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Notes de lecture

22 juin 2011

Olivier Adam, Passer l'hiver

 

Passer_l_hiverQuatrième de couverture :

« C’est l’heure où tout bascule, où les failles se creusent. Les enfants dorment, innocents, et le couple fatigue ; on oublie dans l’alcool et la mélancolie le froid du monde. Prof, chauffeur de taxi, infirmière, ex-taulard, vivent ces moments suspendus. Ces nuits de solitude opaque, et s’imposent l’effort de tenir, invaincus, jusqu’au lendemain : passer l’hiver en somme. »

C’est assez rare mais oui j’ai aimé ce recueil de nouvelles ! Bon oui je crois que le fait que ce soit d’Olivier Adam affecte un peu mon jugement.  Passer l’hiver nous fait part de ces moments dans la vie où l’on prend conscience que la vie nous échappe, qu’elle ne va pas dans la direction à laquelle on aspirait, à laquelle on s’attendait.

Olivier Adam, comme d’habitude, appuie là où ça fait mal et utilise les mots justes pour décrire els douleurs qui habitent les gens comme vous et moi. Pas de héros, pas de héroïnes, juste vous et moi : un couple qui semble ne plus s’aimer, un père qui profite du temps passé avec ses filles qu’il a peur de perdre, la pudeur qui s’installe entre des personnes qui ne savent plus communiquer, la perte d’un enfant, le chagrin qui s’immisce dans le couple, la solitude, le deuil d’un proche, le manque de communication entre parents et enfants, frères et sœurs, la réinsertion dans la société, la famille monoparentale, la difficulté de concilier travail et famille, la pression du travail, la fuite dans l’alcool ou avec les kilomètres, la passion furtive, la maladie … C’est tout ce qu’on retrouve dans les nouvelles d’Olivier Adam.  Ca n’est pas joyeux du tout, mais c’est bien écrit, les mots utilisés sont justes avec ce qu’il faut de pudeur pour ne pas tomber dans le pathos. On a l’impression que l’auteur est passé par chacune de ces situations pour qu’il puisse en parler de cette manière.

Plus je lis cet auteur plus je suis déçue de ‘lavoir manqué au salon du livre…

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19 juin 2011

Un dimanche...dans le Peak District

Le Peak District est un parc national situé au centre de la Grande Bretagne qui s'étend sur plusieurs centaines de kilomètres.

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Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

16 juin 2011

John Fante, La route de Los Angeles

 

La_route_de_Los_AngelesQuatrième de couverture :

"La Route de Los Angeles, premier roman de John Fante, a été écrit en 1933 mais publié après sa mort, en 1986. Il y raconte la bourlingue américaine classique : recherche de petits boulots, vie de bagarres et de vols, personnages gueulards rencontrés sur les quais ; ajoutez une forme d'humour sauvage, cinglant et de plein air. John Fante, avant les beatniks, a raconté l'aventure des laissés-pour-compte, des ivrognes. La Route de Los Angeles, c'est déjà le bréviaire d'une Amérique vulgaire et mal élevée."

Ce premier roman de Johan Fante n’a donc pas été publié après son écriture en 1933 mais seulement dans les années 80 car il était jugé trop osé pour l’époque.  Son récit annonce cependant l’arrivée des beatniks quelques années plus tard.

Il semblerait que John Fante se soit inspiré de sa propre vie, le narrateur Arturo Bandini ne sait donc que lui-même. Bandini mène une vie assez misérable, il passe de petits boulots en petits boulots et vit avec sa mère et sa sœur plus ou moins au crochet de son oncle.

Il semble cultivé, peut-être même un peu trop d’après lui pour sa classe sociale. Il m’a paru très imbu de lui-même, il méprise tout le monde sauf lui. Il est selon moi un peu taré sur les bords et complètement à l’ouest…

L’histoire est assez drôle mais je n’ai pas tellement apprécié le style,  de grands mots pour pas grand-chose, à l’image de son narrateur qui se prend pour un écrivain mais qui griffonne un calepin au fond des toilettes sans jamais se relire !

C'est certes très symbolique de la litt"rature américaine après la crise de 29, des désillusions, de la pauvreté etc mais ce style de roman ce n’est vraiment plus ma tasse de thé !  (je crois que j'en ai marre des galndeurs-magouilleurs) Je m’en vais de ce pas épurer ma LAL. Bin oui quand ça ne passe plus, ça ne passe plus !

