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Notes de lecture

22 janvier 2012

Un dimanche à ... Londres: Picadilly Circus

Une fois n'est pas coutume, voici donc une photo de Picadilly Circus 4 ans après ...

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Les dimanches en photos sont aussi chez : 

 Liyah, Choco, Choupynette, Fleur, Liliba, SeriaLecteur, Margotte, Estellecalim.

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20 janvier 2012

Claire Keegan, Foster

fosterPrésentation de l'éditeur:

"It is a hot summer in rural Ireland. A girl is taken by her father to live with the Kinsellas on a farm in Wexford. That same evening he drives off leaving her there with only the clothes she is wearing. Over the months, she discovers through the Kinsellas the town of Gorey, the shore where the Irish Sea crashes in, a deep well of spring water. There’s a wake and card games played late into the night, a woman whose dog barks hotly through the bars of a gate. And in this house where affection grows and there are meant to be no secrets, she discovers one."

 

Ce très court roman nous emmène dans une Irlande un peu hors du temps, difficile à déterminer l'époque de la narration, les années 60 il semblerait mais cela pourrait être plus récent ou plus ancien. J'ai eu, lors de ma lecture, l'impression d'une parenthèse temporelle où les choses sont figés, et avancent avec la lenteur des journées paisibles. Pourtant quand l'on regarde de plus près l'histoire c'est assez horrible en un sens. Des parents, une famille modeste, qui semblent débordés par une tripotée d'enfants, confient leur fille à une famille plus aisée sans enfant, qu'ils ne semblent au final pas vraiment connaître. Du moins, l'enfant ne les connaît pas et elle va devoir s'adapter à cette nouvelle famille.

Et elle s'adapte bien, on s'occupe d'elle et lui apprend à se débrouiller. Elle découvre l'affection des adultes, choses qu'elle n'a visiblement pas chez elle parce que ses parents semblent déjà bien occupés. L'écriture de Claire Keegan est simple et assez pudique, elle ne nous fait pas part des sentiments des différents personnages, de leur ressenti face à la situation. Elle nous décrit simplement cet été là. L'on découvre le secret des Kinsellas, mais l'on n'en sait pas beaucoup plus. Ceux-ci ne s'y attardent pas, ne donnent pas d'explications et l'histoire avance. Bien trop vite au final. La fin est ouverte, et permet au lecteur finalement de se faire sa propre histoire, et moi j'aurais aimé qu'elle continue, que l'on grandisse un peu avec la narratrice.

Belle découverte, cela donne envie de découvrir d'autres romans de l'auteur.

Merci encore Valérie pour cette lecture en VO, je me rends compte au final que cela m'avait manqué ;)

18 janvier 2012

Jean-philippe Blondel, Et rester vivant

et_rester_vivantQuatrième de couverture:

"Depuis, quand on me croise, on compatit. On me touche le coude, on m'effleure le bras, on refoule des larmes, on me dit que c'est bien, que je suis courageux, que ça va aller, hein ? Je ne réponds pas. Je laisse glisser. Je continue d'enchaïner les longueurs dans ma piscine intérieure et je fais attention à ce que le chlore ne rougisse pas mes yeux."

Avoir vingt - deux ans et plus aucune attache. Rouler sur les routes californiennes. Vivre des rêves éveillés et des cauchemars diurnes. Comprendre que l'important, désormais, c'est de continuer coûte que coûte. Et de rester vivant."


Deux semaines. C'est le temps qu'il m'aura fallut pour "digérer" ma lecture et écrire un billet médiocre. Je ne suis pas fière de moi! J'ai pourtant beaucoup, beaucoup aimé ce livre mais je ne trouve pas les mots pour le raconter ou parler de ce que j'en ai pensé. Et pourtant j'ai bien envie de vous en parler, donc j'en dirai simplement quelques lignes et vous noterez quelques extraits que j'ai retenu.

