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Notes de lecture

18 juillet 2012

Et de trois !

Trois ans déjà que j'ai commencé ce blog ... A l'époque je n'avais pas conscience de tout ce petit monde qui se tramait sur la blogosphère, tous ces lecteurs passionés qui font partager leurs lectures, leurs joies et leurs peines. Je ne regrette absolument pas ma démarche et au contraire je suis contente du chemin parcouru depuis! L'année qui vient de s'écouler est passée à une vitesse fulgurante et a été encore riche en émotion mais celle qui arrive s'annonce encore plus remplie, j'espère que j'aurai toujours le temps de lire et de partager mes impressions.

 

Je voudrai vous dire merci à tous, de partager vos impressions, de laisser un petit mot ou pas mais d'être là, que de découvertes grâce à vous !

 

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Vous prendrez bien un petit cupcake pour fêter ça non?

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15 juillet 2012

Un dimanche à ... Barcelone (Jour 5: lebord de mer)

Ainsi s'achève cette série barcelonaise, j'espère que vous avez apprécié ces quelques clichés et qu'ils vous ont donné envie de découvrir la richette de cette ville espagnole. Le dimanche en photo reviendra peut-être à la rentée si je prends de jolies clichés pendant ces vacances familiales.

 

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Les dimanches en photos sont aussi chez : 

 Liyah, Choco, Choupynette, Fleur, Liliba, SeriaLecteur, Margotte, Estellecalim.

13 juillet 2012

Armistead Maupin, Mary Ann en automne

Mary_Ann_en_automneQuatrième de couverture:

"Mary Ann flâne sur Russian. Elle est revenue à San Francisco,
ville de sa jeunesse, après vingt ans d'absence. Sa vie est en
miettes: trompée par son mari, atteinte d'un cancer, elle vient
chercher du réconfort auprès de son vieil ami, Michael
Tolliver. De confidences en escapades, Mary Ann savoure les
plaisirs d'une liberté retrouvée. Un retour aux sources pour un
nouveau départ ?"

J'ai apprécié retrouver les personnages des histoires rocambolesques d'Armistead Maupin. Des personnages qui ont bien sûr vieilli et sont donc plus posés et un peu moins funky qu'avant, et ça tombe bien car moi aussi! C'est bien je trouve de la part de l'auteur de faire avancer ses personnages avec leur époque et du coup avec les lecteurs aussi. Ils sont tout de même restés ouverts d'esprit, Mary Ann se met même à Facebook c'est dire!

Les histoires personnelles de chacun sont toutes imbriquées les unes dans les autres sans que personne ne s'en aperçoive jusqu'au dénouement final. Armistead Maupin maîtrise ce procédé qui est récurrent dans Les chroniques. Comme le titre l'indique, ce tome est centré sur Mary Ann qui est rendue plus sympathique "grâce" à sa maladie par rapport au tome précédent où c'était devenue une pimbeche embourgeoisée, d'ailleurs certains personnages lui tiennent toujours rancoeur.

J'ai deux regrets concernant ce dernier opus: que Madame Madrigal ne soit pas plus présente et qu'il soit si court! On en reprendrait facilement pour quelques centaines de pages supplémentaires. Armistead Maupin a beaucoup d'humour et de dérision, il porte un oeil aiguisé sur les habitants de San Francisco,  qu'il s'agisse de la communuaté homosexuelle ou non et il apporte une vision peu conventionnelle du couple qui amène à s'interroger car elle est de plus en plus répandue, dans l'une ou l'autre communauté d'ailleurs. Me voilà donc réconciliée avec l'auteur qui m'avait un peu déçue dans Michael Tolliver est vivant.

Parfait pour glisser dans votre sac de plage ;)

 

11 juillet 2012

Cormac McCarthy, La route

la_routeQuatrième de couverture:

"L’apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres. On ne sait rien des causes de ce cataclysme. Un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d’objets hétéroclites et de vieilles couvertures. Ils sont sur leurs gardes car le danger peut surgir à tout moment. Ils affrontent la pluie, la neige, le froid. Et ce qui reste d’une humanité retournée à la barbarie. Cormac McCarthy raconte leur odyssée dans ce récit dépouillé à l’extrême.