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(15/26)                               (17/56)

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(7/7) Je termine donc mon challenge!

14 juin 2011

Thierry Jonquet, Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte

 

Ils_sont_votre__pouvanteQuatrième de couverture :

« Septembre 2005, Anna Doblinsky rejoint son premier poste en colllège à Certigny, dans le 9-3. Zone industrielle, HLM, trafics et bagarres entre bandes rivales, influence grandissante des salafistes, voilà pour le décor. Seul Lakdar Abdane, jeune beur très doué, sort du lot. Pourtant une erreur médicale va bouleverser sa destinée...» 

Tout d’abord je dois dire que j’ai été très étonnée par cette lecture parce que je ne m’attendais pas du tout à ce genre de livre. Personnellement je ne qualifierais pas ce roman de roman noir, certes ce qui est décrit est très noir mais ça ne correspond pas tellement à la vision que je me faisais du roman noir (qui m’est sans doute toute personnelle j’en ai bien conscience !)

Au début du livre, l’auteur nous présente tour à tour les personnages de l’histoire, à commencer par Adrien, un adolescent perturbé aux idées morbides et en décrochage scolaire et Anna, professeur de français fraîchement nommée à Certigny dans le 93 directement après son année de stage à l’iufm.

La ville de Certigny, personnage à part entière de l’histoire nous est ensuite présentée, cette ville est divisée en cinq zones chacune « dirigée » par un chef de gang, du trafic de cannabis à la prostitution en passant par la radicalisation, chacune a son petit business.

Les histoires et appartenance aux gangs vont régenter l’histoire qui nous est raconté par Thierry Jonquet. Un Thierry Jonquet fort documenté en ce qui concerne l’enseignement en zep pour les jeunes professeurs visiblement !

On est happé par l’enchainement des évènements, l’ancrage dans les faits d’actualité ne fait que rendre l’histoire plus vraisemblable ! J’ai parfois été mal à l’aise parce que ce livre fait état du racisme, du désolement dans les cités, de la construction des pensées extrémistes (quelles qu’elles soient). C’est un livre donc parfois dérangeant, une grosse claque dans la figure.

Ce qui transparaît et qui m’a bien évidemment le plus marqué est cet état frustrant que l’on ressent parfois face à l’impuissance du système éducatif tel qu’il est aujourd’hui. L’école qui est démunie face aux jeunes qui ne voient pas qu’étudier peut-être un moyen de s’échapper de la vie qu’ils mènent.

Mon point négatif dans l’histoire, c’est l’histoire d’Adrien, qui, j’ai trouvé, n’apporte pas grand-chose au livre, de la violence gratuite un peu inutile. Je me suis même demandé si ce n’était pas pour contrebalancer un peu avec les autres violences,  pour montrer que le petit bourgeois blanc peut aussi tuer.

En bref, un livre à lire assurément mais surtout pas qu’on a un coup de cafard !

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(14/26)

12 juin 2011

Un dimanche à... Newcastle (la ville aux ponts)

Souvenirs de vacances entre amies, une chose est sûre, à Newcastle fin octobre il fait un froid de canard!

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Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

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11 juin 2011

Le facteur sonne toujours deux fois (bis)

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J'avais gagné un concours chez Val courant Mai, c'est la première fois que je gagne un concours du coup j'étais super contente, et puis Val ne fait jamais les choses à moitié vous voyez! Son colis reprend tous les thèmes de la série de swap qu'elle a lancé "Mettez de la couleur dans votre PAL", le swap rouge déjà passé et le swap bleu à venir très prochainement.

Dans mon colis il y avait donc trois romans en VO (c'est son côté prof d'anglais, avoue-t-elle, mais ça va ça correspond bienà mon côté prof d'anglais aussi!) : The hand that first hold mine de Maggie O'Farrell, Dark places de Tana French, et The slap de Christos Tsiolkas. Cinq marque pages, une jolie carte fleurie, deux stylos (rose et violet) pour être une prof hyper Hype à la rentrée, des oeufs à la coque milka (donc au chocolat, une tuerie moi je dis!) et un petit savon The body shop orange accompagné d'un baume pour les lèvres à la mangue.

