Abbé, jolie petite ville, capitale du pays Bigouden. En effet, j'ai trouvé le sud plus attaché à ses racines bretonnes, les panneaux sont systématiquement traduits en langue bretonne et les manifestations sont souvent liés aux origines celtes etc. Vous pourrez  visiter à Pont l'Abbé le musée Bigouden et y voir donc de très beaux vêtements et meubles d'époque.

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 En quittant Pont l'Abbé en tirection de Loctudy, nous avons visité le manoir Kerazan dont l'aile principale date du 16e siècle. Il a été restauré et on retrouve à l'intérieur le mobilier d'une famille bourgeoise du 19e siècle. A l'extérieur vous pouvez vous balader dans le parc, la fermette attenante et le très joli potager.

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 Sur la côte, pause pique-nique sur un banc ...

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 L'entrée du port du Guilvinec, il rassemble les quatre ports maritimes du pays Bigouden, il est l'un des plus grands port de pêche français.

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Le phare d'Eckmülh à Penmar'ch, 60 mètres de hauteur, près de 300 marches à gravir...

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 La pointe de la Torche, il y avait beaucoup de vent ce jour là, les surfeurs étaient donc très, très nombreux. J'ai été très étonnée de voir autant de monde par ce temps!!

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 Le phare de Benodet vu du port de Sainte Marine. Les deux villes sont séparés par l'odet qui va se jeter dans l'océan.On peut d'ailleurs traverser en petit bateau d'un port à l'autre.

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23 octobre 2011

Un dimanche à ... la plage de Saint Marine

Nous sommes toujours en Bretagne mais cette fois nous avos quitté la partie Nord est pour aller nous balader dans le Sud ouest breton! Petite escapade à la plage, où l'eau était bien trop froide pour nous baigner (ou nou n'étions pas assez courageux!)

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Rendez-vous demain donc pour longer la côte de Saint Marine à la pointe de la Torche!

Les dimanches en photos sont  aussi chez : Liyah,   MyaRosa,   LounimaHilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

17 octobre 2011

Petite escapade bretonne: Combourg

Cette semaine je vous fais voyager en terre de Châteaubriand, à Combourg, où il a passé une bonne partie de son enfance. Pour commencer la balade rendez-vous à l'office de tourisme.

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La statue de l'écrivain, et derrière les arbres du parc du château de Combourg.

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Le château de Combourg a été construit au Moyen-âge. Le père de Chateaubriand en fera l'acquisition en 1761. L'auteur parlera de son enfance passée entre ces murs dans ses mémoires.

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Un arbre tordu dans le parc du château.

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16 octobre 2011

Un dimanche ... au Menhir du Champ Dolent

En Bretagne on trouve ici et là dans les champs des Menhirs et Dolmens, ce menhir se situe à environ deux kilomètres au sud de Dol de Bretagne en direction de Combourg.

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Lundi je vous emmène donc à Combourg, célèbre pour son château appartenant à la famille d'un grand écrivain français qui y vécut dans son enfance. Alors alors c'est qui?

 

Les dimanches en photos sont  aussi chez : Liyah,   MyaRosa,   LounimaHilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

15 octobre 2011

John Irving, Dernière nuit à Twisted River

derni_re_nuit___twisted_riverQuatrième de couverture:

"Au nord du Nord, au pays des bûcherons et des flotteurs de bois -les draveurs -, il était une fois un petit cuisinier boiteux et son fils de douze ans, gamin impressionnable à l’imagination peuplée d’ours indiscrets. Ils avaient pour garde du corps Ketchum, l’ogre anarchiste, ivrogne, rusé, noiseur, faux illettré à l’intelligence incisive.

A l’image de la Twisted River torrentielle, ce récit d’une vengeance impitoyable bourlingue son lecteur d’ethnies en états sur trois générations, rencontre explosive entre l’Orient et l’Occident, comédie de mœurs culinaires, tragédie des portes mal fermées entre la splendeur d’une nature meurtrière et la quiétude imprudente du foyer.

Un chien héroïque, une Mustang bleue fantôme, une ange atterrie dans la fange : le chef Irving nous réserve toutes les surprises de son art consommé dans un roman qui se dévore et se déguste jusqu’à la dernière page. Bombe glacée pour tout le monde au dessert !"

 

Comme Valérie (lien de son billet) j'ai eu envie de lire ce livre après l'interview de John Irving dans la grande librairire, je l'avais acheté peu de temps après mais pas pris tout de suite le temps de le lire. Le challenge un mot un titre de Calypso était donc l'occasion de le sortir puisqu'il s'agissait de lire un livre avec le mot nuit dedans.

J'appréhendais la lecture parce que je n'avais pas tellement aimé le dernier Irving que j'avais lu et au final j'ai a-do-ré! J'ai certes parfois trouvé certains passages soit un peu longs soit un peu flous, mais globalement j'ai beaucoup apprécié cette lecture, les histoires de chacun mais surtout les personnages!

L'histoire, ou plutôt les histoires sont découpées en six parties chacune centrée sur un lieu et une époque allant de 1954 à 2005. On traverse les années avec Dominic Baciagalupo et son fils Daniel ainsi que leur ami Ketchum. Daniel aura à son tour un fils Joe. Trois générations d'hommes seuls "délaissés" par leur compagne ou leur mère ... Les femmes sont d'ailleurs assez peu présentes dans le roman et quand elles le sont elles font figure d'homme de par leur stature comme Pam Pack de six ou Jane l'Indienne. L'une des exceptions allant à Rosie.