Prix Pulitzer 2007, La Route s’est vendu à plus de deux millions d’exemplaires aux États-Unis."

Ce livre est vraiment très noir. Il laisse voir un paysage d'apocalypse. Un homme et son fils dont on ne connaît pas le nom semblent les seuls survivants dans ce paysage de cendre et de mort. On comprend vite que parmi les quelques rescapés de cet incendie dévastateur (mais est-ce bien un incendie? qu'est il arrivé? au fond on ne le sait pas vraiment), c'est la loi du plus fort qui sévit: du simple pillage sur les cadavres au cannibalisme...

McCarthy nous montre deux personnages forts, qui veulent à tout prix s'en sortir, mais se sortir de quoi? Le lien entre le père et le fils est très fort, ils sont tout l'un pour l'autre. On ne sait pas depuis combien de temps ils errent comme ça mais le fils ne semble pas avoir de souvenirs d'un autre monde.

Les interrogations de l'enfant et sa naïveté m'ont forcément rappelé une autre petit garçon, le narrateur de Room d'Emma Donoghue, chacun prisonnier d'un monde différent de celui dans lequel nous évoluons, chacun ayant une grande force de caractère et de volonté.

Ce livre est très prenant, mais aussi très angoissant, il fait ressortir ce qu'il y a de meilleur ou de pire chez l'être humain qui veut survivre. Tellement angoissant qu'on attend un boulversement positif pour nous soulager... J'ai apprécié cette lecture, mais je me suis sentie comme soulagée quand j'ai tourné la dernière page!!

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(21/27)

9 juillet 2012

Vacances

C'est parti pour 5 semaines de vacances à la campagne chez mes parents et en Haute-Savoie chez ma soeur. Je vais essayer de tenir mes lectures à jour par contre ne vous inquiétez pas si je ne réponds pas aux commentaires ou ne passe pas sur vos blogs pendant cette période. Le dimanche en photo s'arrêtera ce dimanche pour la période estivale sur mes derniers clichés de Barcelone.

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Bien évidemment j'emmène de la lecture avec moi, et je rejoins les Frères Karamazov déjà chez mes parents :)

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A venir les billets sur Mary Ann en automne, La route et Six façons de le dire.

 

Bonnes vacances, ou bon courage à ceux qui travaillent!

 

J'en profite aussi pour souhaiter un joyeux anniversaire à Jeneen !

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8 juillet 2012

Un dimanche à ... Barcelone (Jour 5: le marché couvert de la Boqueria sur la Rambla)

Dernier jour complet avant le départ qui nous a mené du marché couvert de la boquéria très typique et du coup très touristique et peuplé, à la plage, mais pour aujourd'hui promenons nous entre les différents marchands.

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Les dimanches en photos sont aussi chez : 

 Liyah, Choco, Choupynette, Fleur, Liliba, SeriaLecteur, Margotte, Estellecalim.

6 juillet 2012

Daphné du Maurier & A. Quiller-Couch, Château Dor

ch_teau_d_orRésumé:

"Château d'Or est l'histoire de l'éternel retour de l'amour, qui, à travers les existences successives, renaît de ses cendres. La belle légende médiévale de Tristan et Iseult revit dans la Cornouaille du XIXème siècle ..."

J'ai d'abord eu beaucoup de mal à entrer dans ce roman, la fatigue le soir n'aidant pas à comprendre ce début d'histoire un peu confus sur la légende de Tristan et Yseult. Là je me suis dit qu'on sentait que ce roman avait été écrit à quatre mains et que je ne retrouvais pas le style propre à Daphné du Maurier, j'avais un peu peur pour la suite, mais au final mes craintes se sont effacées au fil de la lecture.

Le point vraiment positif c'est que j'ai maintenant envie de découvrir l'histoire originale de ces deux amants les plus célèbres de l'histoire romantique, alors que jusque là ça ne m'attirait pas du tout!