Mille mercis  Val pour ce très chouette colis plein de surprises et de petites étoiles ^^

 

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Bon le facteur a sonné un autre jour de la semaine mais je n'étais pas là, ce matin direction la poste pour récupérer mon paquet vert ^^ et badaboum Will a encore frappé!!

Une carte toute mimi accompagné de Miel et Vin de Myriam Chirousse, qui est sur ma LAL depuis sa sortie grand format, j'attendais sa sortie poche avec impatience et Wisconsin de Mary R. Ellis, qui a tout pour me plaire lui aussi!

Merci beaucoup Will !

9 juin 2011

Doris Lessing, Victoria et les Staveney

 

victoria_et_les_staveneyQuatrième de couverture :

« Victoria n'a jamais oublié sa rencontre, à l'âge de neuf ans, avec une riche famille blanche, les Staveney. Ce souvenir entêtant la poussera, des années plus tard, à entamer une liaison avec leur fils, Thomas. De cette histoire naîtra Mary, petite fille à la peau claire et au sourire radieux. En adoration devant l'enfant, les Staveney proposent de l'accueillir chez eux de plus en plus souvent. Victoria, toute à la réalisation de la chance que représenterait une telle éducation pour sa fille, n'imagine pas quelles conséquences aura sa décision. La grande dame des lettres anglaises revient sur ses thèmes de prédilection : le racisme, l'hypocrisie, l'ambition. Un regard sans concession et d'une incroyable modernité sur notre époque. »

J’ai aimé ce court roman de Doris Lessing même si soyons honnête je ne l’ai pas trouvé exceptionnel quant au style d’écriture. Oui je sais j’avais des préjugés sachant que la dame a reçu un Prix Nobel… L’écriture est simple, l’histoire aussi, les personnages presque clichés. Dans ce roman les femmes noires sont toutes mères célibataires, les hommes noirs absents ou junkies en opposition aux blancs (au travers de la famille Staveney) bourgeois vivant dans de grandes maisons et un peu excentriques.

J’ai d’abord été surprise quand je me suis rendue compte que l’histoire se passait à notre époque, je pensais, vu les préjugés qui se dégagent entre blancs et noirs que la narration se situait dans les années 30 voire même avant.  Oui je sais le racisme est toujours d’actualité…

Ici les femmes noires, Jessy, Victoria, veulent réussir mieux que leurs parents mais finalement reproduisent le schéma de leurs prédécesseurs, élever des enfants seules, en joignant difficilement les deux bouts. Les Staveney sont riches mais n’ont pas l’air de travailler pour cet argent, le père est acteur donc il ne sue pas sang et eau pour élever sa famille, il n’est d’ailleurs pas présent dans les trois quart du livre. Les garçons Staveney semblent s’être élevés tout seuls.

Leur lubie pour les gens de couleurs est assez malsaine, et montre en soi une forme de racisme, c’est assez déroutant. L’attitude du père Staveney est vraiment déplaisante !

En bref donc, une histoire sympathique mais qui aurait gagné à être plus approfondie.

J'avais acheté ce livre intriguée par la couverture, je la trouve vraiment jolie!

7 juin 2011

Le premier mardi c'est permis : Isabel Wolff, Un amour vintage

un_amour_vintageQuatrième de couverture:

"Phoebe Swift vient d'ouvrir une boutique de vêtements d'occasion à Blackheath. Pour surmonter sa tristesse due à la mort de sa meilleure amie, elle se réfugie dans son métier: rendre à ces merveilleuses pièces vintage leur splendeur passée et leur offrir un nouvelle vie. Un jour, elle rencontre Thérèse, une vieille dame française qui souhaite lui vendre quelques tailleurs et costumes élégants. Parmi sa garde-robe, Phoebe découvre un manteau d'enfant bleu ciel, datant des années 1940, loin de se douter que celui-ci a un lien profond et intime avec sa propre vie."

 

 

Pour  ce premier rendez-vous de lecture inavouable je suis restée assez soft, en fait j’avouerai tout à fait ce genre de lecture (voire toutes mes lectures à vrai dire, la preuve je les partage toujours ici) mais j’aimais bien le principe. Pour commencer donc j’ai choisi un titre d’Isabel Wolff, parce que pour moi Isabel Wolff c’était l’auteur des Tribulations de Tiffany Trott que j’ai lu il y a presque deux ans, livre de chick-litt assez moyenne.

