Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Notes de lecture
18 juillet 2011

Deux ans déjà!

rose_anniversaire_petit__k3529586

 

Aujourd'hui mon petit blog fête ses deux ans!

A cette occasion je vous propose de gagner un petit cadeau en laissant un commentaire signalant que vous souhaitez participer au tirage au sort! Je n'accepterai que la participation des personnes que j'ai déjà croisée ici ou là..

Vous avez jusqu'à mon retour de vacances (vers le 20 août) pour participer!

En deux ans, que de découvertes et d'échanges! Merci à tous et à toutes pour votre générosité littéraire et pas que...

A très vite!

Publicité
Publicité
17 juillet 2011

Un dimanche ... à Paris

Cette semaine j'ai fait découvrir la capitale à mes nièces, avant de partir à mon tour en vacances chez elles, à l'heure où mon billet sera publié je sillonerai déjà les autoroutes de France... Retour vers le 21 août! Mon blog sera en suspens pendant ce temps-là, si j'ai le temps je ferai quelques billets, et un billet est programmé pour la date anniversaire du blog!

IMGP1503

IMGP1510

 

Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

 

12 juillet 2011

Olivier Adam, Poids léger

poids_l_gerQuatrième de couverture

"Le jour, il enterre les inconnus. Le soir, il boxe. Solitaire, paumé, à bout de nerf, Antoine encaisse de plus en plus mal. Les coups, le chagrin des autres, la mort de son père, l'enfance qui s'enfuit, sa soeur Claire qui s'éloigne, Chef, son entraîneur, qui s'apprête à mettre les voiles... tout le touche, tout le met à terre.

Alors Tonio boit, fume, soliloque, chiale, baise, cogne, et se cogne aux murs. Mais la vie n'est pas un ring. S'il n'y prend pas garde, il risque de tout perdre : son travail, ses amours. Et sa liberté."

On retrouve dans ce court roman d'Olivier Adam un thème déjà traité dans ce que j'ai lu précédemment: le deuil. Ici c'est le métier du personnage principal Tonio, il travaille chez un pompe-funèbre. On retrouve dans l'écriture d'Olivier Adam toujours beaucoup de pudeur face à la mort et aux sentiments qu'elle entraîne, à la façon dont on traite les morts. Tonio choisi de les traiter avec délicatesse, il est toujours touché par les familles des défunts qu'il rencontre. Certaines personnes le poussent à réfléchir sur lui-même, sur sa vie, sur ses relations avec son père décédé. Tout ce qui leur reste à lui et sa soeur c'est la petite maison de banlieue de leurs parents qu'il va falloir vendre...

Poids léger c'est aussi l'amour entre frère et soeur mais aussi l'amitié qui naît entre les gens: Tonio et son entraîneur.

Ce n'est toujours pas bien joyeux mais on sait à quoi s'attendre quand on ouvre un livre d'Olivier Adam. Il nous parle directement de sujets difficiles à aborder, des non-dits qui s'immiscent dans nos vies, sans prendre de pincette, sans fioritures et c'est ce qui me plaît chez lui ...

10 juillet 2011

Un dimanche ... en cuisine

Trois_cheesecake

savour_s

 

Cheesecakes à la vanielle et aux spéculoos!

Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

8 juillet 2011

Katherine Pancol, Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi

 

 

les_ecureuils_de_central_park_sont_tristes_le_lundiQuatrième de couverture :

« Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
 »

Si j’ai globalement apprécié la lecture de ce dernier titre de Katherine Pancol je n’ai pas été aussi emballée que les deux premiers volets de cette série. Certes on retrouve la plume plutôt amusante de l’auteur et tous les personnages que j’ai apprécié (ou pas) dans les tomes précédents. Joséphine est toujours aussi niaise mais  bon on l’aime comme ça, Zoé grandit, Hortense est toujours aussi détestable, Junior (no comment moi je trouve que c’est une blague ce gamin), Shirley et Gary qui ne sont pas assez présents à mon goût, et le cure-dent qui commence à me les briser avec ses idées de vengeance ! La fin laisse à penser qu’il y aura un quatrième tome mais ça sent un peu le réchauffé. J’ai trouvé qu’il y avait parfois des longueurs, comme si Madame Pancol avait voulu broder autour des personnages, sans véritable consistance le tout rendu un peu plus attrayant par de trop nombreuses scènes de sexe que j’ai souvent trouvé ridicules !

