Quoi??? Encore un?? Bé oui encore un... quand je dis que je ne suis pas raisonnable... Mais cette fois un peu quand même puisqu'il s'agit de lire au moins un titre de cette romancière britannique du 20e siècle. Ce challenge est organisé par Océane, et c'est par ici que ça se passe. Je compte lire La chaîne d'amour que j'ai dans ma PAL et qui comptera aussi pour ma challenge ABC, vous voyez que c'est raisonnable malgré tout!
Oui ça n'est pas très représentatif du parc Longchamp qui se trouve à Marseille, mais cette photo colle bien à mon humeur du jour. Une marelle? quésaco? ça me rappelle les après-midi passées au parc avec ma nièce que je n'ai pas vue depuis plusieurs mois...
"Pourquoi le père Herbert s'inquiète-il tant de
voir Paul de Grey tomber amoureux de la douce et innocente Margaret ?
Quelle terrible malédiction pèse sur cette famille ? Les jeunes gens se
débattent et tentent vainement de lutter contre un destin qui les
entraîne inexorablement aux confins de la folie et vers la mort."
Ce sera donc un billet express, à l'image de cette très courte lecture. C'est la première fois que je lis du Henry James (pour une ex-étudiante en anglais/professeur d'anglais j'ai honte, oui oui) et on retrouve bien l'univers du 18/19e avec le thème du mariage, la bienséance, rapidement l'éducation des jeunes filles le tout agrémenté d'une petite malédiction. C'est gentillet, ça se lit facilement mais je n'ai pas retrouvé la verve d'une Austen ou d'une Brontë que j'aime tant. C'était donc une lecture agréable mais sans plus.
Et puis je continue à me demander, après avoir posé la question à plusieurs lectrices, quelle est la "morale" de cette histoire à la fin avec la dernière intervention du prêtre et de Mrs De Grey, j'avoue ne pas saisir le sens de leur dernier échange, de qui parlent-ils? Quelle lumière est-ce que cela porte sur toute l'histoire?
Si vous avez des réponses à me fournir n'hésitez pas :)
Quatrième de couverture:"Vingt ans après, six anciennes camarades de classe se retrouvent dans
la somptueuse villa où elles avaient séjourné ensemble l’année de leur
bac. Seule Piera, l’organisatrice de ce week-end « entre filles »,
manque à l’appel. Lucia, Amanda, Déda, Maria Luisa, Tatti et Giovanna
imaginent alors toutes sortes de motifs à son absence.rnrnTrès vite,
trois autres disparaissent. Leurs amies se rassurent en pensant
qu’elles ont filé à l’anglaise. Mais la tension ne cesse de monter,
d’autant que le week-end prend fin et que le minibus censé venir
chercher les hôtes de la Villa Camerelle se fait attendre. C’est alors
qu’Amanda, la plus angoissée de la bande, fait une macabre découverte.
Y aurait-il une meurtrière parmi elles ?"
Pas besoin de revenir sur le synopsis de l'histoire tout y est, un huis clos qui n'est pas sans rappelé les Dix petits nègres d'Agatha Christie, l'un des personnages d'ailleurs y fera référence via ses différentes adaptations cinématographiques. L'histoire est donc plaisante, elle tient en haleine puisque oui on veut savoir qui de ce huis clos infernal est à l'origine de ces macabres disparitions et bien sûr pourquoi... Le pourquoi on le devine et on le découvre progressivement via une voix intérieure qui entrecoupe le récit.
Le récit lui se focalise sur un personnage puis sur un autre tut en nous livrant ses pensées, interrogations et souvenirs. L'histoire est un peu longue à se mettre en place, on passe d'abord par une focalisation sur chacun des personnages qui n'est au final pas si creusée que ça. On nous fait simplement le portrait de ces sept femmes qui ont toutes plus ou moins réussies dans la vie et qui ont (j'ai trouvé) toute le même point commun, ce sont (comme on les appelle entre amies) des LDP (langues de putes oui oui j'ose), elles sont toutes un peu jalouses les unes des autres, voire méprisante, toutes à comparer leur réussite, leur mari, leurs enfants ... God j'espère que dans vingts ans ce ne sera pas mon activité favorite!!
