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Notes de lecture
31 janvier 2016

Ivan Repila, Le puits

le-puits

Quatrième de couverture:

"Deux frères, le Grand et le Petit, sont prisonniers au fond d’un puits de terre, au milieu d’une forêt. Ils tentent de s’échapper, sans succès. Les loups, la soif, les pluies torrentielles : ils survivent à tous les dangers. À leurs côtés, un sac de victuailles donné par la mère, mais ils ont interdiction d’y toucher. Jour après jour, le Petit s’affaiblit. S’il doit sauver son frère, le Grand doit risquer sa vie. Le Petit sortira-t-il? Le Grand survivra-t-il? Comment surtout se sont-ils retrouvés là? 

Le Puits est un conte brutal à la fin cruelle et pleine d’espoir. Une fable sur l’amour fraternel, la survie et la vengeance, un roman «qui a mérité sa place au panthéon des Jules Verne, Alain-Fournier et autres Antoine de Saint-Exupéry, selon Zoé Valdés. Un roman indispensable, alors que beaucoup d’entre nous avions déjà annoncé la défaite de l’imagination contre la quotidienneté médiocre et étriquée.»"

Je suis tellement désolée de ne pas avoir compris la portée du roman d'Ivan Repila, tellement désolée de ne pas partager le coup de coeur ou le coup de poing des blogueurs. J'aurais aimé l'aimer ce livre mais si j'ai apprécié ma lecture je suis restée en dehors. Je n'ai pas lu avec déplaisir mais jusqu'aux dernières pages j'ai attendu quelque chose, un retournement, une révélation, quelque chose qui me fasse dire "Ouah, c'était donc ça!". J'ai bien sûr été touchée par ces deux enfants coincés dans un puits à manger des asticots, à côtoyer la folie et le désespoir, mais quelque chose m'a manqué. Je me suis imaginée une métaphore du ventre de la mère par exemple, il faut dire que la préface nous met sur cette voie. Tant de résilience et d'abnégation chez des enfants est très beau et poignant mais cela n'a pas suffit à me "retourner" comme pour certains. Valérie, je suis vraiment désolée... ;)

Sandrine avait fait un très beau billet, Jérôme n'a pas trop compris non plus, Eva l'a beaucoup aimé, pour Laure comme pour Valérie c'était un coup de coeur (Valérie je ne sais plus si tu avais publié ton billet sur ton ancien blog ou chez quelqu'un...)

objectif pal

 

(2/31)

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24 janvier 2016

Mise à jour Challenge Petit Bac 2015

Et voilà je boucle enfin le challenge petit bac 2015, je peux maintenant lire à souhait pour le challenge de 2016 :)

challenge petit bac

 

 

 

Grille n°1 & 2 


PRÉNOM :  1. Honoré de Balzac, EUGENIE Grandet

2. Audur Ava Olafsdottir, ROSA Candida


LIEU réel ou imaginaire : 1. Jean-Philippe Blondel; Un hiver à PARIS

2. Alexandre Dumas, Le Comte de MONTE CRISTO


ANIMAL : réel ou imaginaire... 1. Joyce Carol Oates, Petit OISEAU du ciel

2. Anne-Marie Desplat-Duc, Les COLOMBES du Roi Soleil, Les comédiennes de Monsieur Racine (tome 1)


OBJET : 1. Joris Chamblain & Aurélie Neyret, Les carnets de Cerise, tome 2, le LIVRE d'Hector

2. Paul Doherty, Le CALICE des esprits


COULEUR : 1. Cathy Cassidy, Les filles au CHOCOLAT, Coeur guimauve tome 2

2. Cathy Cassidy, Les filles au Chocolat, Coeur MANDARINE tome 3


PRONOM PERSONNEL SUJET :  1. Ruta Sepetys, Ce qu'ILS n'ont pas pu nous prendre

2. Lucia Etxebarria, JE ne souffrirai plus par amour


TITRE EN UN SEUL MOT : 1.  Mark Watson, ELEVEN

 2. Salman Rushdie, FURIE


TAILLE : 1. Suzanne Hayes, Loretta Nyhan, PETITES recettes de bonheur pour les temps difficiles