Le positif c’est que quand même j’apprécie l’humour qui se dégage de ces pages et que certains personnages sont quand même très attachants (le beau Gary notamment). J’ai aussi apprécié que Philippe et son fils soient plus présents, même si l’accueil des nouvelles personnes dans leur maison me paraît un peu surréaliste.

C’est donc une déception, je sais on m’avait prévenu ^^, j’aurais préféré finalement quelque chose de plus condensé et qui tienne plus en haleine.

Publicité
Publicité
6 juillet 2011

Lecture commune: Kate Atkinson, A quand les bonnes nouvelles?

 

A_quand_les_bonnes_nouvelles_Quatrième de couverture :

« Dans un coin paisible du Devon, une petite fille de six ans, Joanna Mason, est témoin d'un épouvantable massacre, dont elle est la seule rescapée. Trente ans plus tard, l'homme qui a été condamné pour ce crime sort de prison. A Edimbourg, Reggie, seize ans, travaille comme nounou chez un médecin, le docteur Hunter. Mais quand celle-ci disparaît, Reggie est la seule personne qui semble s'en apercevoir... Enfin, l'inspecteur en chef Louise Monroe retrouve son vieil ami, Jackson Brodie, le détective privé de La Souris Bleue, empêtré dans un mariage malheureux, qui part à la recherche de son fils... Avec humour et maestria, Kate Atkinson brouille les pistes, entremêlant les intrigues et tenant le lecteur en haleine jusqu'aux dernières pages. » 

J’ai beaucoup apprécié cette lecture, certes Kate Atkinson est en terrain conquis avec moi mais il y a bien longtemps que j’avais ouvert un livre de l’auteur, à tort !

Je vais commencé par mon seul bémol, (bon en fait j’en ai deux), d’abord le nombre de morts dans ce roman est assez impressionnant, sans parler de la famille assassinée de Joanna, pratiquement tous les personnages ont au moins subi un décès dans leur entourage, et Reggie les cumule pas mal aussi ! Mon second bémol c’est pour la résolution de l’intrigue qui n’est pas tout à fait claire et un peu tirée par les cheveux !

Mais bon je lui pardonne moi à Kate parce que tant son écriture, que ses personnages sont des petits bijoux, je me suis beaucoup attachée à Reggie et au docteur Hunter. J’ai été très intriguée par Jackson Brodie (que j’ai un peu imaginé sous les traits de Sean Penn) et puis j’ai déjà hâte de retrouver Louise Monroe pour savoir si elle va continuer à s’empêtrer dans un mariage qui l’ennuie. Bon je vais commencer par lire La souris bleue, pour découvrir ce qui s’est passé avant, mais j’espère que Kate Atkinson nous écrira une suite bientôt !

Le personnage de Reggie, même si peu réaliste (bin oui quoi une gamine de 16 ans orpheline n’est pas laissée livrée à elle-même dans son appartement) est très touchant, elle est déterminée, ne perd pas courage, bien au contraire.  Elle est très attachée au docteur Hunter et à son bébé et se bat pour les retrouver.  Le mari par contre lui est détestable, il en faut bien un !

Le docteur  Hunter a su se reconstruire, c’est devenue une femme épanouie et respectable malgré le traumatisme qu’elle a vécu. J’ai un peu partagé l’admiration de Reggie pour ce personnage.