Petite déception également en ce qui concerne les paysages puisque ce huis clos se tenait en Toscane je m'attendais à ce qu'on nous décrive un peu les paysages voire l'architecture mais pas vraiment en fait puisque de toute façon les amies ne quitteront pas la villa. Dommage!
La fin m'a plus tenue en haleine, du trio restant la meurtrière n'est finalement peut-être pas celle qu'on croit, puis si, puis non, puis si ... et en fait jusqu'à la dernière page on ne sait pas et j'ai de ce fait trouvé la fin un peu abject, mais c'est ça aussi qui m'a plus, les surprises ne sont pas là où elle s'attend qu'elle soit.
Ce fut donc une lecture mitigée, ça se lit rapidement, ça tient en haleine mais la psychologie des personnages n'est pas développée suffisamment à mon goût, en somme c'est pas le thriller du siècle mais ça se lit bien ;)
Merci à Stéphie d'avoir fait voyager son livre jusque chez moi, il part désormais pour chez Fizz!
Quatrième de couverture:"1914. Appelés sous les drapeaux, les hommes de la famille Kergalin sont
arrachés à leur Bretagne natale. Ils reviendront blessés ou
traumatisés. Désormais, pour eux comme pour les femmes, qui ont dû
s'organiser en leur absence : "Rien ne sera plus comme avant..."
Vaste fresque familiale éclairant notre temps, 'D'un autre monde'
raconte l'épopée d'une famille dans le siècle. Emportés par le
grondement de l'Histoire, les Kergalin trouveront un point d'ancrage
dans leur grande maison.
Affrontant le fracas des guerres & les assauts de la modernité,
héros ou lâches, tour à tour jouets & maîtres de leur destin, ces
hommes & ces femmes nous touchent comme s'ils étaient les membres
de notre propre famille."
Comment utiliser les mots
justes pour rendre justice à cette magnifique histoire qui nous est contée par
Claude Crozon ?
J’admets, les quarante
premières pages ont été difficiles, je trouvais l’écriture parfois trop
alambiquée, je ne comprenais pas qui était qui par à rapport à qui, j’avais des
difficultés à distinguer présent, passé et bonds dans le passé encore plus lointain
et puis… la magie opère, l’écriture devient plus fluide, on fait connaissance
avec les personnes, on apprend à les cerner, les parents : François et
Emilienne et leurs quatre enfants : Maxime, Etienne et Albert les jumeaux
et puis Madeleine. C’est ici que tout commence, à Kargalin en ces terres
bretonnes qui me font tant rêver ces derniers temps …
Le livre est découpé en cinq
parties, chacune retraçant une époque particulière, de la première guerre
mondiale à la montée du nationalisme en Allemagne, la seconde guerre mondiale,
puis l’après guerre jusqu’aux frasques de mai 68, les années 70-80 et enfin une
époque qui m’est plus proche les années 90-2000.
C’est donc à travers ce 20è
siècle que nous allons suivre cette famille Kergalin et leurs descendants,
toutes leurs histoires entremêlées, des guerres trop nombreuses des naissances
parfois inattendues, des séparations, des décès au fil des années.
Je me suis d’abord attachée
à ce Maxime, un peu différent, avec ses rêves d’adolescent brisé par l’appel à
la mobilisation. Puis les rôles se sont inversés, c’est Etienne qui gagne la
sympathie du lecteur, tout en retenue. Les Kergalin c’est une famille désunie
par la première guerre et réunie par la seconde. J’ai aimé avec eux, j’ai
tremblé avec eux et j’ai même parfois versé quelques larmes avec eux… L’histoire
de Madeleine m’a rendue admirative, puis celle de Pauline m’a touchée
personnellement, dans les rapports qu’elle entretient avec son père. Cette peur
au ventre qui ne la quitte pas en sa présence, j’y ai été parfois familière au
même âge.