2. Louise Rennison, Le journal intime de Georgia Nicolson, Syndrome allumage TAILLE cosmos


MUSIQUE : 1. Louise Erdrich, La CHORALE des maîtres bouchers

2. Edward Kelsey Moore, Les SUPREMES


MORT : 1. P.D James, La MORT s'invite à Pemberley

2. Laura Kasischke, Les REVENANTS


GROS MOT (bonus facultatif) :1.  Helen Fielding, MAD about the boy

2. Clara Dupont-Monod, Le roi disait que j'étais DIABLE

 

24 janvier 2016

Edward Kelsey Moore, Les Suprêmes

Les Suprêmes

Quatrième de couverture:

" Elles se sont rencontrées à la fin des années 1960 et ne se sont plus quittées : tout le monde les appelle «les Suprêmes», en référence au célèbre groupe de chanteuses des seventies. L'intrépide Odette converse avec les fantômes et soigne son cancer à la marijuana sur les conseils avisés de sa défunte mère, tandis que la sage Clarice endure les frasques de son volage époux pour gagner sa part de ciel. Toutes deux ont pris sous leur aile Barbara Jean, éternelle bombe sexuelle que l'existence n'a cessé de meurtrir. Complices dans le bonheur comme dans l'adversité, ces trois irrésistibles quinquas afro-américaines se retrouvent tous les dimanches dans l'un des restaurants de leur petite ville de l'Indiana : entre commérages et confidences, rire et larmes, elles se gavent de poulet frit en élaborant leurs stratégies de survie. Invitation à une lecture aussi décalée que féconde de la problématique raciale aux Etats-Unis, ce formidable roman de l'amitié et de la résilience s'affirme comme une exemplaire défense et illustration de l'humanisme conçu comme la plus réjouissante des insurrections."

J'ai passé un très bon moment de lecture malgré une toute petite déception. Je ne sais pas pourquoi mais je m'imaginais que c'était un roman sur les années soixante, or si les Suprêmes ont bel et bien grandi dans les sixties ça ne parle pas directement de cette période, ce n'est pas le sujet du récit. Le coeur du récit c'est l'amitié indéfectible de ces trois jeunes femmes qui n'étaient pas forcément destinées à s'entendre adolescentes. Il y a Clarice, la plus snob des trois, qui juge assez facilement et a été un peu abîmée par une éducation très réligieuse mais qui malgré tout est très généreuse. Il y a Barbara-Jean dont l'enfance a été compliquée, qui paraît fragile et dont la force réside dans la loyauté (et les tenues flashy). Et il y a Odette, la grande gueule, celle qui n'a peur de rien. C'est de son point de vue qu'une partie de la narration est faite, et elle a une fâcheuse tendance, celle de discuter avec les morts, sa défunte mère principalement et l'ancienne première dame Eleanor Roosevelt. Ce qui aurait pu facilement me rebuter donne une dimension assez drôle au récit. Récit rythmé par les changements de narrations, quand ce n'est pas Odette qui nous raconte l'histoire des Suprêmes, c'est un narrateur omniscient qui prend le relais, avec des flashbacks dans la vie des trois femmes, qui montrent comment leur amitié a resisté à travers le temps, qui évoquent leur famille, leur enfance, les épreuves et les bonheurs traversés par chacune. De telles amitiés sont d'autant plus précieuses qu'elles sont, à mon avis, très rares. Si Clarice m'a parfois été pénible dans ses réflexions, c'est également celle qui évolue le plus. J'ai été touchée par la vie de ces trois femmes, par leur caractère, par leur capacité à rebondir, par cette époque révolue et par les liens qu'elles ont tissés au fil des ans. Si vous aimez les histoires un peu nostalgiques de belles amitiés ce livre est fait pour vous!

challenge petit bac

 

Je termine mon challenge petit bac 2015 avec un titre lié à la MUSIQUE: Les SUPREMES

2 lignes donc pour 2015, j'espère faire aussi bien en 2016

objectif pal

 

(1/31)

19 janvier 2016

Hollis Seamon, Dieu me déteste

Dieu me déteste

Quatrième de couverture:

"New York, hôpital Hilltop. Richard sait qu'il ne fêtera pas ses dix-neuf ans, mais il a une furieuse envie de vivre ! Et d'embrasser Sylvie, la jolie fille de la 302... Contre la montre, le corps médical et sa famille toquée, ce Roméo casse-cou décide donc de flamber ses derniers rêves. Jusqu'à jouer son destin au poker, dans un des plus beaux bluffs jamais montés contre le sort...
Ce roman bouleversant offre une leçon d'humour ravageuse et une extraordinaire leçon de vie."