Kate Atkinson fait de nombreuses références aux classiques de la littérature britannique, celle-ci m’a particulièrement plu : «  Ils avaient été aussi chastes que les protagonistes d’un roman de Jane Austen. Tout en raison et sans sentiments, pas la moindre persuasion. »

Je conseille donc vivement cette lecture qui saura vous tenir en haleine cet été. C’était une lecture commune avec Valérie et Enna, allons voir ce qu’elles en ont pensé.

5 juillet 2011

Le premier mardi c'est permis : Lucia Etxebarria, Amour, prozac et autres curiosités.

 

amour_prozac_et_autres_curiosit_sQuatrième de couverture :

« Trois soeurs - sortes de Brontë d'Almodovar - carburent aux antidépresseurs. Cristina, la nympho "affamée de tendresse", croque les hommes et avale de l'ecstasy avec la boulimie du désespoir. Rosa, la directrice financière, ressemble aux personnages de Bret Easton Ellis : bardée de marques de luxe, le vice et la folie en moins. Ana, enfin, la mère de famille rangée, ne supporte son existence naphtalinée qu'en somnambule de la vie, droguée aux somnifères. Pas de quoi se tordre de rire. Et pourtant. Dans un style où l'humour se déguste comme un sushi, cru et épicé, la signora Etxebarría, encensée par la critique hispanique, réalise une radioscopie sardoniquement pessimiste mais émouvante de la société de l'après-movida. On s'amuse comme dans un Dorothy Parker, on s'enthousiasme toujours de suivre les aventures de ce trio "brétéchien". Ça vous touche avec la justesse de banderilles plantées là où ça fait mal. »

« En Espagne, Cristina, Rosa et Ana, les trois soeurs du roman de Lucía Etxebarría, sont aussi célèbres que les héroïnes d'Almodovar. Leur histoire est drôle, déjantée, cinglante. À lire. Vite.
»

Une fois n’est pas coutume, pour ce second « Mardi c’est permis » de Stéphie, j’ai encore tapé dans la chick-litt et je ressors de cette lecture avec un avis assez mitigé.

Le livre se termine sur une touche d’optimisme mais c’est quand même un regard sacrément déprimant sur ces trois jeunes femmes. Ces trois sœurs complètement différentes dans leur caractère ont pour point commun la fuite dans la drogue ou les médocs.

La plus jeune à la sexualité débridée  carbure aux amphet, à la coke et à l’ecstasy. L’aînée s’ennuie dans un mariage qui semble idéal et s’abrutit de médicaments pour dormir, pour se tenir éveillée. Et la cadette dont la drogue est le travail tourne finalement au prozac !

Le trait est grossi, mais cela dénonce tout de même un fait de société, l’accès aux antidépresseurs, anxiolytiques et drogues se fait de plus en plus facilement et est banalisé.

Les récits de Christina m’ont ennuyée, j’ai préféré la narration de Rosa qui était plus concise et dans laquelle je me suis parfois un peu retrouvée.

Je crois que le style de Lucia Etxebarria ne me convient pas vraiment. J’avais aussi eu un peu de mal avec Cosmofobia il y a quelques années. Je trouve que ses tournures de phrases sont parfois alambiquées, on ne sait pas toujours où elle veut en venir, où elle veut nous emmener.

le_mardi_c_est_permis

 

objectif_pal

(19/56)

3 juillet 2011

Un dimanche à ... Namur

IMAG0036

 

Les dimanches en photos sont  aussi chez : Evertkhorus,   MyaRosa,   Lounima,      Tiphanie, Hilde,   Cacahuete,      Lisalor,   Choupynette,      EloraMelisende,     Fleur, Une    maman, Liliba,     100choses,     Anjelica,      Myrtille,      Sandrine, Hérisson,     Mohamed SemeUnActe,    Ankya,    Grazyel,   TinusiaKatellChocoLatite, Sofynet, Art Souilleurs, Dounzz, SeriaLecteur, Minifourmi, Azilice, Scor13, Stieg,

Publicité
Publicité
Publicité
Archives
Publicité