Claude Crozon maîtrise sa
narration à la perfection. On se focalise sur l’histoire d’un personnage tout
en faisant avancer celle des autres, Maxime, Madeline puis Pauline. Elle nous
donne également des « témoignages » de membres de la famille sur leur
passé, leurs oncles, leurs cousines qui donnent à l’histoire un aspect encore
plus réaliste. J’ai par moment eu l’impression d’entendre toutes ces voix.
Ce livre parle donc d’une
famille et des liens qui l’unissent mais pas seulement, elle pose aussi la
question de l’identité bretonne, de la mobilisation des bretons pour les deux
guerres, de reconnaissance et d’identité, qu’elle soit bretonne, française,
juive ou allemande. La question de la langue régionale revient assez souvent
également. Elle évoque le travail de fourmi des résistants pendant la
collaboration, de l’injustice et de la violence gratuite où l’on pouvait être
fusillé pour un simple coup de téléphone. Elle effleure le problème de la
modernité et de l’exploitation des terres agricoles, de la médecine et de la
psychologie.
C’est un livre très riche
tant en histoires qu’en Histoire et surtout en émotions ! Un véritable
coup de cœur ! Je remercie sincèrement les Editions Robert Laffont et
Blog-O-Book pour cette merveilleuse découverte.
Des extraits qui m’ont particulièrement
touchée :
« Comment la convaincre
de partager la certitude qui l’habitait désormais d’un avenir terrible pour
tous et plus terrible encore pour quelques uns ?
Comment lui faire admettre l’inconcevable
et avec quels mots lui dire qu’il s’était peu à peu accoutumé à se sentir
personnellement menacé parce que c’était logique, même si c’était absurde ? »
« Un amour pareil c’est
à se demander s’il faut le souhaiter : comment continuer à vivre quand l’un
des deux fait défection ? Qui veille sur ceux qui n’attendent plus ? »
« La guerre serait-elle
le remède à l’ennui de vivre des psychopathes qui nous gouvernent et dont le
seul génie consiste à nous entraîner dans leur folie, jusqu’à nous faire croire
qu’elle est la nôtre ? »
« Comment peut-on
survivre à ceux qui vous manquent tant ? Cécile a choisi de faire silence
sur cette épreuve quotidienne : « de quel droit faire porter à autrui
le fardeau qui t’appartient ? » »
« Nous sommes la
génération qui aura vécu au carrefour des plus grandes tueries et nous laissons
nos enfants face à l’atome, la plus terrible des menaces qu’ait connue l’humanité…
alors, je me demande bien quelle supériorité accorder à notre civilisation,
capable d’avoir inventée des systèmes philosophiques qui justifient l’esclavage
et qui a utilisé son savoir à des fins de destruction totale. Mais aussi,
comment respecter celles qui poussent le raffinement jusqu’à fabriquer des
guerriers non contents de tuer leurs ennemis, les découpent en rondelles ? »
Pour cette deuxième semaine j'ai choisi de vous mettre la photo à partir de laquelle j'ai fait mon avatar de Livraddict: Picadilly Circus. Je me suis par la même occasion rendu compte que j'avais pris cette photo il y'a déjà trois ans et je me dis que le temps file à toute vitesse!!
Je vous livre un petit billet récapitulatif des challenges, swap et lectures communes sur lesquels je me suis décidée cette semaine.
Donc commençons par la lecture commune d'Aux Malheurs des Dames de Lalie Walker.Gio nous propose de le lire pour le 1er juin suite au procès fait à son auteur pour «diffamation, injure, et préjudice pour atteinte à l’image» par la société Village d'Orcel qui souhaiterait voir le livre retiré de la vente et des dommages intérêts, à notre échelle nous ne pouvons pas faire grand chose si ce n'est d'apporter notre soutien à l'auteur et aux éditions Parigramme en achetant et en lisant le livre. Rendez-vous donc le 1er juin.