Comme me l'a dit l'ami qui m'a prêté ce livre " c'est l'histoire d'un ado qui perd son pucelage à l'hôpital alors qu'il est en plase terminale d'un cancer." Et c'est assez bien résumé, c'est en effet le but, si on peut parler de but, de Richard, 17 ans. Nanmoins ce n'est pas une histoire lourdingue de mec qui veut perdre sa virginité avant de mourir, au contraire c'est assez touchant.  Ce qui est intéressant dans ce roman c'est la manière dont sont traités les malades en phase terminale en soins palliatifs, il est question de l'aspect humain du système, du courage des familles, du personnel hospitalier et des malades, et de leurs faiblesses à tous, celles qui rendent fragiles ou furieux, ou les deux à la fois, celles qui poussent à la violence à force d'incompréhension et de désespoir. Certes l'auteur joue un peu sur la corde sensible mais c'est suffisamment bien écrit pour que cela ne se remarque pas trop.

 

challenge petit bac

(phrase: DIEU ME DETESTE)

 

 

16 janvier 2016

Lecture commune: Emile Zola, Thérèse Raquin

thérèse raquin

Quatrième de couverture:

"Premier roman naturaliste, Thérèse Raquin est une véritable tragédie, tragédie du silence et du désir, tragédie du remords, tragédie de la vie et de la mort glacée. Thérèse Raquin, ou la banalité tragique"

Ce roman c'est tellement la patte de Zola, dans ce qu'elle a de plus noir mais aussi un peu nouveau parce que dans les Rougon-Macquart si on retrouve le thème de la folie je n'ai jusqu'à présent rien lu qui flirte de si près avec le fantastique. Attention, ce n'est pas non plus un roman fantastique, mais il y a quelque chose de Poe dans la seconde moitié du roman. J'ai préféré la première partie, celle où l'auteur met en place les personnages, la mercerie, l'enfance puis le mariage de Thérèse et Camille, le trio Thérèse-Camille-Laurent. La seconde partie m'a moins tenue en haleine, Zola bien entendu maîtrise son récit à la perfection, c'est sordide et détaillé, c'est graduel et les symboles du roman noir sont présents, la pourriture, les bas quartiers, jusqu'au chat noir qu'on accuse de perfidie (euh d'ailleurs est-il vraiment noir ce chat?).  L'issue du roman est inévitable, en tant que lectrice je l'attendais même, elle est nécessaire et je pense que c'est la seule issue possible... En tout cas sans doute la seule issue pour mettre un point final au roman. Cela ne m'étonne pas que ce roman ait été très mal reçu à sa publication...

Excusez-moi pour ce billet médiocre, je suis shootée au doliprane et aux gouttes pour le nez mais je tenais à publier mon billet à temps pour la lecture commune avec Enna et Manika

 

challenge petit bac

(1ère lecture pour le challenge Petit Bac 2016 d'Enna avec

un prénom: THERESE)

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10 janvier 2016

Demain, un film de Cyril Dion

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Il est finalement assez rare que je vous parle de films, mais après avoir vu Demain j'ai eu besoin d'écrire mon ressenti, aussi modeste soit-il je souhaitais le partager avec vous...

Demain part d'un constat fait par une étude publiée en 2012 dans la revue Nature. Cette étude annonce "l'effondrement des éco-systèmes, donc la fin des conditions de vie stables sur terre". La fiche allociné est assez fétaillée et intéressante à lire si vous souhaitez en savoir plus. Il y a trois ans, Cyril Dion parle de son projet à Mélanie Laurent qui le suit dans cete aventure, celle de montrer les actions individuelles et collectives à travers le monde pour préserver l'environnement et la biodiversité, économier l'énergie, être respectueux de l'environnement en somme. Si le film part d'un constat alarmiste et très négatif, c'est sur le positif que Cyril Dion s'est focalisé afin de montrer qu'il est possible de faire des choses pour économiser les ressources de la terre. Il s'articule en cinq volets, l'agriculture (c'est la partie que j'ai préféré), l'économie (expliquée avec des mots simples, c'est très intéressante de comprendre comment le système économique mondial fonctionne), la politique et les démocraties, les énergies renouvelables et l'éducation (la partie qui m'a le plus parlé).