Un amour vintage traînait dans ma PAL depuis l’été dernier et avec son titre, sa couverture et la quatrième de couverture je m’attendais à retrouver la formule magique spéciale midinette, une célibataire éplorée, des amies, des mâles etc. Et en fait non, quelle ne fut donc pas ma surprise ! Tellement surprise que j’ai avalé ces 500 pages en un weekend et que je n’avais pas envie que ça se termine. Alors oui certes, on a Phoebe, célibataire trentenaire qui vient de perdre sa meilleure amie et se réfugie dans le travail pour faire son deuil, on a également deux beaux mâles qui la courtise, une mère obnubilée par la peur de vieillir parce que son mari l’a quitté pour une plus jeune à qui il a fait un gosse, oui mais… Mais il y a aussi la passion pour les vêtements vintage d’une part :

« En achetant un vêtement vintage, on n’achète pas seulement du tissu et du fil - on achète un morceau du passé d’un être. »

Les descriptions des vêtements dans la boutique de Phoebe font rêver et donnent sacrément envie de se mettre au vintage, ou tout au moins d’aller chiner.

Et puis il y a Madame Bell, cette vieille dame chez qui Phoebe est allée faire une estimation de vêtements vintage. Le récit de Madame Bell va s’enchâsser dans celui de Phoebe. L’amitié qui naît entre les deux femmes est très touchante, et l’histoire de Mme Bell encore plus…le_mardi_c_est_permis

J’ai beaucoup aimé le personnage de Phoebe et de son employée Annie. Les personnages secondaires sont également attachants : Kathie, la lycéenne qui fait des petits boulots pour s’offrir une prom dress de la boutique et Dan le passionnée de cinéma. Quant à Mile, s’il est charmant au début, sa relation avec sa peste de fille me l’a rendu au final antipathique.

En bref vous l’aurez compris j’ai eu un coup de cœur pour ce livre, Isabel Wolff est toute pardonnée de m’avoir infligée Tiffany Trott il y a deux ans ^^

Allons découvrir ce que Stéphie et les autres blogueurs/euses ont lu!

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5 juin 2011

Un dimanche ...dans les Ardennes

J'ai habité un an dans les Ardennes, autant vous dire que j'en ai soupé de la meuse, de ce vert agressif luxuriant, de ses forêts et autres sangliers...

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Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

4 juin 2011

Olivier Adam, A l'ouest

a_l_ouestQuatrième de couverture:

"Antoine a presque dix-neuf ans. Fragile, rêveur, indocile, il sèche le lycée, erre dans le centre commercial de son quartier, et ne fait rien de sa vie. Il cherche l'amour - et les coups.
Camille veille sur son grand frère autant qu'elle le peut, et calme ses angoisses en se réfugiant dans la prière.
Quand à Marie, leur mère, elle fait ce qu'elle peut. Mais c'est elle, qui, un beau matin, déclenche l'explosion et les conduit à l'ouest. Pas le point cardinal, non, mais cet état second où rien n'a plus vraiment d'importance ..."

 

Le récit alterne entre le passé et le présent de chacun des personnages, ce qui par petites touches nous explique leur personnalité ou plutôt le comment ils en sont arrivés là. Le fils, la mère et la fille, pas de père à l'horizon, semblent tous les trois un peu perdus, chacun à leur manière mais surtout très seuls. Antoine, rejeté par celle qu'il aime, Camille, transparente pour ses camarades de lycée etMarie qui avance à vue dans sa vie.

Ce roman, très court, est encore une fois très sombre. Il nous parle de la vie de tous les jours, comme dans les précédents titres que j'ai lu, et de gens normaux qui n'arrivent pas à avancer, qui ne savent pas à quoi se raccrocher. Il n'y a pas véritablement de fin à ce récit. Que deviennent les personnages? Comment peut-on un beau jour décider de partir en abandonnant tout derrière soi, sa vie mais surtout ses propres enfants? Comment peut-on les livrer à eux-mêmes comme ça, sans un mot? Je me suis surtout demandé ce qu'allait devenir la pauvre Camille ...

J'ai aimé retrouver la plume d'Olivier Adam mais j'aurais préféré que ce livre soit "clôturé", là il m'a manqué un petit quelque chose. Pas forcément un happy end mais quelque chose de plus concret.

Bon ça va j'ai encore de quoi faire il me reste trois titres dans ma PAL et encore plus dans ma wish list donc bon...

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