Je me suis également inscrite au swap Grandes romancières anglophones chez Bev, c'est un blog que j'ai découvert la semaine dernière et vu ma reconnaissance éternelle pour les oeuvres de Jane Austen et des soeurs Brontë je ne pouvais que m'inscrire pour élargir un peu mes horizons! Notre colis devra contenir trois livres de poche de romancières de langue anglaise, une ou plusieurs gourmandises typiquement britanniques ou américaines et un marque page qui peut être fait maison (vu mon habileté le mien sera acheté!)
LadyScar est venue faire du racolage sur mon blog (^^) pour que je m'inscrive au Challeng'ô swap, comme son nom l'indique, nous avons un pour lire les livres reçus lors des swaps auxquels on a participé, il ne me reste donc que l'Amour comme par hasard d'Eva Rice que j'avais reçu de Herisson08 lors du swap un air de vacances organisé par Celsmoon cet été, et pour corser un peu le défi j'y ajouterai les livres reçus pour le swap around your world de Celsmoon et Chrestomanci, et du swap Impulse II de Lhisbei que je ne devrais pas tarder à recevoir!
De belles surpises et lectures en perspectives!
J'en profite pour souhaiter de bonnes vacances aux privilégiés de la zone B ;) et de joyeuses Pâques à ceux qui les fêtent!
Quatrième de couverture: "Dans le Mexique du début du siècle, en pleine tempête révolutionnaire,
Tita, éperdument éprise de Pedro, brave les interdits pour vivre une
impossible passion. À cette intrigue empruntée à la littérature
sentimentale, Laura Esquivel mêle des recettes de cuisine. Car Tita
possède d'étranges talents culinaires : ses cailles aux pétales de roses
ont un effet aphrodisiaque, ses gâteaux un pouvoir destructeur. L'amour
de la vie est exalté dans ces pages d'un style joyeux et tendre, dont
le réalisme magique renvoie aux grandes oeuvres de la littérature
latino-américaine. Chocolat amer, adapté en film sous le titre Les
épices de la passion, s'est vendu à plus de quatre millions
d'exemplaires dans le monde."
Tita, la benjamine de la
famille n’a guère le choix de son destin, elle devra veiller sur sa mère
jusqu’à sa mort et ne pourra donc pas épouser celui qu’elle aime… Voici donc
une histoire d’amour impossible digne d’une Juliette ! Tous les
ingrédients y sont, la mère tyran, la sœur préférée et l’amie dévouée… Ajoutez
y une Tita née dans la cuisine et l’histoire en sera quelque peu différente.
En effet, Tita est née et a
grandi dans la cuisine, elle développera dès son plus jeune âge un goût pour la
cuisine, le mélange des épices et des goûts qui mettent l’eau à la bouche tout
au long de l’histoire. Ce dont Tita ne semble pas avoir conscience c’est
qu’elle met une certaine magie dans ses plats qui ont quelque fois des effets
étranges sur ses convives…
Chaque chapitre est bâti
autour d’un plat préparé pour une occasion particulière (mais quel rapport avec
le mois cité en début de chapitre, je n’ai pas eu l’impression que l’histoire
se déroulait précisément ce mois là ?) d’un anniversaire à l’épiphanie en
passant par la cérémonie du mariage de l’aînée.
J’ai bien aimé l’histoire un
peu féérique qui mêle cuisine et « potions » à merveille, les
apparitions des fantômes ne m’ont pas dérangée pourtant ce n’est pas ce que je
préfère, au contraire ça donnait tantôt une touche d’émotion à l’histoire,
tantôt un brin d’angoisse. Par contre l’écriture m’a parfois dérangée, j’ai
trouvé certains passages un peu lourd, notamment ceux où il est question de désir et de passion,
j’en ai même trouvé certains ridicules ! Et puis la fin de l’histoire m’a
déçue un peu, j’ai trouvé ça trop facile, trop évident.