Jean-Philippe Blondel a je crois ce pouvoir de toucher avec les mots, des mots qui pour autant ne tombent pas dans la sensiblerie ou la pleurnicherie, pourtant le sujet n'était pas facile à trairer, d'autant plus qui lui est très personnel. Il a, en tentant de se rendre à Morro Bay accompli le voyage initiatique que chacun rencontre d'une manière ou d'une autre dans sa vie, peu importe la forme qu'il prend.

Certes ce livre parle du deuil, de la douleur de perdre ses proches mais il met surtout en avant l'amitié, et la vie qui continue. On aurait pu s'attendre à quelque chose d'assez sombre et pourtant l'un des adjectifs qui me vient à l'esprit et lumineux!

Voilà, je n'en dis pas plus, il faut le lire en fait ...

 

" J'ai fermé les yeux et, pendant quelques secondes j'ai eu vingt-deux ans, des cheveux dans le coup, deux dizaines de kilos en moins, une boucle d'oreille dans le lobe gauche. J'étais assis au bord de la route qui surplombe Morro Bay, Californie. L'avenir était une notion floue. Ce qui comptait c'était l'ici et le maintenant. L'été. L'été 1986 " (l'été 86 pour moi était le tout premier de ma vie...)

" Je ne suis pas soumis aux regards de ceux qui m'ont vu grandir. Je peux devenir ce que je veux. Je peux aussi mourir demain. Je tamise entre mes doigts le sable très fin de Cabo San Lucas. Il est d'une extrême fluidité. Impossible même en creusant, de trouver du sable mouiller pour le transformer en château. Or moi j'ai besoin de construire."

"J'aimerais avoir vingt ans de plus. Jaimerais que tout ça soit derrière moi. J'aimerais avoir trouvé ma voie, avoir atteint une sorte de sérénité illusoire- que ma vie soit à peine troublé par l'impact des rames de la barque que je conduis. Etre débordé quand je me réveille - avoir tellemet d'obligations et de contraintes que je n'ai le temps de penser à rien, que je n'ai pas le loisir de me voir vieillir."

 

Encore merci à toi Saraswati pour ce cadeau!            

1__litt_raire (4/7)

 

15 janvier 2012

Rohinton Mistry, l'équilibre du monde

l__quilibre_du_mondeQuatrième de couverture:

"Voici le grand roman de l'Inde contemporaine, réaliste, foisonnant, inspiré traversé par le souffle d'un Hugo ou d'un Dickens. L'histoire se déroule au cours des années 1970 et 1980.Dans le même quartier vivent des personnages venus d'horizons très divers : Ishvar et Omprakash, les deux tailleurs des «intouchables» ; Dina, la jeune veuve, qui, pour survivre, se lance dans la confection à domicile ; Maneck, descendu de ses lointaines montagnes pour poursuivre ses études ; Shankar, le cul-de-jatte, exploité par le maître des mendiants. Bien d'autres encore? À travers les heurs et malheurs de leurs existences, Rohinton Mistry, romancier anglophone né à Bombay, brosse une fresque qui est à la fois l'odyssée d'une nation et une parabole de la condition humaine. Un roman-fleuve qui nous emporte irrésistiblement."

 

Je suis tout à fait d'accord avec la quatrième, Rohinton Mistry signe avec ce pavé de près de 900 pages un grand roman. Hugo et Dickens (s'ils étaient vivants) n'auraient pas à pâlir avec la comparaison de Mr Mistry. Moi j'ajouterai une comparaison supplémentaire, sans faire référence au côté philosophie des livres de Voltaire, les personnages m'ont un peu rappelé un Zadig qui essaie d'avancer malgré toutes les péripéties qui se mettent en travers de sa route!