Je ne me qualifie pas du tout d'écolo, au contraire, j'ai utilisé autant d'insecticide en 3ans que dans un champ de maïs aux USA (souvenez-vous l'épisode persécution par les araignées) mais je suis de plus en plus sensible à ces questions. Je reconnais que vivre avec quelqu'un qui travaille dans l'environnement n'y est sans doute pas étranger mais mieux vaut tard que jamais non? Le film en lui-même ainsi que l'intervention de son réalisateur dans l'émission On n'est pas couché, associé au documentaire Terra de Yann Arthus Bertrand m'ont fait prendre conscience qu'à mon échelle, si infime soit-elle je peux faire quelque chose, alors mes résolutions de cette année si je devais en prendre c'est de continuer à consommer local, et de plus en plus, en achetant mes légumes à la ferme du coin, en privilégiant les produits locaux ou français et en mangeant moins de viande. J'aime la viande, je ne deviendrai pas végétarienne mais en manger moins, en m'assurant de la provenance me semble nécessaire. Nous allons également proposer de faire un jardin collectif au pied de notre immeuble à la prochaine réunion de copropriété... Wait and see... 

Je ne fais pas ce billet pour qu'on me dise, c'est bien ou c'est mal, c'est vraiment le minimum, j'aimerais simplement que chacun puisse se poser la question "et moi, qu'est ce que je peux faire pour économiser les ressources de la planète?" Je vous conseille de voir le film, que vous soyez sensible ou non à la cause environnementale.

Qui plus est, la bande originale est vraiment très belle, en partie écrite et composée par Frederika Stahl une jeune musicienne suédoise.

 

DEMAIN Bande Annonce (Mélanie Laurent - 2015)

5 janvier 2016

Margaret Powell, Les tribulations d'une cuisinière anglaise

les tribulations d'une cuisinière anglaise

Quatrième de couverture:

Dans l'Angleterre du début des années 1920, la jeune Margaret rêve d'être institutrice, mais elle est issue d'un milieu modeste et doit "entrer en condition". De fille de cuisine, elle devient rapidement cuisinière, un titre envié parmi les gens de maison. Confinée au sous-sol de l'aube à la nuit, elle n'en est pas moins au service de ceux qu'on appelle "Eux", des patrons qui ne supporteraient pas de se voir remettre une lettre par un domestique autrement que sur un plateau d'argent.

Elle saura leur tenir tête et rendra souvent son tablier pour améliorer ses conditions de travail, jusqu'à ce qu'elle trouve enfin, sinon le prince charmant, du moins le mari qui l'emmènera loin des cuisines des maîtres."

 

Je ne sais pas vraiment quoi penser de cette lecture, d'un côté j'ai passé un bon moment de lecture, c'est assez intéressant et plaisant à lire, de l'autre c'est assez répétitif et je n'ai rien appris que je ne savais déjà sur la condition des domestiques au début du 20e siècle. Peut-être que pour un peu plus d'originalité l'auteur aurait dû s'attarder sur certaines anecdotes, de même qu'il m'aurait plu de connaître finalement la manière, outre le fait qu'elle se sooit mariée, dont elle a véritablement quitté la condition de cuisinière. D'un autre côté, à sa parution en 1968 je ne doute pas que ce roman ait remporté un franc succès, ça devait être assez nouveau. Aujourd'hui, ceux qui s'intéressent au sujet ont très probablement déjà un penchant pour la série Downton Abbey et donc n'apprendront rien de nouveau.

