Quoi de neuf dans ma bibli?
Après un abandon de plus de deux semaines je reviens en forme pour la rentrée (avec une grippe intestinale youhou) et une demi-douzaine de billets à écrire, mais d'abord je vous parle des quelques achats de cet été:
La décision d'Isabelle Pandazopoulos, repéré sur le blog de Hérisson et d'autres blogueuses, ce roman jeunesse a croisé ma route chez un célèbre furet Lillois, je ne pouvais pas résister.
Quatrième de couverture: "Un matin, Louise, excellente élève de terminale S, a un malaise en plein cours de maths. Quelques instants plus tard, elle accouche seule d'un enfant dont elle ne savait rien, qu'elle n'a pas attendu, encore moins désiré.
A partir de ce jour commence pour Louise un cheminement difficile, jalonné de questions. Comment ce petit garçon de 3.3 kg peut-il être son fils ? Elle n'a pourtant jamais couché avec personne... Qui peut être le père ? Que s'est-il passé ? Quelle place faire à cet enfant ? Professionnels, famille, tous vont aider Louise à passer de l'état de choc où elle se trouve plongée au retour à la vie."
Pour mon achat France Loisirs du trimestre j'ai craqué sur Plus jamais sans elle de Mikaël Ollivier, et j'ai déjà repéré mon prochain achat :)
Quatrième de couverture: "Le jour de ses dix-huit ans, Alan n'a qu'un souhait, rencontrer celle qu'il n'a jamais vue, dont il ne sait rien, pas même le nom : sa mère. Un voeu qui va faire basculer sa vie.
Car pour rejoindre Ellen, cette femme armée, rebelle et solitaire, mais surtout pour la sauver et rester à ses côtés, il va lui falloir devenir un autre.
Lui qui n'a jamais voyagé va parcourir l'Europe de Londres jusqu'à Sofia, en passant par Prague et le Grand Nord. Lui qui a toujours obéi va transgresser les lois et affronter police et truands. Lui que son père a toujours protégé va apprendre à n'avoir peur de rien... Sauf de perdre celle qu'il a eu tant de mal à retrouver."
Je n'avais emporté que trois livres pour passer deux semaines chez ma soeur, sachant qu'avec mes nièces j'aurai moins le temps de lire, et là Ô rage! Ô desespoir, je n'avais plus rien à lire pour les cinq heures de train que j'avais à parcourir! J'ai donc dû aller à la librairie et acheter un livre, un comble non? Et bien sûr j'ai craqué pour le tout nouveau Sorj Chalandon, Le quatrième mur, que j'ai déjà presque terminé!
Samuel était grec. Juif, aussi. Mon frère en quelque sorte. Un jour, il m'a demandé de participer à cette trêve poétique. Il me l'a fait promettre, à moi, le petit théâtreux de patronage. Et je lui ai dit oui, Je suis allé à Beyrouth le 10 février 1982, main tendue à la paix. Avant que la guerre ne m'offre brutalement la sienne...»