Et des péripéties, toutes plus fâcheuses les unes que les autres les personnages vont en rencontrer!!! De nombreux personnages viendront alimanter le récit, mais l'on suit principalement Ishvar et Omprakash, un oncle et son neveu, tous les deux tailleurs bien que faisant partie de la caste des chamaars (ceux qui travaillent le cuir). Ils sont arrivés là pour gagner un peu d'argent afin de retourner vivre dans leur village avec un petit pécule ... Bien avant Omprakash, un homme a brisé les règles des castes pour envoyer ses fils en apprentissage chez un ami tailleur, et musulman. Bien assez de "fautes" pour éveiller la colère des castes dirigeantes! Cet homme c'est le grand-père d'Omprakash.

A la ville, on suit l'enfance et Dina, son entrée fastidieuse dans le monde adulte, la perte de son jeune époux. Dina est à la fois un personnage charmant et agaçant. Elle incarne ici les idées d'une caste supérieure, ses préjugés, son fonctionnement, sa supériorité. Et pourtant c'est le personnage qui va le plus évolué au fil de l'histoire, au contact humain des deux tailleurs mais également à celui du jeune Maneck, son hôte payant.

Maneck, jeune étudiant arrivé d'un petit village de montagne dans la grande ville perdra bien vite ses illusions de jeune naïf. Il apprendra toute l'injustice de son pays, la corruption des classes dirigeantes et du gouvernement indien de l'Etat d'urgence. Il est le ciment entre d'un côté les tailleurs, de l'autre Dina.

Chacun des personnages fera au cours du roman des rencontres plus ou moins heureuses. Les rencontres des uns se recouperont d'ailleurs parfois avec les rencontres des autres.

Rohinton Mistry nous montre toute l'absurdité du gouvernement d'Etat d'urgence en Inde, la confusion et l'injustice d'une population toujours plus nombreuse, d'un système de caste qui nourrit le ressentiment de chaque communauté, et qui maintient une partie de la population dans un état de soumission permanente. Il met à jour la corruption lors des élections, la corruption de la police, des propriétaires mais également la pauvreté des gens et la manière dont certains profitent de cela : les opportunistes mafieux comme le propriétaire du bidonville qui sera détruit par le gouvernement qui aura lui-même recruté ce "propriétaire" pour raser ces toits de taule insalubres, les agents du planning famillial qui promet un repas et un peu d'argent aux hommes et aux femmes qui acceptent la stérilisation, le maître des mendiants même qui certes protègent ses recrues, mais qui au final les exploite tout autant. L'on trouve chaque fois quelqu'un susceptible d'exploiter la misère de celui qui est un peu plus miséreux!

Il ne faisait pas bon vivre en Inde en ces années 1970-1980, une Inde où vous pouviez être raflé sur le trottoir pour une journée afin de gonfler les rangs d'un meeting du premier ministre, ou un mois pour effectuer les travaux du plan d'embellissant de manière tout à fait gratuite... où vous pouviez être soumis à une vasectomie sans demander votre reste simplement pour remplir des quotas, où l'on pouvait vous expulser de chez vous du jour au lendemain sans préavis ...

C'est un roman optimiste de part les quatres personnages forts et leurs valeurs, mais très dur en ce qui concerne les relations de pouvoir et le manque d'humanité de certains des personnages, prêt à tout pour un peu d'argent.

J'ai mis un certain temps à le sortir de ma PAL, c'est d'ailleurs grâce au challenge un mot des titres de Calypso que je l'ai lu et je ne regrette pas, je vous le recommande d'ailleurs chaudement (fin pas si vous êtes un peu déprimé!) Pour cette session le mot était monde.

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  (2/27)

12 janvier 2012

Quoi de neuf dans ma bibliothèque?

Et voilà une nouvelle rubrique pour recenser les livres que j'achèterai/ recevrai, qu'on me prêtera. Je ne fixe pas de rendez-vous ce sera au fil des petits nouveaux dans ma bibliothèque. Et pour inaugurer cette première rubrique, je rends hommage à mon bienfaiteur, j'ai nommé Mr Will !