C’est donc une lecture en
demi-teinte comme peut-être le prévoyait le titre, le chocolat, doux qui fond
tout seul et qui nous emmène loin lorsqu’on le savoure les yeux fermés et amer
dans el sens où Laura Esquivel m’a laissé un goût de déception une fois le
livre refermé.
Je le conseille tout de même
rien que pour les recettes, leurs descriptions et la magie qui en ressort. Et je remercie Edelwe qui me l'avait envoyé dans le cadre du swap mille feuille, j'ai donc lu les quatre livres que j'avais reçu ^^
Deux extraits :
« Nous possédons en
nous-mêmes les éléments nécessaires pour produire du phosphore. Ma grand-mère
avait à ce sujet une théorie très intéressante : elle disait que nous
naissons tous avec une boîte d’allumettes en nous mais que nous ne pouvons pas
els allumer seuls : nous avons besoin d’oxygène, comme dans l’expérience
que nous venons de faire, et d’une chandelle. L’oxygène provient, par
exemple, de l’haleine de la personne
aimée ; la chandelle peut être n’importe quoi, un aliment, de la musique,
une caresse, une parole ou un son. C’est le déclencheur. L’allumette s’enflamme,
et l’espace d’un instant, nous sommes éblouis. Il se produit en nous une
agréable chaleur qui disparaît peu à peu, au fil du temps, jusqu’à ce qu’une
nouvelle explosion vienne la raviver. Chacun a ses propres détonateurs qu’il
doit découvrir. La combustion qu’ils entraînent procure de l’énergie à l’âme :
en d’autres termes cette combustion est
la nourriture de l’âme.
« Si l’on ne découvre
pas à temps ses détonateurs, la boîte d’allumettes s’humidifie et nous ne
pourrons plus jamais enflammer la moindre allumette. L’âme alors fuit le corps,
erre dans les ténèbres les plus profondes, cherchant vainement un aliment que
seul ce corps abandonné, désarmé, transi de froid pourrait lui fournir ? » »
La recette du chocolat chaud
que j’essaierai peut-être de faire pour le challenge à lire et à manger :
« La méthode est très
simple : placez sur le feu une tablette de chocolat et de l’eau. La
quantité d’eau doit être légèrement supérieure au contenu de la tasse qu’on
devra remplir. Quand l’eau bout pour la première fois, écartez-là du feu et
cassez la tablette en petits morceaux. Battez au moussoir jusqu’à ce que le
chocolat soit bien incorporé à l’eau. Remettez sur le feu. Quand l’eau bout à
nouveau, retirez de la flamme. Puis remettez-là encore jusqu’au troisième
bouillon ? Retirez alors le tout et battez. Versez la moitié dans la tasse
et battez le reste une dernière fois. Enfin remplissez la tasse en laissant
mousser à la surface. Vous pouvez remplacer l’eau par du lait, mais dans ce cas
ne faites bouillir qu’une fois, puis remettez sur le feu en battant pour que le
chocolat n’épaississe trop. Le chocolat à l’eau plus digeste que le chocolat au
lait. »
J'ai été taguée par herisson08, pour ce tag printemps il suffit de choisir un mot et d'écrire le titre d'un livre et le nom d'un auteur pour chacune des lettres!
Je choisis donc le mot Nuage
Ne le dis à personne, Harlan Coben / Anaïs Nin Une prière pour Owen, John Irving / Brady Udall Anna Karenine, Leon Tolstoï / Jane Austen Germinal, Emile Zola / Anna Gavalda En un combat douteux, John Steinbeck / Laura Esquivel
Je laisse le loisir à ceux qui veulent se frotter à l'exercice de reprendre ce tag!
C'est avec plaisir que je me joins à Liyah et Evertkhorus pour vous faire partager chaque dimanche une photo de mon petit répertoire!
Pour débuter donc, la plage de Guidel plage en Bretagne qui est celle de ma bannière, et surtout parce que j'ai envie d'évasion en ce moment, de bruit des vagues, de grands espaces, d'air marin, de vent dans les cheveux...