Finalement, l'intrigue est rondement menée et on s'attache assez facilement aux personnages, principalement le jeune marin breton Amyot et les deux enfants. Par contre, je n'ai pas ressenti de sympathie pour l'héroïne, Linnet, qui m'a beaucoup agacée.

On retrouve bien entendu les paysages de lande brumeuse chers à Daphné du Maurier, qui une fois de plus m'a donné envie d'aller me balader en Cornouailles. A lire assurément, pour les amateurs de l'auteur britannique!

 

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(20/27)

3 juillet 2012

Deux challenges en perspective

J'avais dit que je ne m'inscrirai à aucun challenge cet été hormis ceux en cours, le Challenge Irving de Valérie, et le 1% de la rentére littéraire de Hérisson, mais puisque le dernier est terminé je peux bien craquer non? surtout qu'ils sont raisonables puisque je prévois déjà mes lectures pour chacun des deux.

Le premier, toujours chez Valérie (décidément!) c'est le challenge le riz et la mousson qui n'a pas de dates limites et pour lequel il s'agit de lire un auteur d'origine indienne. Pour moi ce sera donc Rohinton Mistry avec Une simple affaire de famille.

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Le second challenge: le pavé de l'été est chapauté par Brize, dont je découvre le blog par la même occasion et n'aura cours que cet été (enfin jusqu'au 15 octobre) et comùme l'indique son titre, il s'agit de lire un pavé (+ de 600 pages) au cours de l'été, et ça tombe bien puisque j'emmène dans ma valise deux pavés: John Lennon, une vie de Philipp Norman et les frères Karamazov de Dostoïevski (en deux tomes).

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Et comme dans ma folie challengesque je vais à l'économie je peux poursuivre avec ces deux titres mon défi des milles chez Fattorius

2 juillet 2012

Jean-Philippe Blondel, Accès direct à la plage

acc_s_direct___la_plageQuatrième de couverture:

"Ce roman prend racine aux quatre coins des côtes françaises. De Capbreton dans les Landes, en 1972, à Arromanches - Calvados - en 2002, en passant par Hyères et Perros-Guirec. Rien ne relierait ses personnages s'ils n'avaient le goût des locations à la mer. Ils se sont croisés dans l'épice particulière des soirs d'été. Les couples, les familles, les célibataires qui nous ont précédés. Ceux d'avant.
Ainsi, le lecteur, avec Jean-Philippe Blondel, éprouve-t-il lui aussi le sentiment d'être à la suite de quelqu'un. Il reste une empreinte qui s'attarde. Ici, il y a eu des envies, et puis des bonheurs étrangers, tellement visibles qu'ils ressemblent aux nôtres
"

 

Ce très court roman de Jean-Phillipe Blondel est un roman poliphonique sur le thème des vacances en bord de mer. Chaque personnage est lié forcément à un autre sans même le savoir. Les coïncidences sont parfois un peu "grosses" surtout à l'échelle de plusieurs stations balnéaires réparties sur tout le littoral français mais c'est tout à fait le genre de roman poliphonique que j'aime.

Cette façon qu'a l'auteur de nous décrire les différents personnages et leur petite vie m'a beaucoup fait penser à l'écriture d'Anna Gavalda et notamment à L'échappée belle.

C'est très court, je ne révèlerai rien des différentes intrigues mais je vous conseille fortement de le lire surtout si vous appréciez l'écriture rafrraichissante de l'auteur. Parfait également pour la plage les doigts de pieds en éventail !

1 juillet 2012

Un dimanche à ... Barcelone (Jour 4: Le parc Guëll)

Toujours sur les traces de Gaudi, nous sommes allées faire une petite sieste au parc Guëll, allongée sur les tables de pique-nique, oui on est comme ça nous ^^

 

 

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Les dimanches en photos sont aussi chez : 

 Liyah, Choco, Choupynette, Fleur, Liliba, SeriaLecteur, Margotte, Estellecalim.

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