Cette semaine j'ai donc reçu Dessous c'est l'enfer de Claire Castillon, accompagné d'un marque page avec la skyline de New York et d'une carte de voeux. L'année commence bien. D'ailleurs nous avons décidé de donner un thème à nos échanges. Rendez-vous en mars pour une plongée dans la Grande-Bretagne du 19/20e

dessous_c_est_l_enfer"Les hommes sont des ânes comme les autres. Et les femmes de cette famille, de bonnes ânesses dévouées et soumises. C'est la malédiction à laquelle la narratrice veut échapper. A moins que son âne à elle l'inspire. Alors elle l'assassinera au fil des pages. Mais ensuite? Après son enfance solitaire, silencieuse, ressassée, comment aimer? En choisissant un autre homme pour la proéminence virile de sa pomme d'Adam? Absurde. Mais elle part avec cet homme-là, c'est décidé. Mais s'il est question d'amour, cette fois, comment le vivre sans l'écrire? Comment fermer ce troisième oeil qui s'obstine à voir ce que le coeur ignore? Scruter, décortiquer, noter, c'est sa malédiction à elle. Elle est écrivain."

 

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10 janvier 2012

Andreï Kourkov, Surprises de Noël

surprises_de_NoelQuatrième de couverture:

"Y a-t-il plus chouette cadeau de Noël qu'une nuit dans une isba au milieu des bois enneigés, ou bien un tour en ville sur un tank immaculé ? Cela semble parfait, féérique, tout à fait charmant. Mais dans l'Ukraine un peu folle d'Andreï Kourkov, les choses peuvent vite dégénérer, votre promise se retrouver nue sur scène, votre tour opérateur s'avérer un adepte du tourisme extrême et la Révolution orange contrecarrer vos projets pour les fêtes... Avec ces nouvelles inédites, Kourkov se joue du genre avec brio pour offrir trois fables de Noël empreintes de bizarrerie et d'optimisme."

 

Voici un recueil de trois nouvelles qui semblent toutes trois se passer en Ukraine où vit l'auteur. La première nouvelle, Surprise de Noël, est queque peu inattendue et un peu glauque d'une certaine manière mais c'est celle que j'ai préférée. J'ai beaucoup apprécié le personnage masculin mais aussi les personnes qui viennent ponctuer la soirée de Noël, leur simplicité et leur capacité à être joyeux alors qu'ils n'ont rien ou pas grand chose. La chute de la nouvelle permet de nous rappeler le dénuement dans lequel vivent certaines populations dont le traumastisme d'une catastrophe (nucléaire en loccurence) a marqué pronfondément la vie et qui au final finissent oubliés de tous.

 

La seconde nouvelle, Ma différence préférée m'a moins plue. Elle suit un peu le schéma d'un conte de fée moderne à la je t'aime moi non plus et est donc sans réelle surprise.

 

La troisième et dernière nouvelle, Les champignons de la liberté, montre l'absurdité du raisonnement que peuvent avoir les régimes totalitaires ou gouvernements censeurs de l'opposition. Je l'ai trouvé assez drôle en ce sens car elle amène au final une critique du gouvernement en place en Ukraine l'air de rien.

 

Deux sur trois ce n'est donc pas si mal pour un recueil, je n'ai par contre pas tellement compris le lien avec Noël si ce n'est pour la première nouvelle. En tout cas ce format était parfait pour accompagner mon voyage puisqu'à peine après une demi-heure de lecture je sombrais dans un coma profond :p (je précise aux mauvaises langues que ce n'était pas un coma ethylique!)

 

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8 janvier 2012

Un dimanche à ... Londres : Buckingham Palace

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Je suis partie quelques jours à Londres pendant les vacances de Noël donc je reprends les rendez-vous hebdomadaires du dimanche en photo pour vous montrer quelques photos de mon séjour ;)

 

Les dimanches en photos sont aussi chez : 

 Liyah, Choco, Choupynette, Fleur, Liliba, SeriaLecteur, Margotte, Estellecalim.