 

 

lire sous la contrainte

 

(Voyelles: 3/3)

4 janvier 2016

Challenge Petit Bac 2016

Pour la 3e année je me suis inscrite au challenge Petit Bac d'Enna, voilà un bon moyen pour sortir des titres de ma PAL. En même temps que les différentes catégories de 2016 je vous donne les titres que j'envisage de lire, même si je change souvent en cours de route...

challenge petit bac

Quelques idées de titres

 

PRÉNOM : THERESE Raquin d'Emile Zola / DORA Bruder de Patrick Modiano


LIEU: L'ECOLE des saveurs d'Erica Bauermeister / L'étrangleur de CATER STREET d'Anne Perry

______________________________________________________________________________________________________________________________

ANIMAL : réel ou imaginaire... L'été des LUCIOLES de Gilles Paris / Les COLOMBES du roi Soleil, Le secret de Louise (tome 2) d'Anne-Marie Desplats-Duc


OBJET : JOURNAL d'Anne Franck / LETTRES de Madame de Sévigné


COULEUR : Les yeux au CIEL de Karine Reysset /


VOYAGE : PARTIR de Tahar Ben Jelloul /


 SPECTACLE : Manchester MUSIC City 1976-1996 de John Robb /


LETTRE ISOLÉE:  A moi seul bien des personnages de John Irving / Un pays A l'aube de Dennis Lehanne


 PONCTUATION : Le journal d'Aurélie Laflamme, Extraterrestre... Ou presque! d'India Desjardins / Secret, très secret de Barbara Pym


 PHRASE :  DIEU ME DETESTE d'Hollis Seamon / IL FAUT beaucoup aimer les hommes de Marie Darrieussecq /


GROS MOT (bonus facultatif) 


 

3 janvier 2016

Mon top 3 de 2015

Regarder le zapping de l'année sur Canal m'a rappelé toutes les catastrophes de 2015, celles bien sûr qu'on n'oublie pas, Charlie Hebdo, le 13 Novembre mais aussi celles auxquelles on ne pensait plus tellement, le séisme au Népal, le crash de l'avion de la Lufthansa, les réfugiés, l'attentat de Tunis et d'autres encore, le bilan humain, et idéologique pour cette année est désastreux. Personnellement 2015 est une si belle année pour moi que j'en ai presque honte de l'évoquer ... Une mutation, un déménagement, la vie à 2, le pacs et des amis chers ... J'ai néanmoins voulu dresser un petit top 3 pour les livres et les films que j'ai vus en 2015 et honnêtement si le top est à la hauteur de 2014, le choix fût beaucoup plus facile puisqu'il y a eu très peu de coups de coeur que ce soit en littérature ou en cinéma. Sans plus attendre...

Pour les livres:

Deux livres traitant du Moyen-Age et un classique, alors qu'une grosse partie de mes lectures s'est tournée vers la littérature jeunesse, ça en dit assez long... 

le roi disait que j'étais diablemonte-cristola terre qui penche

 

Pour les films: 

  • Les Cowboys de Thomas Bidegain
  • This is not a love story d'Alfonso Gomez-Rejon
  • Nous trois ou rien de Kheiron

3 films vus en novembre ou décembre et ce n'est pas pour rien, c'est sans doute parce que je les ai vus récement qu'ils m'ont plus marqué. Les Cowboys a été diffusé dans un contexte compliqué puisqu'il traite du départ d'une jeune fille pour Djihad, il est néanmoins très sobre, juste et touchant, et les deux acteurs, François Damiens et Finnegan Oldfield  sont tellement bons! Nous trois ou rien rejoint aussi l'actualité avec cette famille réfugiée en France, autre époque, autre origine mais cela résonne bien avec la crise actuelle, quant à This is not a love story c'est le côté un peu doux, fragile mais drôle.

les cowboysThis_Is_Not_A_Love_Storynous trois ou rien

 

Je dois citer un autre film, qui n'est pas un coup de coeur, parce qu'en soi ce n'est pas un film plaisant à regarder, mais un coup de poing parce que j'ai tant pleuré, parce que ça m'a fait penser à des jeunes que j'ai croisés dans mon travail, sans pouvoir rien faire pour eux, parce que le générique de fin a ouvert les vannes et qu'il a fallut attendre que le cinéma soit vide pour me redresser et sortir... La tête Haute d'Emmanuelle Bercot.

La_Tete_haute

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