Ce livre est tellement riche qu'il m'est difficile d'en faire état. John Irving nous livre ici une belle histoire sur l'amour paternel et le travail de la mémoire. La mémoire de l'écrivain mais aussi la mémoire des hommes. Qu'elle mène à du positif ou à du négatif. C'est les souvenirs du passé qui lient Dominic, Daniel et Ketchum, le fait d'avoir une histoire commune, pour le meilleur et pour le pire. Dominic ne tiendra jamais rancoeur à son fils et vice versa.

Le symbolisme de l'ours est présent dans tout le livre, c'est souvent la mort d'un ours qui annonce un changement dans la vie des personnages, que cet ours soit réel ou imaginé, celui de la poêle, Jane l'indienne, ou l'ours tué par le chien de Ketchum. Chacun annonce un départ et un recommencement. En ce sens j'ai toruvé qu'il était beaucoup plus intéressant que les ours qui peuplaient L'hotel New Hampshire!!

Une place importante est également laissé à la cuisine puisque Dominic est cuisinier, pour les bûcherons de Twisted River puis dans divers restaurants ensuite. La cuisine dans le livre est fédératrice, elle permet aux gens de se rassembler et crée des liens entre les personnages. C'est autour de la cuisine que l'histoire prend aussi des tournants importants: la recontre avec Carmella, l'arrivée du "cow boy" dans le restaurant de Boston, les deux anciennes cuisinières de Twisted River qui se retrouvent autour d'une pizza de Dominic etc.

John Irving en profite également pour aborder le traitement de l'écrivain par les médias américains, le patriotisme, la politique après le 11 septembre, les élections de 2000 puis celles de 2004, l'économie du bois, la vie rurale ...

Autant de thème qui sont abordés avec brio par l'auteur, qu'on n'adhère ou pas à son point de vue cela reste agréable et divertissant à lire. En bref donc un coup de maître pour Mr Irving dont j'avais également adoré Le monde selon Garp.

L'avis de Flo et Mango.

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(22/26)

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J'en profite également pour m'inscrire au challenge de Valérie sur John Irving

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12 octobre 2011

David Foenkinos, Lennon

LennonQuatrième de couverture:

"Après une enfance terrible, une plongée précoce dans l’immense célébrité, sa rencontre décisive avec Yoko Ono, des années d’errance et de drogue, John Lennon a décidé d’interrompre sa carrière en 1975, à l’âge de 35 ans, pour s’occuper de son fils Sean. Pendant cinq années, à New York, il s’est retiré de la vie médiatique et n’a pas sorti d’album. C’est durant cette période qu’il a pris le temps de réfléchir à la folie de son parcours. Jusqu’à ce que le fil de son existence soit brutalement interrompu, le 8 décembre 1980, jour de son assassinat par un déséquilibré.
Imaginant les confessions du créateur des Beatles et s’emparant d’une période méconnue de sa vie, David Foenkinos dresse un portrait intime et inédit de John Lennon."

Il m'a souvet été difficile de me rappeler en lisant ce livre qu'il s'agit bel et bien de l'écriture de David Foenkinos et non d'une autobiographie de John Lennon lui-même! Il s'agit effectivement d'une oeuvre de fiction, David Foenkinos le signale bien dans sa postface mais quand même c'est tellement bien écrit que difficile de démêler le vrai du romancé.

A travers quelques séances chez un psy Lennon (sous la plume de David Foenkinos) nous livre son ressenti, par rapport à son enfance pas toujours facile, à la formation des Beatles, à son premier fils qu'il n'a pas su aimer et son deuxième pour lequel il a tout arrêté, sa relation avec ses parents, sa première femme Cynthia etc.

Sa rencontre avec Yoko Ono marque un tournant non seulement dans sa carrière mais également dans sa personne. Il revient également sur ses relations avec les différents membres du groupe et leur évolution, notamment lors de la fin des Beatles et sa "rivalité" avec Paul McCartney.

Lennon nous donne des explications sur l'origine de certaines chasons, Prudence, Hey Jude, Lucy in the sky with diamonds...

J'ai trouvé intéressant de se plonger dans la vie de ce John Lennon post Lennon parfois empreint à des délires complètements fous. Ce que je retiens au delà de la drogue consommée par le personnage et son égo surdimensionné c'est le traitement de presse réservé aux Fab four, la presse et aussi les fans. Il existait une espèce d'hystérie collective autour de ces quatres chanteurs, comment ne pas sombrer dans la paranoïa. Certains s'en seront au final mieux sortis que d'autres.

Ce livre m'a touchée, j'ai aimé me remémorer toutes ces chansons que je connais des Beatles ou de Lennon pendant ma lecture. David Foenkinos maîtrise parfaitement son sujet et le rend attractif en choisissant cette forme de pseudo confession. Bravo. Lennon gagnerait à être autant connu et lu que La délicatesse.

Deux extraits :

" Je suis au calme maintenant, et j'essaye de fermer les yeux pour écouter dans ma tête le bruit des années 60. Est-ce que c'est possible de raconter ça? Chaque minute qu'on vivait possédait la densité d'un siècle. Si je me concentre, alors j'arrive à effleurer mes émoitions passées. Je peux toucher du doigt le moment où nous sommes montés dans l'avion[...] On était quatre British élevés aux beans, et on nous gavait de champagne et de langouste. "

"Cet été-là ( en 1967) avait comme le goût d'une révolution. Les gens pensaient différemment, s'habillaient différemment, et voilà qu'on offrait au monde la bande-son de l'époque."

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