4 janvier 2012

Swap nouvel an, en route pour 2012

J'ai pour la troisième année participé au swap nouvel an organisé par Hérisson08 et pour la troisième année j'ai encore été bien gâtée et cette fois c'est par Sarawasti! (J'ai d'ailleurs déjà terminé un des livres reçus!)

Mon colis m'attendait sagement chez mes parents pendant mon voyages à Londres et le déballage s'est fait à mon retour ce vendredi soir, sous les yeux impatients de mes deux nièces!

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Avant le déballage, de jolies couleurs de Noël et une pluie d'étoiles dorées!

 

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Les livres : Et Rester vivant de Jean-Philippe Blondel (que j'ai adoré!!! billet à venir...), Un pied au paradis de Ron Rash (ce sera une découverte pour moi) Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine de Vigan en livre audio!

Pour le calendrier ou l'agenda et bien ce n'est ni l'un, ni l'autre, mais les deux à la fois!! Un calendrier agenda aux paysages paradisiaques du monde entier, plages, deserts et montagnes... de quoi voyager et rêver toute lannée

Les gourmandises: des chocolats Lindor (très bons), du thé de Noel de Damman Frères (pas encore goûté) et des sardines au chocolat made in Normandy!

Pour l'idée de bonnes résolutions j'aide quoi faire puisque j'ai eu droit à un cahier tout entier histoire de bien les organiser, j'aime beaucoup les illustrations

Mais aussi quelques  surprises: un mug de Granville où vit Sarawasti un "serre-tête" des bois de Rennes qui ont eu un succès fou auprès de mes nièces! Sans oublier la jolie carte de voeux!

Un grand merci donc à Sarawasti qui a su cerner mes goûts à la perfection et à Hérisson qui jongle entre tous les swap et challenges, bravo à toi!

 

2 janvier 2012

Michel Houellebecq, Les particules élémentaires

les_particules__l_metairesQuatrième de couverture :

"Michel, chercheur en biologie rigoureusement déterministe, incapable d'aimer, gère le déclin de sa sexualité en se consacrant au travail, à son Monoprix et aux tranquillisants. Une année sabbatique donne à ses découvertes un tour qui bouleversera la face du monde.

Bruno, de son côté, s'acharne en une quête désespérée du plaisir sexuel. Un séjour au « Lieu du Changement », camping post-soixante-huitard tendance New Age, changera-t-il sa vie ? Un soir, une inconnue à la bouche hardie lui fait entrevoir la possibilité pratique du bonheur.

Par leur parcours familial et sentimental chaotique, les deux demi-frères illustrent de manière exemplaire la société d'aujourd'hui et la quête complexe de l'amour vrai."

Je n’ai pas tellement accroché à cette lecture. J’ai souvent eu l’impression qu’il s’agissait d’un traité sur la masturbation tellement il en était question, la sexualité d’un des personnages tient une place prépondérante dans ce livre que c’en devient gênant, voire complètement rébarbatif pour la lecture !

Je me suis longtemps demandé s’il s’agissait d’un récit autobiographique sachant qu’un des personnages se prénomme Michel et qu’il grandit à Crécy-en-Brie maintenant Crécy-la-Chapelle et il me semble que c’est aussi le cas pour Michel Houellebecq.

La première partie sur l’enfance des deux personnages m’a plus intéressée mais cela ne suffit pas à en faire un livre appréciable, je ne le recommanderai donc pas et je ne suis pas non plus prête à lire autre chose de l’auteur de sitôt !

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(26/56)

J'ai lu ce dernier livre de ma PAL avant les vacances de Noël, je remets maintenant les compteurs à zéro, aïe aïe aïe!!

1 janvier 2012

ma PAL au 1er Janvier 2012

Ma Pal cette année atteint les 82 livres, je ne me lancerai pas le défi fou d'en lire la moitié, mais de faire mieux qu'en 2011 donc je me fixe cette annér 27 livres à lire!

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Abiker David, Zizi The Kid

 

Balzac, Eugénie Grandet

 

Balzac, Le Lys dans la vallée

 

Barron Stéphanie, Jane Austen et le révérend

 

Baudelaire, Petits poèmes en prose (le Spleen de Paris)

 

Besson Philippe,  Se résoudre aux Adieux

 

Florence Braunstein et Jean-François Pépin, La culture générale pour les nuls

Chalendon Sorj, Mon traître

Chirousse Myriam, Miel et vin

 

Christensen Lars Saabye, Beatles

 

Cohen Albert, Le livre de ma mère

 

Cohen Albert, Belle du Seigneur

 

Condé Maryse, les belles ténébreuses

 

Constantine Barbara, Tom, petit Tom, tout petit homme Tom

 

Cusset Catherine, Un brillant avenir

 

Cutler Bounty, 211 idées pour devenir une fille brillante

 

Despentes Virginie, Apocalypse Bébé

 

Diderot, Jacques le fataliste et son maître

 

Dos Passos, 42e parallèle

 

Dostoïevski, les Frères Karamazov

 

Dumas Alexandre, Borgia

 

Dumas Alexandre, le Vicomte de Bragelonne

 

Eliot George, Middlemarch

 

Ellis Mary R, Wisconsin

 

Eugenides Jeffrey, Virgin suicide

 

Fabre Dominique, J’aimerais revoir Callaghan

 

Ferney Alice, Les autres

 

Gale Patrick, Chronique d’un été

 

Gaultier Théophile, Le capitaine Fracasse

 

Gayle Mike, diner pour deux

 

Goethe, les souffrances du jeune Werther

 

J.C Grangé, La ligne noire

 

J.C Grangé, Le vol des cigognes

 

John Gray, Une nouvelle vie pour Mars et Vénus

 

Grémillon Hélène, le confident

 

Grimwood Ken, Replay

 

J. Guillon, cet enfant qui se drogue c’est le mien

 

Irving John, Une prière pour Owen

 

Khadra Yasmina, Ce que le jour doit à la nuit

 

Khadra Yasmina, L’Olympe des Infortunes

 

Kourkov Andreï, Surprises de Noël

 

Kureishi Hanif, Quelque chose à te dire

 

Madame de la Fayette, La Princesse de Clèves

 

Martinez Carole, le cœur cousu

 

McCarthy Cormac, La route

 

McInernay Jay, Moi tout craché

 

Maupassant, Bel-ami

 

Daphné du Maurier , Les oiseaux

 

Daphné du Maurier, Chateau d’Or

 

Daphné du Maurier, Le mont brulé

 

Mérimée, Colomba et autres nouvelles

 

Rash Ron, Un pied au paradis

 

Robert Merle, Le propre de l’homme

 

Rushdie Salman, Furie

 

De Rosnay Tatiana, Rose

 

Mistry Rohinton, L’équilibre du monde

 

Anaïs Nin, Venus Erotica

 

Sade, Justine

 

Sardou Romain, America la treizième colonie (tome 1)

 

Madame de Sévigné, Lettres

 

John Steinbeck, En un combat douteux

 

John Steinbeck, Lune noire

 

Taylor Andrew, Le diable danse à Bleeding Heart Square

 

Verne Jules, Voyage au centre de la terre

 

De Vigan Delphine, Rien ne s’oppose à la nuit

 

Waters Sarah, Ronde de nuit

 

Waters Sarah, Du bout des doigts

 

Waters Sarah, Caresser le velours

 

Welsh Irvine, Glu

 

Wolfe Tom, le bucher des vanités

 

Emile Zola, La conquete de Plassans

 

Emile Zola, la bete humaine

 

Emile Zola L’assomoir

 

Emile Zola Une page d’amour

 

Emile Zola Pot-bouille

 

Emile Zola, L’œuvre

 

Emile Zola, le reve


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